Dictionnaire amoureux de la Corse
Quatrième de couverture
Un dictionnaire à tonalité poétique dans lequel chaque entrée se présente comme une brève nouvelle littéraire possédant un angle d'approche inédit afin d'éviter les lieux communs sur l'histoire, la culture, les traditions ou encore les lieux remarquables de la Corse.
Lu par:
Daniel Martin
Genre:
Histoire/géographie
Durée:
13h. 35min.
Édition:
Paris, Plon, 2022
N° de notice:
74031
Source:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782259248631
Collection(s):
Dictionnaire amoureux,
CDU:
944
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Durée: 13h.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 70880
Quatrième de couverture: Le Dictionnaire amoureux de l'Inutile se propose de recenser tout ce qui semble ne servir à rien et qui pourtant paraît indispensable. Un art dans lequel François Morel et son fils Valentin excellent ! Un aussi indispensable qu'inutile, un régal de A à Z ! Ce livre serait une promenade joyeuse, drôle, iconoclaste dans nos souvenirs, nos émotions aussi futiles que solides. Faire des ricochets au-dessus de la rivière, des cocottes en papier, des canulars, s'interroger sur la fossette de Kirk Douglas, la coiffure du président Giscard d'Estaing, l'expression " peigner la girafe ", se rappeler les petits trains électriques, la guitare de Tino Rossi, les télégrammes de première et les speakerines de la télévision... Ce serait un livre impossible, tant la notion d'inutile est sujette à caution. L'homme est-il plus utile que la langouste ? La pomme de terre est-elle plus indispensable que le liseron ? L'idiot du village moins nécessaire que le membre de l'Institut ? Ce serait un livre qui musarderait, vantant les mérites de la grasse matinée et des contrepets dans les discours des ministres, le plaisir d'écouter la météo marine quand on est sous la couette, la virtuosité des joueurs de yoyo. Un livre aussi indispensable qu'inutile.
Lu par: Daniel Martin
Durée: 21h. 58min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 69587
Quatrième de couverture: « Nos amis italiens et espagnols (ils ne sont pas les seuls) ne font guère de distinction entre « roman noir » et « roman policier ». Mais comme en France, nous la faisons, en toute logique ce dictionnaire devrait ne comprendre que des entrées concernant le roman policier. Si vous en êtes d’accord, ce sera ma première licence : je parle d’un univers littéraire qui est le mien, on y trouvera aussi bien du « polar » que du « noir ». S’agissant d’un univers « littéraire », il ne devrait y avoir ici que des livres. Ce sera ma seconde licence : incidemment, on y trouvera quelques films, quelques séries TV, quelques BD, des librairies, des blogs. Enfin, autant prévenir tout de suite : pour les définitions maîtrisées, les monographies exhaustives, les analyses thématiques, etc., le lecteur trouvera facilement d’excellents ouvrages (j’en cite quelques-uns, en fin de volume) qui correspondront à cette attente. C'est à un écrivain que l’éditeur a confié ce Dictionnaire amoureux. Je parlerai donc ici en lecteur et en romancier. Il y aura des oublis impardonnables, des injustices, des jugements contestables. C'est inévitable mais je ne fais que respecter le projet de cette collection : c’est le dictionnaire de ce que j’aime (à quelques oublis près). Lorsque je lis un Dictionnaire amoureux, rien ne me fait plus plaisir que de découvrir des choses que je sais déjà. C’est un peu comme pour le Nobel de littérature : le jour de la proclamation, quand il s'agit de quelqu'un dont je connais déjà le nom, j'ai l’impression d’être cultivé. J’espère que ce Dictionnaire amoureux réservera au lecteur quelques-unes de ces satisfactions mais aussi quelques surprises, quelques découvertes. Et l’envie de lire et de relire encore cette littérature majeure qui, quoiqu’on en dise, reste durablement marquée par le prosaïsme de ses origines. Alphabétique (de « s’abîmer » à « vouloir-saisir »), totalement subjectif (« on a rendu à ce discours sa personne fondamentale qui est le JE »), sans prétention à l’exhaustivité…, je crois que les Fragments d’un discours amoureux (1977) peut être considéré comme l’ancêtre des Dictionnaires amoureux. Puisqu’il correspond très exactement à mon projet, je reprends donc ici, à la lettre, l’exergue de Roland Barthes : C’est donc un amoureux qui parle et qui dit »
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Lu par: Françoise Quemener
Durée: 4h. 16min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 37701
Quatrième de couverture: Dans un bar perdu de Madagascar, le bar de la Dernière Chance, deux agents secrets, Monsieur O et Monsieur K, s'affrontent pour la possession du dossier le plus incroyable de l'histoire de l'espionnage : le dossier Alpha. Son contenu empêchant tout emploi de la force, ils ne disposent, le temps d'une nuit, que de la puissance des mots pour vaincre ou mourir. A minuit, un combat hors normes s'engage. A la fois roman philosophique sur le mensonge et comédie amère sur la pantomime du monde, Il est minuit, monsieur K est le face-à-face de deux hommes confrontés à la certitude tragique qu'il n'existe d'autre vérité que celle des jeux de masques.
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