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Recherche par mot-clé: Discrimination sexuelle

5 résultats.

Durée : 7h. 18min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 72448
Résumé:Etude sur le genre, les rapports sociaux et la domination entre les sexes en abordant les domaines de l'éducation, du travail, de la sexualité, de la psychanalyse, de la neurobiologie, du sport, des représentations culturelles, scientifiques, politiques et religieuses.
Durée : 7 h. 16min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 69767
Résumé:En Europe, on a brûlé les sorcières jusqu’au XVIIe siècle. Elles n’étaient coupables que d’une seule chose : être femme. À la veille de la Renaissance, un pape avait proclamé que toutes les femmes étaient sorcières. Bonnes à tuer pour protéger le « membre viril » disent les textes. Toutes ces cruautés à peine balayées par la Révolution française, l’impure sorcière fut bientôt transformée en son contraire : la très pure Sainte Vierge. Que reste-t-il aujourd’hui de ces sorcières jadis brûlées, écartelées, maudites ? Guérisseuses de choc cachées dans les campagnes, petites-filles du féminisme, activistes Femen ou membres du mouvement #Metoo, les sorcières du XXIe siècle sont libres et fières de l’être. Romancière, philosophe, critique littéraire, essayiste, Catherine Clément n’est pas entrée en sorcellerie par hasard. Après avoir profondément aimé sa mère, une « sublime sorcière juive-russe passionnée d’occultisme et de voyance », choisissant « la raison contre sa folie », elle nous offre aujourd’hui dans un essai lumineux une réflexion pertinente sur les liens subtils qui relient misogynie, féminisme, religion et sorcellerie.
Lu par : Claire Charlet
Durée : 7h. 9min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69582
Résumé:« Etre visibles. Marcher dans la rue sans peur. Exprimer haut et fort nos opinions. C’est ce que la société interdit aux femmes et aux minorités. Et c’est le programme de ce livre. Messieurs qui tenez les manettes, si vous voulez régler le problème, les ­chercheuses et militantes féministes ont fait le boulot. Les mécanismes sont identifiés, les solutions existent. Tout est là. Ce qu'il manque maintenant, c’est votre volonté. Or, chaque jour, on constate qu’elle est nulle. Manifestement, l'idée de vivre dans un monde où les femmes seraient vraiment les égales des hommes ne vous emballe pas plus que ça. » L.B. Avec Présentes, Lauren Bastide signe un manifeste féministe ultra-documenté, nourri par les réflexions des militantes les plus inspirantes de la génération #MeToo. Un livre à mettre entre toutes les mains pour mieux comprendre les nouvelles luttes féministes et antiracistes d’aujourd’hui.
Durée : 6h. 51min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 16469
Résumé:Sous un angle à la fois philosophique et ethnologique, Sylviane Agacinski livre dans cet essai une réflexion renouvelée sur l'identité sexuelle et ses prolongements : la sexualité, mais aussi la parentalité ou le féminisme. Contre Simone de Beauvoir et Le Deuxième Sexe, elle refuse d'assimiler la fécondité à un simple "destin biologique", pour en faire au contraire une dimension essentielle de la féminité. Entre identité et différence, les mécanismes complexes qui régissent les relations
Lu par : Richard Lefèvre
Durée : 11h. 47min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 26739
Résumé:Qu'il s'agisse d'inégalités de traitement en fonction du sexe, de la race, de la sexualité, de la religion, de l'origine, des handicaps, de la santé, les discriminations sont aujourd'hui perçues et combattues comme la figure centrale des injustices. S'il est indispensable de les décrire et de les mesurer, il faut aussi que l'on sache mieux comment elles sont vécues par celles et ceux qui les subissent. L'écart est grand, en effet, entre les inégalités objectives et la manière dont les personnes les ressentent et, surtout, dont elles les tiennent pour justes ou injustes. Pourquoi moi ? s'efforce de rendre compte de ce vécu plus divers qu'il n'y paraît. De l'"expérience totale" qui fait de la discrimination le coeur de l'identité et du rapport au monde des individus à la distanciation que d'autres parviennent à installer grâce à un ensemble de stratégies et de tactiques, se déploie un espace de discriminations ressenties de façon plus ou moins intense. Ces expériences sont déterminées par le jeu complexe des conditions sociales. Ainsi les plus discriminés ne sont pas nécessairement ceux qui éprouvent les sentiments d'inégalité les plus aigus. La comparaison entre l'école et l'hôpital montre que les discriminations sont perçues de façon très différente dans ces institutions pour lesquelles la diversité des cultures et des personnes ne constitue pas le même enjeu. Les discriminations et les luttes qu'elles entraînent révèlent de profondes transformations de notre vie sociale et de nos subjectivités ; non seulement elles dévoilent des injustices intolérables, mais elles montrent comment les individus essaient de se construire comme les sujets de leur liberté et de leur identité quand l'ordre social perd de son unité et de son ancienne légitimité.