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Recherche par mot-clé: Discrimination

6 résultats.

Lu par:Daniel Martin
Durée:12h. 51min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:75276
Résumé: Le mot ghetto signifie fonderie de cloches en dialecte vénitien. C'est en effet dans le quartier des fondeurs de Venise qu'en 1516, et pour la première fois, les juifs ont reçu l'ordre de se rassembler pour vivre dans un quartier séparé. Cette histoire est retracée, de la naissance du quartier jusqu'à la déportation de ses habitants durant la Seconde Guerre mondiale.
Lu par:Pascale Dubot
Durée:4h. 56min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:74937
Résumé: Un guide d'autodéfense destiné aux personnes confrontées au racisme, au sexisme, à l'homophobie, ou encore à la grossophobie dans le cadre du travail. L'auteure fournit les clés légales et psychologiques pour surmonter les difficultés quotidiennes et livre un plaidoyer politique pour résister aux discriminations et transformer la société.
Lu par:Anne Coubès
Durée:1h. 49min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:73277
Résumé: Un essai consacré aux moyens permettant de mesurer le racisme et de lutter contre les discriminations en appliquant une politique sociale et économique fondée sur l'universalisme.
Durée:7h.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:70172
Résumé: Pendant trois ans, Gulbahar Haitiwaji a enduré des centaines d'heures d'interrogatoire, la torture, la faim, la violence policière, le bourrage de crâne, la stérilisation forcée, le froid, les nuits sous le néon d'une cellule, les mécanismes de la destruction humaine. Née dans le Xinjiang, la province des Ouïghours en Chine, Gulbahar vivait en France depuis de longues années quand, un matin de novembre 2016, sa vie a basculé au cours d'un voyage dans sa terre d'origine. Ce qu'elle a vu, entendu, vécu dans les entrailles du système concentrationnaire chinois est terrifiant. Aujourd'hui, plus d'un million de Ouïghours a été déporté dans des camps de " rééducation " par le Parti communiste chinois, qui prétend lutter contre " le terrorisme, l'infiltration et le séparatisme ". Les Xinjiang Papers, révélés par le New York Times en novembre 2019, dénoncent une répression s'appuyant sur une détention de masse, la plus foudroyante depuis l'ère Mao. Ces camps sont à la Chine ce que le Goulag était à l'URSS. Les Ouïghours subissent un génocide : nous ne pourrons pas dire, cette fois, que nous nous ne savions pas. Sauvée grâce aux tractations acharnées de sa fille et du quai d'Orsay, Gulbahar est la première rescapée des camps chinois à témoigner. Sa voix est essentielle. En publiant ce livre, elle prend des risques terribles pour elle et sa famille restée au Xinjiang. Un récit de vie brûlant, historique, auquel l'Occident ne peut rester insensible.
Lu par:Anne Fruchon
Durée:4h. 19min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:69752
Résumé: Quand il intègre les classes préparatoires littéraires, le narrateur de ce roman d’initiation ne soupçonne pas ce qui l’attend. Au programme : discriminations, intimidations et humiliations permanentes, jusqu’à briser corps et esprit. Bientôt, il découvre les rouages d’un système élitiste et violent qui encourage la compétition de chacun contre tous. Une institution qui fait de la culture classique un enjeu de pouvoir. Fort de son expérience, il se forge une conscience politique et s’éduque à la liberté. Une satire sociale féroce et salutaire.
Lu par:Pierre Biner
Durée:10h. 52min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:33753
Résumé: Quand l'Allemand Klaus Hirschkuh débarque à la gare de Leipzig, ce jour de novembre 1945, c'est une ville détruite qu'il redécouvre pas à pas. Le jeune homme qui marche dans ces décombres est lui-même en morceaux. Il vient de passer quatre ans à Buchenwald. Parce qu'il est homosexuel. A bout de forces, il est une ombre, un fantôme. Scandaleusement vivant pourtant. Et il n'a pas fini d'expier. Un garçon ordinaire, une différence ordinaire, une simple vie, un trajet : Klaus s'exile en France et y traverse une moitié de siècle - le travail, l'amitié, l'amour, l'espoir et les déceptions, les chagrins et la joie - pour s'entendre chasser, à l'aube des années 1990, d'une cérémonie du souvenir dans la province française aux cris de "les pédés aux fours !". Survivre : un miracle et une responsabilité dont la réalisation n'a pas à être spectaculaire mais qui relève d'un combat intime, tenace, insurmontable parfois, solitaire souvent, et toujours sans répit. Le roman de Daniel Arsand invente la langue digne de ce combat à poursuivre, mélange rigoureux et explosif de sécheresse, de rage et de lumière. Je suis en vie et tu ne m'entends pas est un texte crucial, qu'on voudrait confier personnellement à chacun de ses lecteurs, comme un viatique, un talisman, à la fois miracle et responsabilité.