Contenu

Recherche par mot-clé: Aide au suicide -Récits personnels

3 résultats.

Durée:4h. 17min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:19245
Résumé: La mort du père. On dirait un exercice obligé, dangereux jusqu'au vertige. Comment éviter le grand déballage du pathos, trouver la juste écriture pour construire cette pièce montée ? Emmanuèle Bernheim a trouvé le bon phrasé, le rythme, la distance pour écrire un livre qui grince et bouleverse en même temps. Tout s'est bien passé n'est pas seulement l'accident cérébral puis la mort d'André Bernheim, mais la demande ferme et autoritaire d'un père à sa fille: "Je veux que tu m'aides à en finir." Ce bel homme de 88 ans, excentrique et cultivé, indépendant et curieux de tout, est devenu en quelques heures un vieillard paralysé qui parle difficilement et ne retrouvera jamais son autonomie complète. (www.lexpress.fr)
Durée:4h. 34min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:19093
Résumé: Trois ans après le départ de sa mère, Jacqueline Voillat prend la plume avec courage pour accomplir la promesse faite à sa mère, et nous donner à lire ce témoignage tout à la fois lucide et émouvant. Elle rend ainsi hommage à sa mère qui, avec opiniâtreté, a obtenu que l'on reconnaisse son souhait et son droit de quitter ce monde volontairement et dignement avec l'aide de l'association Exit. Ce livre ne cache en rien les difficultés et les questionnements, sur le plan affectif, éthique et politique, qu'un tel geste représente pour les proches, les soignantes et les soignants, mais aussi pour les autorités et la collectivité dans son ensemble, c'est-à-dire chacune et chacun d'entre nous.
Durée:3h. 28min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19073
Résumé: Le narrateur a été l'un des premiers médecins, dans un pays européen non précisé, à assister les personnes qui demandaient à mourir - clandestinement d'abord, puis plus ouvertement, à mesure qu'une certaine tolérance s'installait et que les lois s'adaptaient à la situation. Après avoir maîtrisé les techniques qui permettent aux hommes et aux femmes de quitter la vie sans souffrance et sans angoisse, il a découvert, au gré de son histoire personnelle, que cette assistance technique ne suffisait pas. Que l'accompagnement d'une personne qui a décidé de mettre fin à ses jours passe par une démarche personnelle plus profonde. Et que cet accompagnement, d'autres que les médecins peuvent l'assurer. Au moment où lui-même se retrouve en fin d'évolution d'une maladie mortelle, le narrateur raconte son histoire - et livre pour la première fois son secret - à un interlocuteur invisible et silencieux, choisi pour des raisons qui seront révélées à la toute fin du récit.