Recherche par lecteur : RAPPOPORT Sarah
4 résultats.
Lu par : Sarah Rappoport
Durée : 9h. 41min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 70173
Résumé:Lab Girl est une multitude. Il est le témoignage autobiographique, intime et passionné d'une femme qui s'est battue pour devenir ce qu'elle est, et parvenir à s'imposer dans un milieu dominé par les hommes. Il est une célébration du génie végétal, du sol et de la nature qui changera à jamais votre façon de voir le monde. Il est enfin le portrait sensible et émouvant d'une amitié indéfectible. Lab Girl est le premier livre de la géobiologiste Hope Jahren. Nous la suivons depuis son enfance dans le Minnesota et ses premiers jeux dans le laboratoire de son père jusqu'à ses voyages sur le terrain, à travers les Etats-Unis, la Norvège et l'Irlande, accompagnée de Bill, son fidèle et brillant collègue. Les histoires qu'elle nous raconte sont une ode à la curiosité, à l'humilité et à la passion et autant de preuves que le travail et l'amour peuvent déplacer des montagnes. Lab Girl est une incitation à devenir maître de sa vie et à découvrir qui l'on est vraiment, ainsi qu'un plaidoyer pour la protection de notre environnement. Viscérale, lumineuse et souvent drôle, Hope Jahren nous invite à l'observation. Avec les yeux, mais aussi avec les mains et le coeur.
Même les légumes ont un sexe: petite(s) histoire(s) entremêlée(s) de la nourriture et du sexe
Hélal, Nathalie
Lu par : Sarah Rappoport
Durée : 4h. 37min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 66283
Résumé:Des aphrodisiaques au foodporn, découvrez les liens étroits entre gastronomie et érotisme à travers un ouvrage ludique et grand public. Saviez-vous que les huîtres ont pendant longtemps été associées au plaisir sexuel ? Que le chocolat était vu par les amants de la comtesse Du Barry comme un stimulant ? Que les premiers restaurants de Paris ont ouvert au xixe siècle dans le quartier " chaud " de la capitale ? Potion de l'Antiquité ou crème Babette, cloître ou maison close, de La Grande Bouffe aux jus détox likés sur les réseaux sociaux, en quoi notre alimentation est-elle révélatrice de la sexualité d'une époque ? Mêlant anecdotes historiques, éclairages scientifiques et culture populaire, des aphrodisiaques jusqu'au foodporn et #balancetonporc, l'auteure dresse la grande fresque de l'idylle entre gastronomie et érotisme.
Lu par : Sarah Rappoport
Durée : 10h. 18min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 36788
Résumé:Comme pour certains grands créateurs, un média ne suffit pas à Kubin : d'une main, il peint, de l'autre, il écrit. Son seul roman, l'Autre côté, qu'Herman Hesse, déjà, considérait comme un livre majeur, est devenu, depuis sa partition en 1909, une des œuvres-clés de la littérature dite moderne. L'Autre Côté a influencé Kafka, Jünger et les surréalistes, de même que le groupe du Cavalier Bleu auquel Kubin appartenait. Comme la plupart des livres qui comptent, L'Autre Côté, son Empire du rêve - tel un avatar angoissant des confins - ne se résume pas. Théâtre de fantasmagories échevelées, de métamorphoses hallucinées et de décompositions de toutes sortes, L'Autre Côté est le contrepoint même du rêve. Tout est rêve tant que tout demeure en deçà des frontières de l'Empire éponyme : le voyage, la quête, la lumière au-delà, c'est-à-dire au-dedans, la cauchemar éveillé ciel lourd, resserrement, prémonition, jusqu'à la lente dégradation mortifère. Voici donc une parodie de l'utopie, du voyage extraordinaire, et du merveilleux ! Depuis l'édition de Pauvert, de 1964, ce livre manquait. Le texte, suivi de " Quelques souvenirs de ma vie ", autobiographie subjective de Kubin, et d'une lecture du libraire Laurent Évrard est, bien sûr, illustré par Kubin, lui-même.
Lu par : Sarah Rappoport
Durée : 3h. 38min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 34765
Résumé:Rome, 2014, fin de l'été. Alors qu'il lisait sur sa terrasse ensoleillée, le coeur de Giangiacomo – dit Gigi – s'est arrêté. Une mort rapide, sans douleur, comme il l'avait toujours souhaitée, se souvient sa fille Elvira, appelée en urgence. Gigi venait de fêter ses soixante-dix ans. Quelques jours plus tard, sous une pile de relevés bancaires, la jeune femme tombe sur un manuscrit inachevé. Elle pense à la trame d'un film – Gigi était cinéaste –, mais, au coeur du texte, découvre une certaine Clara, une journaliste belge. Son intuition lui souffle qu'elle doit exister. Elvira comprend que le récit de Gigi correspond à sa partie d'un livre qu'ils avaient décidé d'écrire ensemble, pour se prouver leur amour. Clara yaurait répondu par sa propre version de l'histoire. S'absorbant dans les pages de Gigi, Elvira y retrouve la proximité qui la liait à lui, mais comprend aussi la matière infiniment précieuse dont était tissé son amour pour cette femme rencontrée quatre ans auparavant. Un amour dela maturité, vécu comme une nouvelle vie parallèle, qui n'enlèverait rien à leurs existences établies : Clara, elle aussi, est mariée, heureuse, mère de deux fils. Gigi écrit le bonheur des retrouvailles, dans sa maison de Sardaigne notamment, l'abandon des corps, les rires, les films des cinéastes qu'il admire, Antonioni et Rossellini, vus et revus ensemble.Clara et Gigi parlent beaucoup : elle veut tout savoir de sa vie passée, de ses années militantes, lui aime la faire rire, lui racontant d'invraisemblables anecdotes. L'histoire familiale de Gigi revient souvent dans leurs conversations, qui a marqué ses choix d'adulte. Surtout la mort de son père, tué en 1945 par des fascistes après des années de combatdans le rang des partisans. La politique est au coeur de son travail de cinéaste : sa rencontre avec Clara remonte à la sortie de son dernier film, sur Gramsci. Elle était venue à Rome pour l'interviewer. Clara écrira à son tour sa partie. Sans doute l'insistance d'Elvira, qui a retrouvé sa trace, a-telle été déterminante. Entre chagrin et révolte – Gigi n'était pas censé partir sans qu'ils aient pudiscuter ensemble de leur projet –, elle commence par imaginer ce qu'auraient été ces échanges. Des disputes de couple clandestin, l'un contestant la version de l'autre, dans un fatras d'émotions. Mais à quoi bon ? Avec qui partager un secret naguèresi léger, comme s'il fallait dans la solitude expier les amours illicites ? Clara entame alors ce qu'elle appelle un diario di una mancanza, un journal d'absence