Recherche par lecteur : Claudine Hennevin
87 résultats. Page 5 sur 5.
Lu par : Claudine Hennevin
Durée : 8h. 10min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 29654
Résumé:Mahé dirige avec intelligence et détermination l'entreprise familiale de pêche. Mais entre son père et les affaires, elle n'a toujours pas trouvé l'homme de sa vie, même si elle n'est pas indifférente au charme d'un séduisant dentiste.
Lu par : Claudine Hennevin
Durée : 8h. 26min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 27299
Résumé:Ren Bryce, agent du FBI aussi douée qu'incontrôlable, est confrontée à de sérieux problèmes. Sa psy, qui l'aidait tant bien que mal à ne pas perdre pied, a été brutalement assassinée et ses dossiers médicaux ont été modifiés. Ren doit donc à la fois rétablir sa réputation et traquer l'assassin de celle qui était sa meilleure alliée. Sans soutien moral, bravant la méfiance de ses collègues et les soupçons de sa hiérarchie, la jeune enquêtrice explore désespérément les pistes qui mènent au tueur. Elle ne le lâchera pas, quel que soit le danger, quel que soit le prix à payer.
Lu par : Claudine Hennevin
Durée : 5h. 16min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 29274
Résumé:Le bon peuple l'ignore : l'avenir de notre planète se joue, en grande partie, au pôle Nord, un véritable coffre-fort que contenant d'incroyables richesses, notamment du pétrole et du gaz. Le réchauffement climatique bouleverse la situation et plusieurs pays, profitant d'un vide juridique, désirent se les approprier. Intègre et compétente, une spécialiste britannique prépare un rapport pour l'ONU. Aussi reçoit-elle, en grand secret, des collègues qui, du Canadien au Russe, en passant par un Américain et une Chinoise, plaident chacun pour leur chapelle. En tentant de préserver le pôle Nord, la jeune scientifique ignore qu'elle met son existence en péril. Et le plan de l'assassin semble parfait...
Lu par : Claudine Hennevin
Durée : 11h. 54min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 23724
Résumé:Dorcas Reese avait-elle un rendez-vous nocturne et galant au milieu du lugubre marais Wyndham ? Toujours est-il qu'on la retrouve sur place, étranglée. L'affaire intéresse la police à double titre car peu de temps auparavant, un meurtre a été commis près de chez Max Owen... Or ce dernier est à la fois l'employeur de Dorcas et l'ex-mari de la première victime : l'actrice Verna Dunn, assassinée, elle, à coups de fusil. La police locale soupçonne une certaine Jenny Kennington, qui s'était violemment disputée avec Verna Dunn la nuit du crime et est la dernière personne à l'avoir vue vivante. Une coupable idéale. Trop idéale pour le commissaire Richard Jury de Scotland Yard qui va enquêter à décharge pour innocenter la charmante Miss Kennington laquelle, soit dit en passant, ne le laisse pas indifférent. Mais malgré une innocence de plus en plus évidente, celle-ci multiplie les mensonges. Pourquoi ? Martha Grimes s'est surpassée ! L'auteur, entre autres, de titres aussi célèbres que La Nuit des chasseurs, Le Crime de Mayfair ou L'Affaire de Salisbury, excelle décidément dans la création de personnages complexes, tourmentés et affabulateurs qui servent une intrigue serrée, parfaitement mise en scène. Du travail d'orfèvre en somme, pour les amateurs de brumes britanniques et de morts violentes sur la lande.
Lu par : Claudine Hennevin
Durée : 6h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 29651
Résumé:«Ce qui m'intéresse le plus chez Capote et Salinger, c'est Oona, son premier amour. Je pense qu'elle a été leur principale Muse. C'était la fille d'Eugene O'Neill, le grand dramaturge américain, prix Nobel de littérature en 1936. Les biographes s'affrontent sur la cause de la disparition de Salinger en 1953 : il aurait été traumatisé par la guerre, il serait devenu membre de la secte Krishna, moine bouddhiste zen, il aurait choisi le New Hampshire pour payer moins d'impôts, il aurait été déçu par le milieu littéraire, son orgueil aurait été blessé par une mauvaise critique de John Updike, ou par la méchanceté de Norman Mailer le qualifiant de «plus grand esprit qui soit resté au niveau de l'école secondaire». Mais personne n'a envisagé l'hypothèse sentimentale : il ne s'est jamais remis de sa rupture avec Oona O'Neill. Ils sortaient ensemble quand les Japonais ont attaqué Pearl Harbor. Salinger est parti à la guerre. Il a combattu dans des conditions atroces. De l'armée, il a écrit à Oona des dizaines de lettres enflammées. Il n'était pas encore célèbre, ce n'était qu'un pauvre amoureux, un grand dadais aux cheveux noirs qui rêvait de d'entrer en littérature. Oona est partie tenter sa chance dans le cinéma, à Hollywood. Et le pauvre J.D. s'obstinait, il l'a aimée à distance, il est tombé amoureux d'une absente. Oona incarnait la vie, le retour à la terre natale, le doux visage lointain qui te sert de Graal, quand tu rampes dans la boue d'une forêt allemande, sous les obus.» F.B.
Lu par : Claudine Hennevin
Durée : 8h. 12min.
Genre littéraire : Roman terroir
Numéro du livre : 23156
Résumé:Fier héritier des Ventres jaunes, l'élite de la profession coutelière, le jeune Auguste est ouvrier émouleur à Thiers. Au retour de l'armée il acquiert son propre atelier. Son mariage avec Toinette et la naissance de son premier enfant en font le plus heureux des hommes. Mais la guerre se prépare à embraser l'Europe à nouveau, et Toinette succombe à la grippe espagnole.
Lu par : Claudine Hennevin
Durée : 10h. 39min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 25764
Résumé:Un professeur de médecine réputé de Marseille se retrouve veuf après la mort suspecte de son épouse. Celle-ci, retrouvée dans une position plus suspecte encore, semble avoir été poussée au suicide par son jeune amant, un étudiant en littérature romantique et exalté, qui se serait lui-même « raté » auprès de sa belle. Dans un état critique à l'hôpital, il est accusé de meurtre - et le bon professeur de médecine entend bien qu'il paye. Cependant, pour Raoul Signoret, reporter au Petit Provençal, les indices ne sont pas si évidents qu'il y paraît... Mais qui aurait ainsi intérêt à faire porter le chapeau au jeune homme ?