Recherche par lecteur : Catherine Jauréguy
27 résultats. Page 2 sur 2.
Lu par : Catherine Jauréguy
Durée : 9h. 59min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 22431
Résumé:Le prix Nobel de la Paix 2006 a couronné l'extraordinaire destin et le travail d'un homme qui a transgressé les préjugés conomiques, politiques et religieux les plus tenaces en mettant en place une banque pour les pauvres. En créant au Bangladesh la Grameen Bank, il a prouvé non seulement que le micro-crédit fonctionnait avec une extraordinaire efficacité - plus de 95% des prêts sont remboursés - mais aussi qu'il contribuait à redonner leur dignité à des millions d'hommes et surtout de femmes. Aujourd'hui, grâce à Muhammad Yunus et au micro-crédit, plus de 10 000 institutions de micro-finance sont réparties sur la planète - au Sud comme au Nord - et plus de 150 millions de familles pauvres ont enfin accès à des services financiers adaptés. Une authentique révolution mise en place par un visionnaire dont voici l'autobiographie.
Lu par : Catherine Jauréguy
Durée : 25h. 19min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 25937
Résumé:Guide pratique sur près de 200 plantes médicinales classées par ordre alphabétique. Pour chaque plante une fiche détaillée explique ses propriétés, son mode d'utilisation et les éventuelles précautions à prendre.
Lu par : Catherine Jauréguy
Durée : 15h. 20min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 21224
Résumé:La Belle Epoque ! Il n'est pas sûr que les Français qui ont vécu entre 1900 et 1914 ont eu le sentiment d'être dans une " belle époque ". Beaucoup ont professé, au contraire, l'idée d'une décadence qui accablait leur pays. L'expression " belle époque " a été forgée après la Première Guerre mondiale, au moment où la France comptait ses morts, ses blessés, ses mutilés, et faisait face à l'inflation et à la crise économique. Depuis, de nombreux mémorialistes ont sensiblement nuancé ce regard en arrière quelque peu mythique : la misère, le chômage, la dureté de la condition paysanne et ouvrière, autant de faits indiscutables qui éloignent sensiblement cette quinzaine d'années d'un réel âge d'or. Pourtant, à y regarder de près, et pour peu qu'on se livre à la comparaison, l'historien ne peut s'empêcher de noter tout ce qui concourt à rendre lumineuses ces années-là : l'embellie économique, les dernières splendeurs du franc germinal, l'essor de l'automobile, les débuts de l'aviation, le démarrage du cinématographe, et, par-dessus tout, l'exceptionnelle floraison artistique et musicale, des Demoiselles d'Avignon aux Ballets russes. Avec la clarté et le talent d'exposition qu'on lui connaît, Michel Winock brosse la fresque de ce moment particulier, en montre l'authentique unité depuis l'Exposition universelle de 1900 jusqu'à la veillée d'armes de 1914, et en quoi il constitue l'apogée de la Troisième République.
Lu par : Catherine Jauréguy
Durée : 13h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21046
Résumé:Sa colère - une colère qui ne la quittera jamais - surgit dès qu'elle met les pieds à Paris au spectacle de la misère et de l'injustice qui minent le quartier de Montmartre où elle a ouvert une école. Venant de villages de la Haute-Marne où déjà elle était institutrice et où elle rêvait, adressant à Victor Hugo en exil des poèmes enflammés, elle découvre la grande ville et la réalité de l'oppression du Second Empire. Si laide qu'elle soit, mais si rayonnante, elle s'attache des hommes qui ne l'abandonneront jamais : Clemenceau, Vallès, Rochefort, Théophile Ferré (son seul amour, demeuré platonique). Ses jours sont un combat ; l'Histoire l'emporte : la défaite de 1870, le siège de Paris, la Commune. La Commune ! La barricade qu'elle tient, place Blanche, sera l'une des dernières à tomber. Et la répression : elle manque être fusillée au camp de Satory. Et la déportation en Nouvelle-Calédonie. Amnistiée, elle reprend sa propre guerre qui ne cessera vraiment qu'en 1905, à sa mort. Grande figure de la révolte et de la liberté, figure mythique, Louise Michel rejoint ici Sarah Bernhardt et Suzanne Valadon dans la trilogie romanesque que Michel Peyramaure a élevée à la gloire des femmes du XIXe siècle.
Lu par : Catherine Jauréguy
Durée : 8h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 26603
Résumé:Pour Malraux, le révolutionnaire doit être dans un certain état de disponiblité et de courage. Garine ne s'intéresse pas à sa propre vie. Et il peut mettre une absence totale de scrupules au service d'intérêts qui ne sont pas les siens propres...
Lu par : Catherine Jauréguy
Durée : 5h. 45min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24429
Résumé:Omar, le jeune héros de La Grande Maison et de L'Incendie, est devenu un adolescent grave et réfléchi. Il fait son apprentissage chez les tisserands. C'est dans un sous-sol à l'air raréfié, où la misère montre son visage émacié, qu'il va le mieux approcher du malheur secret de son pays. Nous sommes en 1940 et la guerre est encore trop loin pour que sa rumeur parvienne aux oreilles du jeune Omar. Mais il écoutera les interminables discussions entre les tisserands toujours à l'affût d'une espérance ; il apprendra combien il est difficile au sein d'une communauté écrasée par le labeur, la faim, le dénuement, de relever le visage quand le soleil même le blesse. Dans un décor déjà familier aux lecteurs de Mohammed Dib, c'est tout un peuple qui tend la main non pour mendier mais pour saisir une autre main fraternelle.
Lu par : Catherine Jauréguy
Durée : 11h. 21min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 23738
Résumé:Jean-Luc Einaudi retrace dans cet ouvrage certains événements marquants qui ont ponctué la guerre française en Indochine, de 1945 à 1954. Dans les Forces françaises et des États associés, il y eut officiellement 106 658 morts et disparus. Côté vietnamien, le nombre dépasserait le million de victimes. Mais au-delà des chiffres, ce conflit marqua une génération et un pays, comme la guerre d'Algérie ensuite. On sait combien la classe politique française fut partagée à propos de cette guerre, qu'il faut bien appeler coloniale ; elle suscita scandales, affaires louches, et se termina pour la France par la défaite humiliante de Dien-Bien-Phu.Une enquête minutieuse, des témoignages étonnants de certains acteurs de cette guerre, le parcours de ce curieux personnage que fut Georges Boudarel (un Français qui, par conviction, se retrouva instructeur politique dans les camps où étaient détenus des soldats français) font de ce livre un document riche et passionnant sur cette période et cette guerre qui, dans l'inconscient collectif français, continue d'être perçue de façon trouble et ambiguë. Une guerre que certains auraient bien aimé jeter "à la poubelle de l'Histoire'.