Contenu

Recherche par auteur : Roudinesco, Élisabeth

5 résultats.

Durée : 28h. 2min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 35138
Résumé:L'histoire retiendra que c'est cet homme, précisément, qui a su analyser de la manière la plus fine les transformations de la famille occidentale, le déclin de la fonction paternelle, les contradictions de l'amour, les illusions de la Révolution, la logique de la folie.
Durée : 2h. 13min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 31600
Résumé:Cet ouvrage permet de comprendre ce qu'est l'inconscient et d'aborder son fonctionnement à travers des exemples concrets, tirés de l'imaginaire et de l'univers mental des adolescents.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 5h. 16min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 32291
Résumé:Rappeler ce que fut la geste lacanienne, c'est se souvenir d'abord d'une aventure intellectuelle et littéraire qui tint une place fondatrice dans notre modernité: liberté de parole et de moeurs, essor de toutes les émancipations (les femmes, les minorités, les homosexuels), espoir de changer la vie, l'école, la famille, le désir. Car si Lacan se situa à contre-courant de bien des espérances de l'après-68, il en épousa les paradoxes, au point que ses jeux de langage et de mots résonnent aujourd'hui comme autant d'injonctions de réinstituer la société. Retour sur sa vie, son oeuvre, ce qu'elle fut, ce qu'il en reste, avec pour guide sa meilleure spécialiste.
Durée : 23h. 37min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 30202
Résumé:L'ouverture aux chercheurs de nouvelles archives et la mise à disposition de l'essentiel de la correspondance de Freud sont à l'origine de ce nouvel ouvrage sur le fondateur de la psychanalyse, qui apporte un éclairage nouveau sur l'homme et sur son oeuvre.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 10h. 33min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 70141
Résumé:Le déboulonnage des statues au nom de la lutte contre le racisme déconcerte. La violence avec laquelle la détestation des hommes s’affiche au cœur du combat féministe interroge. Que s’est-il donc passé pour que les engagements émancipateurs d’autrefois, les luttes anticoloniales et féministes notamment, opèrent un tel repli sur soi ? Le phénomène d’« assignation identitaire » monte en puissance depuis une vingtaine d’années, au point d’impliquer la société tout entière. En témoignent l’évolution de la notion de genre et les métamorphoses de l’idée de race. Dans les deux cas, des instruments de pensée d’une formidable richesse – issus des œuvres de Sartre, Beauvoir, Lacan, Césaire, Said, Fanon, Foucault, Deleuze ou Derrida – ont été réinterprétés jusqu’à l’outrance afin de conforter les idéaux d’un nouveau conformisme dont on trouve la trace autant chez certains adeptes du transgenrisme queer que du côté des Indigènes de la République et autres mouvements immergés dans la quête d’une politique racisée. Mais parallèlement, la notion d’identité nationale a fait retour dans le discours des polémistes de l’extrême droite française, habités par la terreur du « grand remplacement » de soi par une altérité diabolisée : le migrant, le musulman, mai 68, etc. Ce discours valorise ce que les identitaires de l’autre bord récusent : l’identité blanche, masculine, virile, colonialiste, occidentale. Identité contre identité, donc. Un point commun entre toutes ces dérives : l’essentialisation de la différence et de l’universel. Élisabeth Roudinesco propose, en conclusion, quelques pistes pour échapper à cet enfer.