Recherche par auteur : Plume, Amélie
6 résultats.
Lu par : Marie-Claude Siegfried
Durée : 2h. 53min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 31499
Résumé:Mécontents et en colère, voilà comment ils se décrivent. " Ils ", ce sont Lily Petite, la soixantaine, journaliste chroniqueuse, féministe lucide, grand-mère grincheuse et Oscar Muller, la soixantaine également, congédié brutalement après une belle carrière. Tous deux sont en fuite. elle fuit sa vie, il fuit sa mère et tous deux, dont les yeux se sont croisés, sautent dans un train. Le jeu du hasard est rattrapé par celui de l'amour tandis que le train s'engage, de tunnels en viaducs, dans de petites vallées alpestres. Amélie Plume déploie son art comique avec astuce, les dialogues croisés entre français, suisse allemand, allemand, et pourquoi pas un peu de romanche font exploser la forme. Le rire dédramatise et allège les constats dévastateurs de Lily Petite sur notre société et sur le rôle de grand-mère en ce début de XXIe siècle
Lu par : Eline Roess
Durée : 1h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15215
Résumé:Mais qui est cette Mademoiselle Petite ? Une petite écrivaine dont les écrits sont publiés en petits tirages dans une petite maison d'édtion d'un petit pays. Une fiction, vraiment ? Un livre étrange et liliputien où il est question de divorce, de départ vers un pays froid où l'amour guette, de retour vers notre beau pays, de petites phrases assassines et de petits rien cocasses... Si certaines personnes ont des doutes que les plus belles années de la vie soient celles de l'enfance..., Amélie Plume en a elle, la certitude. D'une plume qui virevolte, l'écrivain suisse Amélie Plume nous chatouille là où ça nous étonne encore. Globe-trotter puisqu'elle a parcouru l'Afrique, l'Israël, et habité le Québec (d'où le St-Laurent dans le titre), Amélie Plume n'en est pas à son coup d'essai puisque ce roman est déjà le douzième publié chez les éditions Zoé.
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 2h. 30min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14303
Résumé:Un gentil roman qui raconte avec humour et fantaisie la vie de couple d'Émile et d'Amélie qui s'aimaient pour la vie mais qui avec le mariage, les enfants, l'habitude et le quotidien vivent quelques tensions.
Lu par : Dolorès Colombo
Durée : 2h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 6559
Résumé:
Lu par : Jocelyne Corbaz
Durée : 2h. 18min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13936
Résumé:Amette est une femme de notre temps. Une femme qui, dans Toute une vie pour se déniaiser - beau programme - est fermement décidée à arrêter de s'agiter pour une année. Elle veut enfin voir le temps passer. Elle craint de se retrouver, un jour, à se dire, comme un homme de soixante ans qu'elle a entendu: «Je n'ai pas vu le temps passer.» Elle se décide donc à prendre une année sabbatique. Elle en parle à Mégère qui, tout au long du livre, lui donne la réplique. Le dialogue entre les deux femmes...les deux visages de la même femme... est enlevé. Une caractéristique habituelle dans les livres d'Amélie Plume qui sont de vrais rafraîchissements. Leur ton est léger, leur humour corrosif, leurs observations sur les hommes et le temps piquantes. Et Amélie Plume, qui revient souvent sur les événements de sa vie, garde toujours avec une distance empreinte d'auto-ironie. Elle n'y déroge pas dans Toute une vie pour se déniaiser et Mégère l'y aide bien. Elle n'est pas prête à avaler toutes les histoires qu'Amette veut se raconter. Une Amette qui, en retour, traite Mégère de tous les noms.
Lu par : Karine Gremaud Mettraux
Durée : 2h. 14min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 38106
Résumé:Dans Un voile de coton, Amélie Plume obéit à un irrésistible appel vers la terre de ses origines. Elle décide de s’en aller le plus souvent possible loin de sa grise capitale, avec le train, le car, la voiture. Rendre visite à ces petits villages et ces vastes campagnes jurassiennes où elle n’a plus mis les pieds depuis longtemps lui procure une joie profonde et inattendue. Alors son alerte monologue en basse continue se teinte de commentaires de voyage dont la palette va du grand bon sens à l’autoironie la plus cocasse. Son entrain l’amène pourtant à déterrer des souvenirs enfouis « dans une purée de pois », qui, finalement, la conduisent à se mettre en chambre et regarder en face son enfance et sa mère. La seconde partie de ce livre leur est consacrée, avec une honnêteté qui émeut. Du cocon fusionnel « comme dans une poche de kangourou » avec cette mère si douce et sévère à la déchirure d’avec cette femme à l’ancienne, voici le retour d’une féministe à l’enfance, là où l’amour maternel, lorsqu’il est trop fort, peut être source d’une sourde violence.