Recherche par auteur : Mizubayashi, Akira
5 résultats.
Lu par: Bertrand Baumann
Durée: 5h. 7min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 66876
Quatrième de couverture: Tokyo, 1938. Quatre musiciens amateurs passionnés de musique classique occidentale se réunissent régulièrement au Centre culturel pour répéter. Autour du Japonais Yu, professeur d’anglais, trois étudiants chinois, Yanfen, Cheng et Kang, restés au Japon, malgré la guerre dans laquelle la politique expansionniste de l’Empire est en train de plonger l’Asie. Un jour, la répétition est brutalement interrompue par l’irruption de soldats. Le violon de Yu est brisé par un militaire, le quatuor sino-japonais est embarqué, soupçonné de comploter contre le pays. Dissimulé dans une armoire, Rei, le fils de Yu, onze ans, a assisté à la scène. Il ne reverra jamais plus son père... L’enfant échappe à la violence des militaires grâce au lieutenant Kurokami qui, loin de le dénoncer lorsqu’il le découvre dans sa cachette, lui confie le violon détruit. Cet événement constitue pour Rei la blessure première qui marquera toute sa vie... Dans ce roman au charme délicat, Akira Mizubayashi explore la question du souvenir, du déracinement et du deuil impossible.
Lu par: Brigitte Bahurel
Durée: 5h. 53min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 28842
Quatrième de couverture: Le personnage principal garde, dans une boîte à thé en bois laqué conservée au fond d'un placard, une petite portion des cendres de son père. Il en fera de même pour sa chienne Mélodie, répandant ses restes dans son jardin pour la rendre à la terre.
Lu par: Jacques Zurlinden
Durée: 6h. 32min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 72095
Quatrième de couverture: En 1939, Jun est étudiant au Conservatoire de Paris. Mais le conflit sino-japonais le contraint à rentrer au Japon. En quittant la France, il laisse derrière lui son grand amour, sa « reine de cœur », la jeune Anna. L’épreuve de la guerre sera d’une violence monstrueuse. Des années plus tard, Mizuné, une jeune altiste parisienne, découvre un roman qui lui rappelle étrangement le parcours de ses grands-parents, Jun et Anna, qu’elle n’a jamais connus. Bouleversée par la guerre et la folie des hommes, leur histoire d’amour, si intimement liée à la musique, pourrait bien trouver un prolongement inattendu. Le passé récent du Japon et les atrocités commises au nom de la grandeur nationale, la musique vécue comme ce que l’humanité porte en elle de meilleur, la transmission du passé malgré les silences familiaux, l’amour de la langue française : dans ce roman à la fois émouvant et captivant, Akira Mizubayashi continue d’explorer les thèmes qui lui sont chers.
Lu par: Simone Reeve-Gagnebin
Durée: 7h. 18min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 35116
Quatrième de couverture: Sen-nen - prénom japonais dont la signification ne se révélera que tardivement - est marié à Mathilde, une Française. Ancien professeur de littérature française dans une université à Tokyo, Sen-nen vit désormais à Paris avec sa femme, atteinte d'une grave maladie qui l'oblige à garder la chambre. Tous deux mélomanes, ils se sont connus lors d'un stage de musique en France. Bien avant cela, à Paris, Sen-nen avait fait la rencontre capitale d'une cantatrice, Clémence, qui chantait Suzanne dans Les Noces de Figaro. Ebloui, il avait assisté à toutes les représentations et s'était lié d'amitié avec elle. Des années plus tard, alors qu'il l'a perdue de vue, il reçoit un message de Clémence : Les Noces sont redonnées à l'Opéra, dans la mise en scène originelle qu'elle est chargée de superviser. Mathilde laisse son mari aller à la rencontre du passé, pour une longue conversation dans laquelle la musique et l'amour tiendront une place centrale.
Lu par: Chantal Chauveau
Durée: 6h. 13min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 37476
Quatrième de couverture: A. Mizubayashi, d'origine japonaise, témoigne de son rapport à la langue française, s'interroge sur ce qui fait qu'une langue devient familière et sur la façon dont une langue structure une pensée. Ayant vécu les deux tiers de sa vie en français, il livre également ses réflexions sur son sentiment d'appartenance à une culture plutôt qu'à une autre et sur la notion d'étranger.