Recherche par auteur : Milhit, Pierre-André
4 résultats.
Durée : 11h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33628
Résumé:Des fragments poétiques, des réflexions en prose, une par minute...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 41min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 20925
Résumé:Le livre est partagé en 13 parties, autant que de lunes en 2009. Cette année-là a en effet comme caractéristique d'avoir deux pleines lunes dans le mois de décembre, le 2 et le 31. (Les autres, qui donnent leur datation à chacun des textes de Milhit ont eu lieu le 11 janvier, le 9 février, le 11 mars, le 9 avril, le 9 mai, le 7 juin, le 7 juillet, le 6 août , le 4 septembre, le 4 octobre, le 2 novembre.) Chacune des parties définies par Milhit convoque un environnement saisonnier ou culturel autour d'une de ces dates. Cette composition permet au recueil d'éviter le statisme, d'avancer vers sa conclusion en suivant des fils rouges, dans une suite de chapitres qui se répondent et se poussent. Rythmés par des anaphores, les poèmes évoquent la nature, les confins des villes, la montagne, la plaine. On y retrouve un narrateur dans la nuit, qui consigne visions, scènes et images, des personnages de passage, un fou, un sage, quelques renardes et renards, d'autres animaux...
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 1h. 16min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 30333
Résumé:Ces textes écrits au quotidien des saisons composent un livre des heures bleues, celles des faits divers et des sentences auxquels Pierre-André Milhit invente une origine. Il décline un bestiaire savoureux et amoureux, empli des chuchotements de la nature et du murmure des hommes. Tout comme "l'inventaire des lunes", salué par la critique et reconnu bien au-delà des frontières valaisannes, ce nouveau chant célèbre la vie et ses mystères.
Lu par : Sandrine Strobino
Durée : 9h. 6min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 73206
Résumé:Un village sans cimetière est un village mort. Le cimetière de Mase est singulier, tourné plein sud, avec ses croix blanches, ses pierres funéraires sobres, pas une plus haute que les autres. Et surtout, il est capable de séduire les vivants. J’en sais quelque chose, j’y ai laissé, avec bonheur.