Contenu

Recherche par auteur : Buzzati, Dino

8 résultats.

Lu par : Jean Frisch
Durée : 11h. 41min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 6172
Résumé:Avec un vieux bout de crayon ou autre chose, sur des feuilles de papier blanc ou non, pendant plus de vingt ans, Dino Buzzati tint une manière de journal. Singulier journal, constamment au-delà de l'événement, où l'instantané même apparaît transfiguré. Jamais Buzzati n'exprima dans une forme aussi concise et dure le combat quotidien qu'il mena contre ses chimères, sa hantise de vieillir et sa solitude.
Lu par : Yette Perrin
Durée : 2h. 27min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 2656
Résumé:Tout commence le jour où Tonin, le fils du roi des ours, est enlevé par des chasseurs dans les montagnes de Sicile... Profitant de la rigueur d'un hiver qui menace son peuple de famine, le roi décide alors d'envahir la plaine où habitent les hommes. Avec l'aide de son armée et d'un magicien, il réussit à vaincre et finit par retrouver Tonin. Mais il comprend vite que le peuple des ours n'est pas fait pour vivre au pays des hommes...
Durée : 8h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 3589
Résumé:Le roman traite de façon suggestive et poignante de la fuite vaine du temps, de l'attente et de l'échec dans le cadre d'un vieux fort isolé à la frontière où le lieutenant Drogo attend la gloire dont le privera la maladie. En effet après une longue carrière ritualisée par les activités routinières de la garnison du vieux fort Bastiani, il voit se préciser enfin l'attaque des Tartares dont l'existence apparaissait de plus en plus mythique ; mais évacué pour des raisons médicales, Drogo ne peut participer au combat et se rend compte, au seuil de sa mort, que son seul adversaire n'est pas les Tartares, mais la mort. Ainsi, il se rend compte que les Tartares n'étaient qu'un divertissement, une occupation, qui lui permettait d'oublier la mort, lui qui en avait extrêmement peur.
Durée : 12h. 47min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 15793
Résumé:Lorsque le vieux Stefano rencontre enfin le K, le squale qui doit le dévorer, il découvre que le monstre l'a poursuivi sur toutes les mers du monde, non pour le dévorer, mais pour lui remettre la perle merveilleuse "qui donne à celui qui la possède fortune, puissance, amour et paix de l'âme". Devenu avec "Le désert des Tartares", un classique du XXe siècle, ce récit ouvre un recueil de 50 contes fantastiques où l'on retrouve tous les thèmes poignants et familiers de Dino Buzzati : la fuite des jours, la fatalité de notre condition de mortels, l'angoisse du néant, l'échec de toute vie, le mystère de la souffrance et du mal. Autant d'histoires merveileuses, tristes ou inquiétantes pour traduire la réalité vécue de ce qui est par nature incommunicable.
Durée : 2h. 43min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 65852
Résumé:C’est dans son village natal, près de Belluno, que Dino Buzzati, atteint d’un cancer, va passer les derniers mois de sa vie. Conscient que l’échéance fatale est proche, il écrit alors une série de textes courts qui marquent l’aboutissement de ses réflexions majeures. La métaphore de la vie militaire, vers laquelle il revient ici après son célèbre Désert des Tartares, est le moyen pour le grand écrivain italien de se pencher sur les thèmes du sacrifice, de l’obéissance, de la fatalité, de la grandeur, de la vacuité… Derrière l’apparente retenue, l’impassibilité à la fois inquiétante et ironique de ces récits, l’émotion est tangible. On veut bien croire Buzzati lorsqu’il déclare que son « régiment » est prêt à partir. C’est l’« avis de départ » d’un voyageur immobile. Un recueil de nouvelles qui apparaît comme l’apothéose d’une oeuvre tout entière vouée au mystère de la vie… et de la mort.
Lu par : Daniel Burnand
Durée : 4h. 18min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 3640
Résumé:Parmi les cauchemars dont les esprits de la nuit s'amusent à tourmenter les humains, le rêve de l'escalier est un des plus efficaces dans sa simplicité. La rampe se dérobe sous la main du dormeur, se fragmente, se pulvérise, les marches hautes comme des tours se creusent en abîmes ou s'amenuisent en barreaux ployant au-dessus du vide - et l'épouvante serre le coeur du dormeur qui s'y croit cramponné. Cette suite d'espoirs déçus, de certitudes anéanties, de vains efforts incessants a d'autant plus de prix, disent les esprits nocturnes, qu'elle renferme une allégorie de la vie. Il en est de même, en vérité, pour les vingt-quatre autres textes (contes, récits, variations) du recueil auquel Le Rêve de l'escalier donne son titre. De la réalité quotidienne et du pseudo-réel qui hante le sommeil au vrai fantastique, la marge est souvent étroite. Dino Buzzati excelle à glisser de l'une à l'autre, à suivre les méandres des distorsions temporelles, à faire résonner le tic-tac de la pendule fantôme annonciatrice de l'avenir, à chausser les lunettes qui révèlent Les Vieux clandestins, à brancher la télévision-vérité des Inventions, à écouter chiens et vieille auto. , L'humour comme dans l'apologue gai de L'Epouse ailée, l'observation désabusée d'Icare ou de Lettre d'amour, l'ironie amère inspirée par les conflits de générations et le Temps dévoreur des êtres, sont d'autres facettes qu'offre ici le talent d'un des meilleurs écrivains italiens contemporains.
Lu par : Manon
Durée : 7h. 12min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 31478
Résumé:Lu par Manon Treize nouvelles de Buzzati demeurées inédites en France qui expriment l'angoisse face au destin, la hantise de l'apocalypse et de la maladie, la solitude essentielle. On y retrouve la plupart des grands thèmes de l'auteur du Désert des Tartares.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 9h. 51min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19690
Résumé:L'amour quiet, l'amour doux, l'amour bienveillant, l'amour débonnaire, l'amour apaisé, est-ce encore de l'amour ?... Pour Antonio Dorigo, architecte milanais de 49 ans, l'amour qui entre dans sa vie avec la brutalité d'un coup de vent claquant une porte, est comparable à une vilaine maladie qui taraude l'esprit et broie le corps avec la puissance et le déchaînement d'un concasseur de pierres. Ce jour-là, il avait simplement décroché son téléphone et joint Mme Ermelina pour lui réserver une de ses filles. Rien que de très banal, un bourgeois payant pour un peu de bon temps avec une prostituée, dans une maison propre, discrète... « C'était une matinée quelconque d'une quelconque journée ». Jusqu'à ce qu'il la rencontre, elle, Laïde, la jeune fille sélectionnée spécialement pour lui par Mme Ermelina. Quelques rencontres et voilà Dorigo ferré, harponné, pris au piège comme un moucheron dans une toile d'araignée par cette jeune fille qui n'est pas même exceptionnelle au lit ! Laïde, qui se dit danseuse à la Scala, Laïde et son petit minois spirituel, sa beauté vive, l'élégance naturelle de ses manières enfantines que laissent percer les origines plébéiennes, Laïde menteuse effrontée, gamine mutine, perverse et manipulatrice, qui incarne tout ce que lui, le bourgeois bien établi, n'est pas : le parfum de l'interdit, la soif de l'aventure, l'anticonformisme des gens de basse extraction, la révolte, la rage de vivre, l'indépendance.