Recherche par auteur : Baumann, Bertrand
5 résultats.
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 19min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 30369
Résumé:Né en 1941, habitant près de Fribourg depuis 1973, Bertrand Baumann a enseigné le français à des jeunes adultes venant de tous les pays du monde. Depuis sa retraite, il s'est réapproprié sa langue pour son usage personnel, lisant, écrivant, traduisant, enregistrant des textes pour ceux qui ne peuvent lire des yeux et, ces dernières années, interprétant des rôles de théâtre. Les poèmes que voici ont vu le jour parallèlement aux textes en prose. Certains sont des instantanés, d'autres reprennent et condensent plusieurs moments, des émotions répétées.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 4h. 3min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 16504
Résumé:... Il y a paraît-il des gens qui sont du matin, c'est-à-dire des lève-tôt par choix. Je me suis levé tôt, forcé et contraint, pendant tellement d'années, que maintenant pour mon plaisir à ne pas me lever atteint des sommets. Couché à onze heures et demie, endormi à minuit après une bonne petite lecture, je suis sûr qu'à huit heures je n'aurais plus vraiment sommeil. Mais mon organisme a trouvé mieux : je me réveille plusieurs fois par nuit, ce qui me permet de dormir jusqu'à neuf heures sans peine, voire, les jours de pluie, jusqu'à dix heures sans remords...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 6h. 55min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 35174
Résumé:...Les mots, on le sait, tendent à fixer, à figer les significations, à fabriquer de la permanence, à rigidifier le cours du temps. Rien de tel ici : l'auteur, par l'effet d'un art tout de finesse et de légèreté, par un sens aigu de la phrase [...] réussit une sorte de tour de force : se faire le greffier de l'éphémère...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 7h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19829
Résumé:Ecrit dans le vent: ce titre dit à la fois la légèreté et la fugacité. Légèreté que cette sorte de nonchalance avec laquelle l'auteur flâne pour ainsi dire dans sa vie; s'arrête, pensif, près d'un chat; jette un regard doucement mélancolique sur le temps qui est déjà passé; s'émerveille de la présence d'un arbre dans le coin du paysage; se confie à l'instant présent, s'abandonne doucement à ses sortilèges. Ce qui n'exclut pas, çà et là, une bouffée de nostalgie, l'ombre portée d'un désespoir qu'on veut tenir à distance. Mais la tonalité dominante de ce livre, ce qui lui donne ce charme qui ne désarme pas et qui est sa vérité la plus grave, c'est ce sentiment permanent des choses qui passent, des instants qui s'en vont irrémédiablement, des êtres qui déjà s'éloignent. Le beau projet de vouloir retenir un peu la vie était en fin de compte possible, à condition que le livre dans lequel il se réalisait nous vienne «sans rien en lui qui pèse ou qui pose», comme en passant: qu'il soit écrit dans le vent.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 5h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 72179
Résumé:Au fil des pages du Fond de l’encrier, c’est à une leçon de sagesse et de dépouillement que l’auteur nous convie. On le voit se débarrasser peu à peu de tout le superflu qui encombrait son corps et son esprit, déposer sans se retourner les bagages inutiles, se libérer des habitudes, des savoirs, des convictions, des idées auxquels il a cessé de croire.