Contenu

Recherche par auteur : Barilier, Etienne

27 résultats. Page 2 sur 2.

Lu par : Denise von Arx
Durée : 4h. 36min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 14954
Résumé:Qui est le Grand Vieux ? Le chef invisible et tout puissant d'un syndicat de tueurs aux ramifications mondiales, ou bien le Créateur non moins redoutable du Ciel et de la Terre, qui se joue des hommes à plaisir, ridiculisant leurs calculs et leurs passions, leurs rêves de puissance et de justice ? «Dieu a créé le monde en beaucoup moins de sept jours et trouvé que la plaisanterie était bonne» ; ce pseudo-verset biblique imaginé par l'auteur illustre à merveille un récit cruel, sardonique, aussi drôle qu'angoissant, aussi solide que vertigineux, mélange parfait et monstrueux de Genèse et d'Apocalypse. Le Grand Vieux a tellement aimé la plaisanterie du monde qu'il nous a donné Durrenmatt pour le chanter et le magnifier avec cette inquiétante bonhomie et cette convaincante folie qui n'appartiennent qu'à lui.
Durée : 7h. 28min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14449
Résumé:Présentation de l'éditeur : L'Europe n'a plus conscience d'être une civilisation. Au nom de ses crimes anciens, elle a renié le meilleur d'elle-même. Mais en ce début de XXIe siècle, elle n'a plus rien à renier parce qu'elle a tout oublié. Appauvrie et démunie, elle veut être bien avec tous ses voisins, proches et lointains. Elle veut surtout faire le Bien : nos artistes, nos politiques, nos médias, et jusqu'à notre langage, sont maniaques de la vertu. Hélas, c'est la vertu des faibles. Notre Bien est peureux, négatif, superficiel, et surtout il est vide. Et si, au lieu de vouloir être bons, nous essayions d'être nous-mêmes ? Et si, face aux grandeurs des autres civilisations, nous songions à notre grandeur propre, qui n'est pas de chercher la perfection, mais de nous vouloir perfectibles, et de chercher le bien sans jamais quitter des yeux la beauté ni la vérité ?
Lu par : Hélène Knobel
Durée : 1h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 6251
Résumé:Un court récit d'Etienne Barilier, à caractère onirique. Etait-ce songe ou mensonge, vérité entrevue ou suggestion sournoise ? Que cache l'étrange langage des perroquets de l'île ?
Lu par : Jean Frisch
Durée : 15h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 5154
Résumé:En vacances, au cours d'une excursion sur les montagnes de l'île de Madère, un enfant s'égare. Au hasard de son errance, il découvre l'entrée d'une grotte. Une infractuosité banale, mais qui recèle le témoignage d'une civilisation disparue. Madère n'est-elle pas l'une des émergences dans l'Océan, de l'Atlantide engloutie ? Cependant, il faudra des années pour que l'enfant, de retour sur l'île aille jusqu'au bout de sa découverte...
Lu par : Fernande Guex
Durée : 8h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 3947
Résumé:Roman épistolaire, traite du mensonge et de la vérité, aussi bien au niveau individuel que public, sur le fond historique du mouvement de libéralisation de 1968 en Tchécoslovaquie - le printemps de Prague - et de l'intervention armée de l'Union Soviétique.
Lu par : Fernande Guex
Durée : 7h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 2666
Résumé:Un très jeune homme, ignorant tout de la vie, mais habité par des rêves de perfection, se croit porteur d'une "Idée" qui révolutionnerait le monde et sauverait l'humanité. S'il se rend dans les Grisons, à Sils-Maria, durant ses vacances d'été, c'est bien sûr parce que ce site lui paraît s'accorder à ses préoccupations. Mais c'est aussi pour y rencontrer celui qu'il considère comme l'inspirateur de son "Idée", un écrivain tant admiré n'a rien d'un maître à penser. D'ailleurs, il se jouera cyniquement de son admirateur.
Lu par : Anne Gabus
Durée : 9h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 1242
Résumé:Roman policier, agressif et retors, roman de la beauté, contemplatif et musical, Le chien Tristan est d'abord le roman du romantisme, de sa grandeur et de sa dérision. Volontairement cloîtrés au coeur de Rome, les personnages de ce livre « jouent » à s'identifier aux grands créateurs du XIXe siècle, Wagner, Liszt ou Nietzsche. Fous du génie qu'ils n'ont pas, ils sentent que le romantisme, bien plus qu'une exaltation de la passion, est une recherche passionnée de la vérité. A cette vérité, ils sacrifient leur bonheur et leur équilibre. Hors de leur siècle, de leur pays, hors de toute certitude religieuse, placés nus devant l'évidence et l'effroi de l'existence, ces « inadaptés » sont pourtant l'image de l'homme contemporain, déraciné du sacré, et n'osant plus s'avouer à lui-même sa quête désespérée de la vérité. Confrontés à une femme qui refuse le rôle de sublime prétexte, les personnages de ce roman deviendront les rivaux tragiques et pitoyables d'un être dont le regard détient la vérité sans la conscience : un chien, que sa maîtresse a nommé Tristan.