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Recherche par auteur : Auberjonois, Fernand

3 résultats.

Lu par : Denise von Arx
Durée : 4h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14300
Résumé:L'enfant de huit ans - moi en 1918 - découvre gens et choses du monde d'alors au cours d'un voyage avec sa mère qui vient de divorcer. Il dit ce qu'il entend et croit comprendre. Ces citations donnent le ton : - Je n'étais pas pressé de venir au monde. J'attendais qu'il vint à moi. - On parlait d'un déserteur. Donc, pour moi, il venait tout droit du désert. - On nous recommandait d'être accueillants pour les internés, mais eux nous disaient "Foutez le camp". - Allez savoir en quoi la guerre et la paix diffèrent. On m'avait toujours dit "Fiche-moi la paix" donc je pensais que c'était quelque chose de dangereux. - Le contrôleur annonçait "Terminus ! Tout le monde descend !" Donc tout le monde avait là des connaissances. - Les gens disent "Vous êtes trop gentil". Comprends pas. On est gentil ou méchant. C'est tout. - Si vous demandez à ceux qui ont beaucoup voyagé où se trouve Ailleurs leur réponse est vague. Pour moi Ailleurs c'est quand on est parti et pas encore arrivé. - Les habitants des pays montagneux ont ceci qu'ils vivent en plaine. Les médecins m'envoyèrent à la montagne. Je découvris que la montagne n'était pas seulement pour les gens qui toussaient mais pour les vaches aussi. (Fernand Auberjonois)
Lu par : Denise von Arx
Durée : 1h. 4min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 14717
Résumé:Ecrivain-voyageur, Fernand Auberjonois vit en Irlande, non loin de Cork, où il a arrêté son arche de Noé. Parce que l'Irlande est une île - temps changeant, mer voisine, vaches omniprésentes, fleurs et oiseaux en nombre -, et qu'elle est propoce aux histoires, contes, poèmes, rêveries anciennes et modenes de toutes sortes. Il accomplit son oeuvre de chroniqueur, de poète et de grand vivant.
Durée : 4h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16068
Résumé:L'Île aux feux n'appartient pas au domaine de l'imaginaire. Parallèle à Long Island qu'envahissent les banlieues de New York, Fire Island, pour lui donner son nom américain, s'allonge sur plus de cent kilomètres en cordon de sable rectiligne, solitude battue des vagues et des vents. De rares habitations s'accrochent, car il arrive que l'ouragan menace. Il peut tout emporter. Dans ce récit puissant, une Amérique avec ses personnages venus de nulle part vit l'expérience, qui remonte aux Grecs, de la catastrophe pressentie, du défi fatal aux forces supérieures, avec vaines mises en garde, présages, transgression et désastre. Près d'une forêt noyée aux plantes et aux bêtes étranges, une communauté solitaire est divisée en deux camps, deux visions du monde. Les anciens pressentent le péril et se terrent, les nouveaux prétendent ignorer les alertes et s'agitent. Une grande peur descend, alimentée de signes. (Editeur)