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Chien de printemps: roman

Résumé
Evocation d'un photographe rencontré il y a 30 ans par le narrateur, et des souvenirs associés à cette rencontre
Mots-clés: Amitié
Durée: 1h. 43min.
Édition: Vanves, Audiolib, 2015
Numéro du livre: 37029
Produit par: Commerce
ISBN: 9782356419422
CDU: 1.1

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Durée:3h. 49min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:67344
Résumé: Lud a grandi dans l'admiration d'Agafonova, l'écrivaine autour de laquelle gravite toute la diaspora slave de l'Archipel Café, et de sa fille Taisiya. Aussi, lorsqu'elles se retrouvent par hasard à l'âge adulte et que Taisiya lui demande de poser pour elle, un jeu ambigu se met en place semaine après semaine entre la photographe et son modèle : Taisiya s'offre nue devant son appareil, découvre toute sa vérité, sa fragilité, ses fêlures. Il faudra une ultime soirée pour que les acteurs d'un passé déjà à moitié effacé se retrouvent enfin et qu'explosent les rivalités et les faux-semblants.
Durée:1h. 11min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:72403
Résumé: C'est le récit d'une étrange demande que formule un jour un ami photographe, Alain Fonteray, à Célia Houdart : qu'elle écrive le récit d'une rencontre qui hante Alain Fonteray. Plusieurs années auparavant, celui-ci a croisé par hasard dans Paris le grand photographe américain Richard Avedon : dans un café, un homme, assis un peu plus loin, se lève, s'approche d'Alain Fonteray et d'une amie et leur demande s'il peut faire leur portrait. L'inconnu les remercie et s'en va avec une femme rousse. Quelques minutes plus tard, la femme rousse revient dire à Alain Fonteray que l'homme qui les a pris en photo est Richard Avedon. Alain Fonteray, qui admire énormément l'artiste américain, ne l'a pas reconnu. Il le rejoint à un passage piéton. A l'issue d'un bref échange, Richard Avedon accepte à son tour d'être photographié par Alain Fonteray, dans le même café. Près de trente ans plus tard, Alain Fonteray est toujours hanté par cette rencontre. Célia Houdart fait le récit de sa "journée particulière" , sans savoir exactement pourquoi, mais avec le pressentiment d'un mystère. Elle revient sur les lieux de ce double portrait, consulte des catalogues pour mieux connaître l'oeuvre de Richard Avedon. Se met en quête de témoignages de proches du photographe américain. Elle tente de saisir la raison pour laquelle cette journée comptait à ce point pour Alain. "Faire le récit de cette rencontre fugitive avec Richard Avedon me l'a rendue encore plus profonde et mystérieuse, écrit-elle. C'était tenter à ma manière de la sauver de l'oubli, et cela m'a offert l'occasion, par un jeu de reflets et de surimpressions, profitant du trouble dans lequel cette enquête me plongeait, d'explorer des épisodes de ma propre vie et de mon enfance dans les coulisses des théâtres, auprès de mes parents comédiens. Je croyais regarder un autre. Je ne voyais pas, dans cette glace à plusieurs faces, mon propre reflet". Ce livre est une reconstitution, une suite de zooms et de panoramiques, un montage. Un peu comme dans Blow Up de Michelangelo Antonioni. Mais ici il n'y a, heureusement, aucun meurtre.
Lu par:Janick Quenet
Durée:3h. 6min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:65229
Résumé: « Raconter Vivian Maier, c’est raconter la vie d’une invisible, d’une effacée. Une nurse, une bonne d’enfants. Une photographe de génie qui n’a pas vu la plupart de ses propres photos. Une Américaine d’origine française, arpenteuse inlassable des rues de New York et de Chicago, nostalgique de ses années d’enfance heureuse dans la verte vallée des Hautes-Alpes où elle a rêvé de s’ancrer et de trouver une famille. Son œuvre, pleine d’humanité et d’attention envers les démunis, les perdants du rêve américain, a été retrouvée par hasard – une histoire digne des meilleurs romans – dans des cartons oubliés au fond d’un garde-meubles de la banlieue de Chicago. Vivian Maier venait alors de décéder, à quatre-vingt-trois ans, dans le plus grand anonymat. Elle n’aura pas connu la célébrité, ni l’engouement planétaire qui accompagne aujourd’hui son travail d’artiste. Une vie de solitude, de pauvreté, de lourds secrets familiaux et d’épreuves ; une personnalité complexe et parfois déroutante, un destin qui s’écrit entre la France et l’Amérique. L’histoire d’une femme libre, d’une perdante magnifique, qui a choisi de vivre les yeux grands ouverts. Je vais vous dire cette vie-là, et aussi tout ce qui me relie à elle, dans une troublante correspondance ressentie avec mon travail d’écrivain. » G.J.
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Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:66593
Résumé: Ce 18 mars 1933, à Leipzig, Gerta Pohorylle vient d'être arrêtée sous prétexte que ses frères auraient distribué des tracts hostiles au régime. Tout en répondant avec dédain aux questions d'une brute national socialiste (" Nationalité ? polonaise " " Date de naissance ? le 1er août 1910 "), ellelaisse son esprit vagabonder, s'interrogeant sur les deux hommes qu'elle aime : un représentant des cotons américains à Stuttgart, où elle est née, et Georg Kuritzkes, étudiant en médecine et communiste. Dans la cellule où on la jette, son aplomb et son élégance détonnent. D'abord méfiantes, les autres détenues sont vite conquises par sa bonne humeur, et par le colis de vivres qu'elle partage volontiers. Relâchée, la jeune femme comprend qu'elle est en sursis partout en Allemagne, et décide de partir pour Paris. Dès l'ouverture du nouveau roman de Serge Mestre qui lui rend hommage, la personnalité de celle qui deviendra la photographe Gerda Taro est posée : toute sa courte vie, elle restera libre, audacieuse, généreuse et déterminée à disposer elle même de son sort. A Paris, elle ne tarde pas à tomber amoureuse d'un réfugié politique hongrois, rencontré parmi les émigrés arrivés en nombre. André Friedmann est photographe, et Gerta, lassée des petits boulots qu'elle accumule, apprend avec lui le métier, tout en prenant en main, avec sa générosité habituelle, sa carrière. Comme les contrats sont rares, elle lui invente une nouvelle identité de photographe américain, et un nouveau nom : Robert Capa. Elle-même se trouve un pseudonyme, Gerda Taro – " un vrai nom de photographe ", l'encourage son compagnon. La légende est née, dont le romancier s'empare avec l'ironique acuité et le sens de l'ellipse qui lui sont propres. Epousant le point de vue de Gerta/Gerda, il met en lumière la singularité, le talent et la modernité de celle dont l'histoire a surtout retenu le tandem qu'elle a formé avec Capa. En Espagne où ils sont envoyés par Vu après le putsch du 18 juillet 1936, les deux reporters travaillent côte à côte, et Gerda n'hésite pas à rembarrer sèchement Capa quand il s'approprie les photos qu'elle a prises. Jamais elle ne sera la femme d'un homme, elle le revendique haut et fort : malgré son lien avec Robert, elle n'a pas rompu avec Kuritzkes, mène sa trajectoire comme elle l'entend, mue par un courage et un appétit de vie exceptionnels, jusqu'à sa mort absurde, écrasée par un char républicain le 26 juillet 1937. Fascinante figure que celle de Gerda Taro, dont Pablo Neruda et Louis Aragon prononcèrent l'éloge funèbre au Père-Lachaise. Plusieurs ouvrages lui ont été consacrés : par Robert Capa lui-même qui, dans l'album Death in the Making (New York, 1938), retrace leurs douze derniers mois passés à couvrir la Guerre civile ; par François Maspero, qui publia L'Ombre d'une photographe en 2006 (Le Seuil) ; plus récemment, Après Gerda, du romancier Pierre-François Moreau (Editions du Sonneur, 2018) et La ragazza con la Leica, prix Strega 2018 de l'Italienne Helena Janeczek (Guanda, pas encore traduit en français). Regarder, portrait d'une féministe en avance sur son temps, est aussi une traversée tambour battant de la si brève et passionnante période pendant laquelle Gerda Taro sut inscrire son nom au firmament des photographes.
Durée:6h. 4min.
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Résumé: Vacances de neige pour Choura, le célèbre labrador aux yeux bleus. Entre leçons de ski avec la baronne Orczy, cours de patins à glace et valses à l'hôtel, Choura rencontre la douce et belle Flor de Oro.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Durée:3h. 16min.
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Résumé: C'est peut-être cela l'enfer : "Hanter les couloirs du métro pour l'éternité avec un manteau jaune." Mais en châtiment de quelle faute ? Cette femme en jaune que la narratrice croise un jour au métro Châtelet et en qui elle reconnaît sa mère, de quoi est-elle coupable ? D'avoir menti ? On la croyait morte au Maroc et elle vivrait à Paris ? D'avoir abandonné sa fille, celle qu'on appelait la Petite Bijou, au temps où elle rêvait de faire carrière dans le spectacle ? Seuls les noms propres permettraient peut-être de retracer le passé, de savoir qui était vraiment cette femme énigmatique : Suzanne Cardères, selon l'état civil ou la comtesse Sonia O'Dauyé du temps de ses rêves de grandeur, ou La Boche après la guerre quand elle dut s'enfuir au Maroc pour ne pas être tondue ou encore Trompe-la-Mort alors qu'elle survit misérablement dans un coin de la banlieue parisienne ? Le dernier Modiano est un roman policier mélancolique sans coupables où il n'y a que des victimes, personnages en déréliction comme cette Petite Bijou qui ne parvient pas à se remettre d'une enfance sans père, sans même l'amour d'une mère, de toutes ces blessures que la vie quotidienne ne fait que raviver. Et qui n'a pour toute consolation que la musique des mots, le nom d'un café dans le Paris des années cinquante, un poème à la radio dans une langue inconnue, le nom mystérieux d'hommes et de femmes qui s'inventent une identité pour mieux oublier leur vie sans attrait. La musique de Modiano, ce style si singulier, n'aura jamais été plus poignante que dans cette étrange balade sur les traces d'une enfance ravagée.
Lu par:Jean Frey
Durée:3h. 58min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20937
Résumé: Comment devenir traître, comment ne pas l'être ? C'est la question que se pose le héros du récit qui travaille en même temps pour la Gestapo française et pour un réseau de résistance. Cette quête angoissée le conduit au martyre, seule échappatoire possible. Par ce livre étonnant, tendre et cruel, Modiano tente d'exorciser le passé qu'il n'a pas vécu. Il réveille les morts et les entraîne au son d'une musique haletante, dans la plus fantastique ronde de nuit.