Erreur médicale: j'ai gagné mon procès: récit
Résumé
Quatrième de couverture : Comme beaucoup de femmes de ma génération j'ai arrêté de travailler à la venue des enfants pour me consacrer entièrement à ma famille. Jusqu'à l'âge de 46 ans je menais une vie heureuse et bien remplie. Rien et personne ne m'avait préparée à ce drame, à ce changement brutal que fut mon "erreur" de tomber entre les mains de ce chirurgien qui a ruiné ma santé, qui m'a précipitée dans ce monde de douleurs, de tristesse et de combat continuel pour vivre et survivre. Dix opérations, plus d'une année d'hôpital, apprendre à vivre avec un corps mutilé, une âme meurtrie et "la peur au ventre". Oui, j'ai beaucoup appris, beaucoup progressé, mais à quel prix !
Lu par :
Flory Lambelet
Genre littéraire:
Biographie/témoignage
Mots-clés:
Erreurs médicales -Récit
Durée:
8h. 58min.
Édition:
Vulliens, Ed. Mon Village, 2002
Numéro du livre:
14943
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782881940514
Collection(s):
Témoignages
CDU:
616.92
Documents similaires
Lu par : Simone Chaix
Durée : 2h. 24min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 7683
Résumé:Cet ouvrage est un témoignage de l'existence et de la survivance de l'âme après la mort, en cela il ouvre à une conscience plus large dont le but est l'appréhension de l'Unité plus que de l'Invisible. Le 25 octobre 1985, Jo Fauchère, guide de montagne, fait une chute mortelle dans l'Himalaya où deux de ses camarades trouvent également la mort quelques jours auparavant. Andrée Fauchère, sa femme, raconte le drame et comment s'est instauré le dialogue qui, grâce à l'amour qui les relie, leur permet de communiquer d'âme à âme. « Il est vivant! »... d'étranges phénomènes se passent dans sa vie: elle entend la voix de son mari l'appeler... elle sent sa main guidée par une force puissante... ce qu'elle écrit, véritable enseignement, lui vient d'une autre dimension de sa conscience.
Lu par : Vincent Levesque
Durée : 4h. 40min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 74014
Résumé:Des témoignages de sainteté d'enfants polonais, russes ou hongrois, qui datent de l'époque des persécutions communistes.
Lu par : Renée Coquemont
Durée : 9h. 25min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 26101
Résumé:Magnitogorsk, énorme combinat sidérurgique et ville-champignon, fut créé en 1929, au sud de l'Oural, au milieu de la steppe, à des milliers de kilomètres à l'est de Moscou. Cette ville-usine surgie à partir de rien, comme des centaines d'autres construites à la même époque en Union Soviétique, allait abriter ce qui fut longtemps le plus important complexe sidérurgique mondial. Alors que, partout ailleurs dans le monde, la crise de 1929 et ses suites provoquaient la fermeture de nombre d'entreprises en jetant sur le pavé des dizaines de millions d'hommes et de femmes, l'URSS s'industrialisait à grande vitesse. Conçus dans le cadre de la planification d'une économie que la révolution d'octobre 1917 avait collectivisée, des usines géantes, des barrages, des villes industrielles voyaient le jour, en mobilisant des millions de travailleurs. John Scott, jeune Américain sympathisant communiste, devenu ouvrier qualifié pour aider l'URSS, participa de 1933 à 1938 à la construction de Magnitogorsk. Il a décrit ce que fut cette industrialisation, l'enthousiasme qui la rendit possible malgré les conditions les plus pénibles, les espoirs qu'elle souleva, les privations et la gabegie qui l'accompagnait donne aussi à voir l'arriération du pays, les populations paysannes découvrant le monde de l'industrie, les moeurs de la bureaucratie locale, les prélèvements qu'elle opère sur l'économie tandis que frappe la répression stalinienne. L'ouvrage de John Scott, publié aux Etats-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, cherchait à convaincre que l'allié soviétique avait su créer une puissante industrie " au-delà de l'Oural ", hors d'atteinte des armées hitlériennes. Le fait que John Scott attribue cela à ce qu'il appelle " le génie de Staline " témoigne de l'aveuglement qui conduisit la majorité des communistes de l'époque à confondre les succès qu'avait permis la révolution d'octobre et la politique de Staline. Une politique qui, loin d'être géniale, accumula les zigzags, les coups de force bureaucratiques, sous fond de dictature policière permanente, qui se soldèrent par des millions de victimes. Ce livre, publié avec une nouvelle traduction, permet de comprendre comment le régime issu de la révolution d'octobre 1917 a pu, malgré le stalinisme, transformer radicalement un sixième de la surface du globe.
Lu par : Manon
Durée : 58min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 28422
Résumé:François Mauriac grandit à Bordeaux puis dans plusieurs lieux girondins qui marqueront profondément son oeuvre, les Landes de Gascogne autour de Langon, Verdelais et Saint-Symphorien, avant de partir étudier à Paris en 1905. Dans ce texte, le seul qui soit vraiment autobiographique, il raconte son enfance et son adolescence.
Durée : 3h. 30min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 23194
Résumé:Quiconque est un tant soit peu familier de l'oeuvre de François Mauriac sait quelle place majeure y occupent les références raciniennes. Non seulement François Mauriac a écrit La Vie de Jean Racine, mais encore ses ouvrages autobiographiques et son bloc-notes foisonnent de citations de Racine. Cette présence insistante de Racine dans la littérature mauriacienne méritait un examen. Le texte de la conférence ici lue par André Le Gall a été publié dans les Cahiers François Mauriac. Poète, François Mauriac a reçu en héritage la poésie racinienne dès l'adolescence, et ce fut pour lui, comme pour beaucoup d'autres, la révélation de ce qu'est la poésie, quand le don du poète la fait paraître dans sa puissance souveraine. Puis, lorsque la connaissance de l'auteur de Phèdre s'est faite plus précise, plus historique, ce fut pour l'enfant chargé de chaînes, que devait saluer Maurice Barrès en 1910, la découverte d'une connivence intime, la rencontre entre l'enfant de Port-Royal courant après la renommée dans les années 1660 et le jeune Mauriac cherchant la notoriété dans le Paris littéraire de l'avant-guerre 14, entre le poète de théâtre poursuivi par l'anathème jeté sur son art par ses maîtres jansénistes et le fils de Claude Mauriac, hanté par ses responsabilités de romancier catholique, entre l'artiste classique, exact contemporain de Louis XIV, résolu quoi qu'il advienne à livrer l'oeuvre qu'il porte en lui et le littérateur monté du Bordelais, lui aussi tourmenté par le talent reçu, la confluence entre le dramaturge de Phèdre et le romancier du Noeud de vipères, tous deux travaillés par la même crainte et la même espérance au sujet du salut. Et c'est pourquoi, lecteur inlassable de Racine, Mauriac s'en est fait le biographe sans cacher, dans sa Vie de Jean Racine, tout ce qu'il entre de subjectivité dans sa démarche : «Toute biographie, écrit-il, doit passer par nous-mêmes...»
Lu par : Claude Pineau
Durée : 35h. 16min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 25509
Résumé:" Né " républicain - en plein Bocage vendéen ! - en 1841, Georges Clemenceau dut, tout jeune, combattre le pouvoir issu du 2 Décembre. Jusqu'à sa mort (1929), il garda de cet apprentissage la conviction que la vie publique était une lutte : lutte pour consolider la République quand d'aucuns prêchaient un modus vivendi avec ses adversaires, lutte pour la laïcité, lutte pour Dreyfus, lutte pour renforcer l'armée quand la paix paraissait à ce prix, lutte enfin pour la victoire quand la guerre devint inévitable. Ni l'intérêt personnel - il refusa plusieurs fois le pouvoir à des conditions qui ne lui convenaient pas - ni l'idéologie - il évolua de l'extrême gauche vers le " centre " et s'opposa, lui l'athée convaincu, aux excès de l'anticléricalisme - ne le guidèrent jamais. La République et la France s'identifiant à ses yeux, il entendait les fortifier et non les diviser. Passionné, orgueilleux, d'une lucidité terrible sur les hommes, dur, brutal à l'occasion, il ne cessa, par le verbe comme parlementaire (élu de Paris, puis du Var), par la plume comme journaliste, écrivain et patron de presse, d'appeler à la vigilance et à l'effort. Et quand, en 1917, tout parut perdu, quand les politiciens et les généraux routiniers eurent échoué, il fallut bien se tourner vers le seul homme qui ne fût pas compromis dans les expériences antérieures, le seul aussi dont la combativité et l'ardeur fussent inentamées en dépit de l'âge - soixante-seize ans ! - : Clemenceau. C'est lui, on le sait, qui mena le pays à la victoire, mettant un terme à d'indicibles souffrances. A cet homme exceptionnel - au jeune médecin des pauvres, au maire de Montmartre sous la Commune, au tombeur de ministères ", au directeur de journal qui trouva le titre J'accuse ! pour le célèbre article de Zola, à l'ami de Monet, au voyageur, à l'amoureux, à l'auteur de Démosthène et de Au soir de la pensée, au collectionneur de Kogos japonais, au duelliste et à ses mille autres facettes -, Jean-Baptiste Duroselle a consacré un ouvrage non moins exceptionnel, foisonnant d'informations nouvelles admirablement maîtrisées - une biographie définitive.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 14h. 26min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 36255
Résumé:Entre la myriade de livres écrits, et la série déjà culte " Narcos ", nous pensions que tout avait déjà été dit sur l'ascension fulgurante et la descente aux enfers de Pablo Escobar, le plus grand trafiquant de stupéfiants de tous les temps. Mais ces versions ont toujours été racontées d'un point de vu extérieur, incapables de dévoiler la véritable intimité du personnage, occultant bien souvent une partie de la vérité. Aujourd'hui, vingt ans après une chasse à l'homme acharnée, son fils lève le voile sur un des personnages les plus marquants du vingtième siècle. Découvrez le portrait d'un homme tout en contradiction, généreux avec les autres, père de famille aimant, et également capable d'actes d'une violence et d'une cruauté inouïe. A travers les yeux de son fils, plongez dans l'univers intérieur d'un homme célébré par certains comme un Robin des Bois à la main généreuse, et craint par d'autres comme le chef impitoyable de la plus grande mafia de l'histoire de l'humanité. A la mort d'Escobar, son fils, encore adolescent, jura de le venger. Mais Escobar Junior réalisa vite qu'il s'agissait pour cela de suivre les traces de son père – quelque chose qu'aucun des deux n'avaient jamais souhaité. Une fois le coeur apaisé, il décida de dénoncer l'héritage de Pablo Escobar. Il ne s'agit pas là de l'histoire d'un fils en quête de rédemption, mais de son regard éclairé sur les conséquences de la violence, et sa tentative d'y mettre un terme.
Quand les étoiles deviennent noires: des rues d'Abidjan aux podiums d'Yves Saint Laurent
Ayoko, Rebecca
Lu par : Dominique Thomas
Durée : 5h. 24min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 20349
Résumé:Quand les étoiles deviennent noires est le nom d'une robe qu'Yves Saint Laurent a dédiée à son mannequin-vedette, Rebecca Ayoko, qui fut son égérie dans les années 1980-1990, décennies durant lesquelles la Haute Couture était à son apogée. Le parcours de Rebecca Ayoko est bouleversant à plus d'un titre : née dans la misère, dans une petite ville de Côte d'Ivoire, Rebecca, qui aurait pu devenir prétresse vaudou comme bonne sœur, se retrouve enfant-esclave battue, exploitée, violée et mère à 13 ans. Dotée d'une incroyable force vitale, elle lutte pour s'en sortir et décider de son destin. Repérée pour sa beauté incroyable, Rebecca devient Miss Côte d'Ivoire et s'envole pour Paris. Elle gravit les échelons du mannequinat, et devient rapidement le mannequin-star d'Yves Saint Laurent. Admiration réciproque, complicité, la relation entre Rebecca et le grand couturier est unique. Nous suivons à travers elle l'épopée de la mode, où les couturiers, les top-models et la jet-set défraient la chronique.
Lu par : Augustin De Montalivet
Durée : 6h. 26min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 75921
Résumé:Je suis une vagabonde prédestinée. Je n'ai pas de village natal. Quand elle écrit Vagabonde, Fumiko Hayashi est âgée d'à peine 25 ans. Le succès phénoménal de ce journal romancé, qui fait l'objet d'un véritable culte dès l'année de sa parution, la rend instantanément célèbre. Femme libre dans le Japon des années 1920, elle raconte sans fard son quotidien de misère et d'errance. Issue d'une famille pauvre de marchands ambulants, partie très jeune tenter sa chance seule à Tôkyô, elle est tour à tour vendeuse de rue, ouvrière dans une fabrique de jouets, serveuse, entraîneuse. Elle publie en revue ses premières nouvelles et ses premiers poèmes, tout en côtoyant ce qu'elle appelle le "monde de la nuit " : la faune des bars, les prostituées, les peintres, les anarchistes... Dans un style imagé aux fulgurances poétiques, elle propose le tableau d'une génération et décrit, à travers un autoportrait saisissant, l'entrée du Japon dans la modernité. Cette première publication d'une écrivaine majeur n'avait jamais encore été traduite en langue française.
Lu par : Stanislas Hubsch
Durée : 6h. 42min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 29830
Résumé:Une anthologie thématique rassemble des passages puisés dans ses livres et dans un corpus inédit de conférences, d'interviews, de discours, préfaces et notes personnelles. Il participe à la Résistance, est arrêté par la Gestapo et déporté. Il va en Indochine, en Algérie et participe au putsch.
Lu par : Manon
Durée : 8h. 44min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 34321
Résumé:Lu par Manon 22 portraits de personnages violents, cruels ou pervers qui incarnent la noirceur humaine à travers les siècles : Caligula, Kim Jong-Un, Gilles de Rais, la Voisin, Pol Pot, Ben Laden, etc. Avec des contributions de spécialistes, d'historiens et de journalistes. ©Electre 2017
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 6h. 13min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 15784
Résumé:Sur l'instant, j'ai été stupéfait, car j'étais très jeune et je n'avais jamais assumé de commandement maritime. Cependant, dans le fond, je savais que ce qu'on s'apprêtait à faire était important. J'étais très fier du rôle qu'on me donnait, même si l'état de l'Exodus m'inquiétait un peu : c'était un vieux rafiot, très lourd, recouvert d'une épaisse couche de rouille, mais son faible tirant d'eau lui donnait un gros avantage, car il pouvait longer les côtes, là où les navires britanniques risquaient de s'échouer...