Histoire du lion Personne
Résumé
L'histoire romancée du lion Personne, qui vécut au Sénégal et en France, arrivé à la ménagerie de Versailles en 1786 et mort en 1796. Une épopée racontée du point de vue de l'animal. ©Electre 2016
Pas disponible en CD.
Lu par :
Manon, voix de synthèse
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Mots-clés:
Rentrée littéraire 2016
/
Durée:
3h. 11min.
Édition:
Paris, Seuil, 2016
Numéro du livre:
33072
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782021331783
Collection(s):
Fiction & Cie
Documents similaires
Lu par : Sarah Boudon
Durée : 5h. 56min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 68631
Résumé:Les histoires d'amour ne se ressemblent pas. Cependant elles entretiennent des correspondances secrètes à travers le temps et l'espace. Alice et Vincent s'aiment, aujourd'hui, à Paris : ils ont l'art et l'érotisme en partage. Leur passion entre mystérieusement en résonance avec d'autres amours, des collines de Rome aux rivages du Brésil, et jusque dans la Grèce antique. Dans cette chasse éperdue où l'on ne sait plus qui fuit et qui assaille, on croise Piero di Cosimo, l'énigmatique peintre de la Renaissance, Diane et Actéon, chasseurs illustres, Ariccia et Philippe, égarés en Italie pendant la Seconde Guerre mondiale, et bien d'autres amants pris dans les tumultes de l'Histoire.
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 8h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16305
Résumé:Akira Kumo est un couturier japonais. Il collectionne les livres consacrés aux nuages. Pour classer sa bibliothèque, il engage Virginie Latour, une jeune femme à qui il raconte des histoires de chasseurs de nuages. Celle de Luke Howard qui inventa leurs noms, celle de Richard Abercrombie qui fit le tour du monde pour voir s'ils étaient partout identiques ; la sienne, tragique, dont il se souvient petit à petit. Un premier roman qui traite de l'oubli comme moyen de survie.
Lu par : Roger Messié
Durée : 8h. 29min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 22310
Résumé:On n'a plus eu de ses nouvelles depuis ce temps-là, et voilà comment je suis demeuré fils unique ", écrit dans ses Confessions JeanJacques Rousseau en évoquant son frère aîné, ce François Rousseau contraint de quitter Genève où les choses pour lui avaient mal tourné. Jean-Jacques tenait François pour un polisson et un libertin. Ce dernier apparemment ne l'a jamais démenti, qui n'a pas jugé nécessaire de nous laisser récit de sa vie. Il m'a semblé intéressant de remédier à cette négligence.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 6h.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 19056
Résumé:« Quatre lettres tirées aux loteries de l'histoire : Roma. Et tous ces grands savants qui se penchaient sur moi ; certains me déclarant femelle, comme une louve ou comme une putain, d'autres disant que je devais mon nom au mâle fondateur qui traça mon enceinte. Moi, je ne disais rien, naturellement ; mais n'en pensais pas moins. Au petit jeu fastidieux de la vérité je leur souhaitais bien sûr tout le plaisir du monde, et ne m'en mêlais pas. Enfin j'avais vécu, comme toi, mon amour, comme tout le monde : une vie, toute une vie, rien qu'une vie. » Pourquoi la ville de Rome ne prendrait-elle pas la parole dans un roman ? Les animaux le font bien dans les fables. Et l'on peut espérer qu'une ville a autant à nous dire que la plupart des hommes. Au reste, on se lasse de tout, y compris d'être éternel. Il arrive que Rome ait des moments d'absence. Il se passe alors des choses étranges : Audrey Hepburn reprend des vacances romaines, Mussolini du service, et des fauves de nouveau bondissent dans l'arène du Colisée. Quand le temps est hors de ses gonds, il ne reste aux hommes comme aux villes qu'à tenter d'en sortir : cela s'appelle l'amour.
Lu par : Henriette Kunzli
Durée : 4h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 10156
Résumé:Pour ce second retour au pays natal, Dominique Eddé trouve dans la forme du monologue où l'autobiographie fait résonner les multiples voix qui peuplent sa mémoire, où d'innombrables personnages tour à tour drôles et pathétiques s'invitent d'eux-mêmes, la forme d'écriture qui répond le mieux à son esthétisque, totalement libre et absolue.
Lu par : Manon
Durée : 15h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 29112
Résumé:New York, début des années 2000, entre l'éclatement spectaculaire de la bulle Internet et l'effondrement des tours jumelles. Maxine, jeune mère new-yorkaise à la vie amoureuse mouvementée, est une inspectrice des fraudes qui a perdu sa licence officielle pour avoir trop bien conseillé un client véreux. Elle n'a pourtant pas remisé son pistolet, et la voilà embarquée malgré elle dans une aventure haletante et dangereuse : comment se fait-il que la start-up du très louche Gabriel Ice n'ait pas bu le bouillon alors que l'ensemble du marché du Net s'est brutalement dégonflé quelques mois auparavant ? D'où viennent les flux de capitaux qui circulent vers de mystérieux comptes à l'étranger ? Pour le savoir, Maxine, entourée par une ribambelle de personnages décalés, va devoir plonger et éviter de se perdre dans le Web Profond, cette interzone quasi inaccessible, refuge des hackers anarchistes, des cybervoyous et des âmes perdues.
Lu par : Sabine Marais-Veyrat
Durée : 8h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23466
Résumé:C'est le journal d'une traversée du continent africain à la hauteur de l'Equateur, depuis les îles autrefois portugaises de Sao Tomé et Principe, dans l'Atlantique, jusqu'à Zanzibar dans l'océan Indien. Le prétexte, le point de départ, est le transfert controversé des dépouilles de Savorgnan de Brazza et de sa famille, d'Alger où elles reposaient depuis le début du XXe siècle jusqu'à Brazzaville où on leur édifie un mausolée.
Lu par : Marie-José Caillard
Durée : 7h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21107
Résumé:C'est l'histoire d'un type qui raconte à la fille de son meilleur ami, mort depuis longtemps, ce que fut leur jeunesse à l'époque presque fabuleuse - la fin des années 60 - où l'on croyait dur comme fer à la Révolution. Internet n'existait pas, ni le TGV ni les portables ni le câble ni les walkman ni les répondeurs. Les pavillons de Baltard ouvraient encore leurs parapluies au-dessus du ventre de Paris, la télé était en noir et blanc, le président Pompe allait succéder à de Gaulle. Au Vietnam la " guerre du peuple " défaisait la puissance américaine, les impérialistes étaient des tigres en papier, la Chine était rouge pour l'éternité, le Che plus grand mort que vivant. L'Internationale serait le genre humain. C'était dans la nuit des temps... Voici donc la vie très horrifique de Martin et de son ami Treize, et du reste de la bande, Fichaoui-dit-Julot, Reureu l'Hirsute, Momo-Mange-serrures, Judith et Chloé, Roger le Belge, tous les autres, les saints et les balances, les castagneurs et les pleutres, les rebelles et les fayots, avec leurs faits et prouesses épouvantables... Il y a dans cette histoire du grotesque mais aussi de la poésie brute, la bêtise y côtoie beaucoup de romantisme, on peut appeler ça comme ça. La scène, le récit, se passe la nuit, dans une voiture qui tourne inlassablement sur les périphs, comme une navette spatiale satellisée autour de Paris. Moteur !
Lu par : Nuria Lapègue-Mari
Durée : 5h. 30min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21111
Résumé:Élise se penche sur un souvenir de ses vingt ans qui ne cesse de l'obséder. Alors qu'elle allait rejoindre ses parents en cure dans une station thermale des Pyrénées, elle fait la connaissance d'une petite fille de sept ans, Lola, à la pâleur maladive. Dans le village, on murmure qu'elle est la soeur de deux monstres, deux garçons que ses parents cachent dans le ventre obscur de l'opulente maison familiale. Élise est à la fois attirée et repoussée par l'image de ces garçons d'en face que personne n'a jamais vus. De la question : existent-ils vraiment ?, elle passe insensiblement à une autre interrogation : qu'est-ce qu'un monstre ? Entre réalisme et onirisme, Élise avance de la lumière crue de cet été d'antan, jusqu'à la nuit claire et obsédante où, soudain, la vie devint un songe.
Lu par : Paula Viala
Durée : 9h. 57min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71061
Résumé:La Polynésie se décline en un poudroiement d’îles, atolls et archipels, sur des milliers de kilomètres, mais en fin de compte un ensemble de terres émergées assez réduit : toutes réunies, elles ne feraient pas même la surface de la Corse. Et ce territoire, c’est le Fenua. Comme toujours chez Deville, le roman foisonne d’histoires, de rencontres et de voyages. On déambule, on rêve. On découvre les conflits impérialistes et coloniaux qui opposèrent la France et l’Angleterre, on croise Bougainville, Stevenson, Melville, puis Pierre Loti sur les traces de son frère Gustave, ou Victor Segalen et Gauguin, le peintre qui a fixé notre imaginaire de cette partie du monde, entre douceur lascive et sauvagerie. Des îles merveilleuses qui deviendront, vers le milieu du xxe siècle, le terrain privilégié d’essais nucléaires dont le plus sûr effet aura peut-être été de susciter un désir d’indépendance…
Lu par : Michel Audierne
Durée : 5h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34471
Résumé:Cette nuit-là, au milieu du port de Cherbourg, Charles la sauve de la noyade et la hisse à bord, inconsciente. A-t-elle glissé ? A-t-elle sauté ? Quelle est la couleur de ses yeux ? Catherine se réveille dans ce voilier inconnu et part sans explication. Mais elle reviendra, comme la mer monte et descend. Et Charles, le marin, l'attendra à quai, jusqu'à ce que leur histoire commence, comme dans un roman d'aventure...
Lu par : Nadine Beucher
Durée : 2h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35234
Résumé:C’était dans les années juste après l’explosion de Mai 68, celles de la jouissance et de l’évaluation des dégâts. Celles d’après le crash planétaire des Beatles. Celles des anciens combattants abattus, titubants, des filles qui reprenaient leurs esprits. Celles de Bowie. De la culture pop critique, du structuralisme, de la mise en abyme. Tout paraissait possible, les portes étaient ouvertes, et l’aventure au coin de la rue. Certains allaient s’éteindre, le souffle coupé. D’autres allaient traverser le feu. C’étaient les années 70 et, pour moi, cela se passait place des Vosges. [Seuil]