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Ils sont sept mille: quelques hommes et femmes disent pourquoi ils travaillent en EMS: témoignages recueillis en 2005 dans cinq EMS vaudois

Résumé
Rencontre avec des membres du personnel de cinq EMS lausannois et interrogation autour de leurs motivations...
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 1h. 19min.
Édition: Lausanne, Fondation Mont-Calme, 2005
Numéro du livre: 18663
CDU: 307

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Durée:3h. 43min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14478
Résumé: Au moment d'ouvrir l'avant-dernière porte de l'existence, Laure récapitule les rencontres, moments, lieux, qui ont laissé leur empreinte dans son corps, qui ont tissé sa vie aussi en lui donnant forme et dimension. Sa mémoire lui restitue par morceaux détachés, au fil des sensations retrouvées, des moments intenses et parfois mal vécus qui ont marqué ses jours, ses désirs, ses passions...
Durée:3h. 11min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:18417
Résumé: Isabelle Guisan a voulu retenir un peu de la vie qui brinquebale sur les rails et sillonne les grandes gares. Pendant plus d'un an, le journal Le Temps a publié chaque semaine ses chroniques Train de vie écrites au fil des saisons et au hasard d'itinéraires imprévus.
Durée:5h. 8min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18451
Résumé: Sophie débarque du monde du théâtre dans celui des maisons de retraite. Elle est saisie d'emblée par l'écho des voix contrastées qui résonnent à Bellevue, le vaste établissement médico-social qui l'engage pour stimuler le dialogue. Confidences, cris et rumeurs s'y rencontrent, s'y entrechoquent parfois. Dans cet ouvrage qui oscille entre l'observation documentaire et le récit littéraire, Isabelle Guisan donne à entendre cette polyphonie. Aux sons et bruits de la vie quotidienne en institution, interrompus ici et là par les annonces de décès, répondent quelques fortes paroles de résidants mais surtout le monologue intérieur de son héroïne. Sophie ose la confrontation avec ce monde clos avant de reprendre la distance nécessaire à la représentation, au jeu, bref au théâtre.
Durée:2h. 20min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:19373
Résumé: « Bien avant que les Indignés n'occupent la Puerta del Sol, les jeunes Grecs manifestaient déjà leur colère contre la classe politique et l'obligation de choisir entre un avenir à 600 euros ou émigrer vers nulle part. Nous sommes partis à leur rencontre dès le mois de février 2011 en nous laissant guider par l'actualité, par le hasard aussi, pour esquisser quelques portraits en textes et images. La Grèce parlait d'ériger un grillage sur le fleuve Evros qui la sépare de la Turquie ? Nous sommes allés voir sur place, dans la petite ville frontière d'Orestiada. Nous nous sommes rendus aussi à Xanthi et dans la vallée des Pomaks, en Thrace toujours, pour découvrir des jeunes appartenant à la minorité musulmane. Puis des Grecs et des enfants d'immigrés vivant sur deux Cyclades, Paros et Kéa. Enfin Athènes bien sûr. Sans oublier des jeunes Grecs venus étudier et travailler en Suisse... » C'est ainsi qu'Isabelle Guisan introduit la démarche, à la fois spontanée et réfléchie, qui a présidé à l'élaboration de ce livre. Au fil de sa pérégrination avec deux jeunes photographes, on redécouvre une vérité première: une crise, c'est tout d'abord un ensemble de parcours humains. Hôtelière, chauffeur de taxi, militant homosexuel, insulaire, musicien, émigré: chacun de ces destins, magnifiquement dépeints par la parole et l'image, nous en dit plus long sur la réalité grecque d'aujourd'hui que toutes les analyses de presse.
Durée:2h. 53min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:65490
Résumé: Il aura fallu trente ans pour que Clémentine Autain écrive sur sa mère, la comédienne Dominique Laffin, morte en 1985. Clémentine en avait 12 et déjà un long et douloureux chemin avec cette mère en souffrance, égarée, incapable de prendre soin de sa fille. Clémentine Autain s’est construite en fermant la porte aux souvenirs, en opposition avec cette mère dont, petite fille, elle avait parfois dû s’occuper comme d’un enfant. Aujourd’hui, elle n’occulte rien, dit avec justesse le parcours tragique d’une femme radieuse et brûlée, passionnée de vie, actrice magistrale, féministe engagée mais dévorée par ses angoisses et prise au piège d’une liberté dangereuse. Dites-lui que je l’aime : dans ce récit poignant dont le titre rappelle le film éponyme, Clémentine Autain rend justice à une figure oubliée des uns, culte pour les autres. Elle retrouve ce qu’elle lui doit, son féminisme, sa propre maternité peut-être. Et malgré l’âpreté des souvenirs, elle écrit un récit d’une grande douceur, une lumineuse lettre d’amour.
Durée:2h. 14min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:38106
Résumé: Dans Un voile de coton, Amélie Plume obéit à un irrésistible appel vers la terre de ses origines. Elle décide de s’en aller le plus souvent possible loin de sa grise capitale, avec le train, le car, la voiture. Rendre visite à ces petits villages et ces vastes campagnes jurassiennes où elle n’a plus mis les pieds depuis longtemps lui procure une joie profonde et inattendue. Alors son alerte monologue en basse continue se teinte de commentaires de voyage dont la palette va du grand bon sens à l’autoironie la plus cocasse. Son entrain l’amène pourtant à déterrer des souvenirs enfouis « dans une purée de pois », qui, finalement, la conduisent à se mettre en chambre et regarder en face son enfance et sa mère. La seconde partie de ce livre leur est consacrée, avec une honnêteté qui émeut. Du cocon fusionnel « comme dans une poche de kangourou » avec cette mère si douce et sévère à la déchirure d’avec cette femme à l’ancienne, voici le retour d’une féministe à l’enfance, là où l’amour maternel, lorsqu’il est trop fort, peut être source d’une sourde violence.
Durée:3h. 20min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:35807
Résumé: « J’ai aimé ma mère, follement. Je l’ai cajolée, protégée. Je lui chantais des comptines de couleur, bleue, ou rose selon l’humeur, pour la rassurer. Je l’épaulais lors de ses chagrins d’amour, j’assistais, déboussolée, à ses crises de manque. J’étais parfois la mère de ma mère… Pourtant, je l’admirais plus que quiconque, je ne l’aurais à aucun moment échangé contre une autre. Maman, elle n’avait pas peur de se bagarrer avec ses pieds et ses mains, ni de claquer la porte aux nez de ses amants. Maman, elle partait en pleine nuit faire la fête, elle m’emmenait dans des dîners de grands en plein Saint-Germain des Prés, à la Coupole ou au Flore, alors que nous vivions dans de petits appartements faits de bric et de broc. Ma mère était bohème. Elle était mon ciel et ma terre. Elle était mon Ode. Tout un poème. » La comédienne retrace la vie bohème de sa mère, entre les chagrins d'amour et les grands dîners du côté de Saint-Germain-des-Prés. Premier roman. ©Electre 2017
Durée:5h. 27min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:33891
Résumé: Elle est la seule personne qui ne l'a jamais quittée, de Sofia à Paris, de Paris à Los Angeles. Tout tenait par elle. Grâce à elle. Parce qu'elle était là. Toujours. Sylvie Vartan a retrouvé le journal intime de sa mère, Ilona. Elle a rassemblé toutes les notes qu'elle avait prises après chacune de leurs conversations. Puis elle a composé cet hommage bouleversant à cette femme qui aura été tout pour elle : le pilier, l'alliée, le secours. Lorsqu'en 1952 ils ont décidé de fuir l'enfer du communisme et de vivre à Paris, les Vartan ont logé dans une petite chambre d'hôtel du quartier des Halles. Pendant trois ans, le père a dormi avec son fils, et Sylvie a partagé le lit de sa mère. C'est là, sans doute, dans ces années où Sylvie Vartan a vu sa mère tomber de fatigue sans jamais se plaindre, que ce lien unique s'est formé. Aujourd'hui, dans son livre, tout lui revient. Et on se laisse submerger par la puissance de cet amour maternel.
Lu par:Myriam Dibot
Durée:5h. 13min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:36500
Résumé: "Quand je t'ai retrouvée, morte, j'aurais dû te cracher à la figue", écrit l'auteur en parlant à sa mère. Comme l'a écrit Elisabeth Badinter, l'amour maternel n'est en rien naturel. Pour Edith Reffet, l'auteur de Ma mère, il n'est pas au rendez-vous. Dans ce récit, elle raconte son enfance et ses relations avec une mère, institutrice, qui commence par l'abandonner alors qu'elle n'a qu'un jour. C'est en ayant le courage de la fuir dès qu'elle a 20 ans qu'elle évitera d'être détruite par la diabolique énergie négative d'une mère qui finira par la déshériter après l'avoir déclarée morte à l'hôpital.
Durée:3h. 9min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:39335
Résumé: « On écrit pour comprendre ce que l’on ne comprend pas. Quand j’écrivais Vie de ma voisine, mon héroïne me parlait de sa mère. Elle me racontait ses mots, elle évoquait ses gestes. L’amour d’une mère. Je mesurais mon ignorance dans ce domaine. Ma mère n'en savait ni les mots ni les gestes. Je suis donc partie sur les traces d'une petite fille grecque et arménienne et de sa mère, danseuse orientale et apatride, à Paris dans les années 20. Ma mère ne voulait rien savoir de son passé. Il a fallu que j’enquête et que je l’invente. Que je trouve les mots pour la retrouver. C’est ce livre, Le chagrin d’aimer. Je suis passée par la cour du roi de Grèce et par les collines de Fiesole. Par un atelier d’écriture, une maison de retraite, plusieurs voitures, un supermarché, des quantités de paquets de gauloises, une machine à écrire. Autant de circonstances, par-delà les guerres, les destructions, les irrémédiables pertes, où ma mère se battait avec ce qui fait la vie ordinaire : la nourriture, l’argent, le travail, l’amour. J’ai tenté d’en savoir un peu plus sur elle, sur moi. Chemin faisant, j’ai compris que ce n’était qu’un début. »
Durée:8h. 55min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:34979
Résumé: Julie est allongée sur la table d'examen d'un médecin. Elle n'a pas douze ans, elle est maigre, elle est faible. Il est 4 heures de l'après-midi et elle n'a toujours pas été autorisée à manger quoi que ce soit. À côté d'elle, sa mère semble étrangement excitée. Elle est sur le point de suggérer une opération à coeur ouvert pour sa fille...Depuis son plus jeune âge, Julie est une enfant fragile qui passe plus de temps en consultations que sur les bancs de l'école. Pourtant, ce mal étrange dont elle souffre, et que seule sa mère sait décrire, ne trouve pas de remède, en dépit des médicaments ingurgités, des traitements infligés et des innombrables spécialistes interrogés...Tout simplement, parce que Julie n'est pas malade... Elle est victime du syndrome de Münchhausen par procuration. Ma mère, mon bourreau est le récit de son enfance, volée par une mère souffrant d'un besoin maladif d'attention. Un récit sans fard. Un témoignage poignant.
Durée:3h. 53min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:73007
Résumé: A la mort de son mari en 2019, la journaliste est confrontée à la violence de la disparition de l'être aimé. Elle évoque la première année d'une vie sans lui et les étapes de la reconstruction de soi.