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Recherche par mot-clé: Philosophie morale

5 résultats.

Durée:9h. 4min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:74095
Résumé: Une étude autour du socle philosophique sur lequel pourrait s'établir une politique de l'accueil et du respect du vivant sous toutes ses formes. L'auteur oppose l'éthique et le doute philosophiques menant à la vérité aux certitudes qui fondent les idéologies et justifient la violence.
Lu par:AVH
Durée:5h. 21min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:73791
Résumé: La philosophe s'inspire de La peste d'A. Camus pour dénoncer l'inhumanité de la société contemporaine. Elle propose une lecture du roman et une série de portraits de ceux qu'elle qualifie de pestiférés du XXIe siècle. Elle regrette l'incapacité à percevoir l'inhumain au-delà de ses manifestations spectaculaires.
Durée:9h. 20min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:70150
Résumé: Une société décente est une société dont les institutions n’humilient pas les personnes placées sous leur autorité, et dont les citoyens n’en humilient pas d’autres. Une bonne part de l’attention des philosophes se porte sur l’idéal d’une société juste, basé sur l’équilibre entre les notions de liberté et d’égalité. Mais un tel idéal est inenvisageable. Il semble donc plus urgent de tenter d’instaurer une société décente, parce qu’il n’est pas besoin d’attendre que la justice advienne pour satisfaire à l’idéal d’une société décente, et parce que supprimer un mal douloureux est plus urgent que de créer de nouveaux avantages. La démonstration de Margalit est des plus concrètes, envisageant à travers les détails de notre quotidien l’ensemble des actes humiliants rendant la vie parfois si difficilement supportable. L’analyse du fonctionnement des multiples formes de l’humiliation se combine ici à une argumentation longuement mûrie et, bien plus, profondément irriguée par l’expérience personnelle de l’auteur. Pour le philosophe Michael Walzer, La Société décente «est un livre splendide. Un compte-rendu exact des principes moraux guidant nos institutions politiques et nos usages sociaux, mais également un ouvrage merveilleusement attentif aux détails et nuances de la vie quotidienne. Ce livre fini, la décence prend largement le pas sur la justice en tant qu’idéal moral distinctif»
Durée:21h. 48min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:68503
Résumé: Nietzsche poursuit l'entreprise de critique radicale de la morale commencée dans Humain, trop humain, et pose ainsi les jalons d'un projet philosophique dont ses dernières oeuvres, de Par-delà bien et mal à Ecce homo, seront le couronnement. Le philosophe s'impose ici comme un travailleur des ténèbres, forant le fond de la civilisation pour mettre au jour les origines plus ou moins nobles des idéaux, des croyances et des moeurs, saper les fondements de la morale et faire vaciller nos certitudes. Prônant la libération de la pensée, il en appelle à l'affirmation de nouvelles valeurs. Et il nous montre, à travers cette série de fragments placés sous le signe de la belle humeur, que l'étonnement et le scepticisme sont au principe de toute philosophie
Durée:29h. 10min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:39129
Résumé: Le livre que vous avez entre les mains s’inspire d’un cycle de cours que Stanley Cavell dispensa à l’université de Harvard : les mardis étaient consacrés aux grands textes de la philosophie morale, les jeudis aux chefs-d’œuvre de l’âge d’or du cinéma hollywoodien. La composition de ce livre, qui fait alterner un chapitre sur un philosophe avec un chapitre sur un film, reflète à la fois les circonstances de son élaboration et son ambition : nous replonger dans la salle de cours, nous faire redécouvrir et la philosophie et le cinéma. La plupart des histoires de la philosophie moderne relèguent au second plan sa vocation morale ; en ouvrant ce livre avec le philosophe américain Emerson et en le refermant avec Platon, Stanley Cavell nous invite au contraire à refuser l’éclatement de la philosophie en domaines séparés et à restituer à la philosophie morale toute sa place. Le cinéma ne tient pas lieu ici d’« illustration » philosophique : il ouvre au spectateur-lecteur une voie nouvelle, loin de tout conformisme, en faisant naître des questions que certaines théories philosophiques (voir les chapitres sur Kant, Mill ou Rawls, par exemple) n’ont parfois pas su formuler. Ces films magiques (New York-Miami, La Dame du vendredi, Indiscrétions, Cette sacrée vérité...) parlent du corps, du mariage, de l’aspiration à une vie et à un moi meilleurs, de l’éducation, des femmes, de la politique. Ils incarnent le perfectionnisme à travers l’une de ses caractéristiques constantes : la conversation. C’est peut-être cette dernière qui fournit l’instrument le plus efficace pour lutter contre la mélancolie, le cynisme ou le snobisme qui empêchent parfois de « désirer le monde et de désirer qu’il change ».