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Recherche par mot-clé: Films policiers

2 résultats.

Durée:6h. 59min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:72228
Résumé: L'inspecteur Somerset est, à sept jours de la retraite, un vieux flic blasé. Obligé de former son ambitieux remplaçant, Somerset fait équipe avec le jeune inspecteur David Mills. Tous deux arrivent sous une pluie battante dans un lieu où un crime machiavélique vient d'être commis. En effet, un criminel anonyme a décidé de commettre sept meurtres basés sur les sept péchés, capitaux énoncés dans la Bible : la gourmandise, l'avarice, la paresse, l'orgueil, la luxure, l'envie et la colère. Tandis que Somerset et Mills, remontent la piste du serial killer, ils plongent dans l'univers de plus en plus malsain de ce criminel astucieux et méticuleux, qui se fait appeler John Doe. A la découverte de chaque meurtre et de chaque indice laissé volontairement par le tueur, les inspecteurs reconstituent le puzzle...
Lu par:Daniel Martin
Durée:21h. 58min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:69587
Résumé: « Nos amis italiens et espagnols (ils ne sont pas les seuls) ne font guère de distinction entre « roman noir » et « roman policier ». Mais comme en France, nous la faisons, en toute logique ce dictionnaire devrait ne comprendre que des entrées concernant le roman policier. Si vous en êtes d’accord, ce sera ma première licence : je parle d’un univers littéraire qui est le mien, on y trouvera aussi bien du « polar » que du « noir ». S’agissant d’un univers « littéraire », il ne devrait y avoir ici que des livres. Ce sera ma seconde licence : incidemment, on y trouvera quelques films, quelques séries TV, quelques BD, des librairies, des blogs. Enfin, autant prévenir tout de suite : pour les définitions maîtrisées, les monographies exhaustives, les analyses thématiques, etc., le lecteur trouvera facilement d’excellents ouvrages (j’en cite quelques-uns, en fin de volume) qui correspondront à cette attente. C'est à un écrivain que l’éditeur a confié ce Dictionnaire amoureux. Je parlerai donc ici en lecteur et en romancier. Il y aura des oublis impardonnables, des injustices, des jugements contestables. C'est inévitable mais je ne fais que respecter le projet de cette collection : c’est le dictionnaire de ce que j’aime (à quelques oublis près). Lorsque je lis un Dictionnaire amoureux, rien ne me fait plus plaisir que de découvrir des choses que je sais déjà. C’est un peu comme pour le Nobel de littérature : le jour de la proclamation, quand il s'agit de quelqu'un dont je connais déjà le nom, j'ai l’impression d’être cultivé. J’espère que ce Dictionnaire amoureux réservera au lecteur quelques-unes de ces satisfactions mais aussi quelques surprises, quelques découvertes. Et l’envie de lire et de relire encore cette littérature majeure qui, quoiqu’on en dise, reste durablement marquée par le prosaïsme de ses origines. Alphabétique (de « s’abîmer » à « vouloir-saisir »), totalement subjectif (« on a rendu à ce discours sa personne fondamentale qui est le JE »), sans prétention à l’exhaustivité…, je crois que les Fragments d’un discours amoureux (1977) peut être considéré comme l’ancêtre des Dictionnaires amoureux. Puisqu’il correspond très exactement à mon projet, je reprends donc ici, à la lettre, l’exergue de Roland Barthes : C’est donc un amoureux qui parle et qui dit »