Contenu

Recherche par mot-clé: Enfants difficiles

2 résultats.

Durée:6h. 40min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:66026
Résumé: Dans un collège public de la grande banlieue parisienne, aujourd'hui, un jeune prof de lettres raconte son métier, au jour le jour et au plus près des classes et de leurs élèves. Des silhouettes émergent, celles d'enfants sur le point d'entrer dans l'adolescence : de la sixième à la troisième, ils viennent en cours mais n'ont pas que ça à faire. A leur âge, il y a plus important. Les cours qui s'égrainent au fil de l'année forment autant d'heures bavardes, épuisantes parfois, mais ce sont aussi des heures passionnantes où, au détour d'une question, les personnalités affleurent. Qu'il s'agisse de réagir, à chaud, aux attentats qui ensanglantent le pays ou à la disparition d'un grand écrivain, les échanges auxquels le lecteur assiste, comme s'il se trouvait lui-même en classe, sont souvent très surprenants, vivants, jamais décevants. On ne sait jamais ce qu'on va trouver dans une salle de cours, se dit le prof qui, trimestre après trimestre, interroge, écoute, observe.
Durée:14h. 31min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:14060
Résumé: Rien ne nous inquiète davantage et ne brouille nos repères que les crimes de sang commis par des enfants. Comment l'âge de l'innocence et de la naïveté peut-il être celui de la pulsion sanguinaire ? Comment un adolescent peut-il, aussi vite, être envahi par le désir de violence ? Que ferions-nous si l'un de ces enfants était le nôtre ? C'est ce sujet, ô combien sensible dans une actualité de plusen plus souvent marquée par la délinquance juvénile, qu'ont choisi de traiter ici Pierre Bellemare et Jean-François Nahmias. Abordant des faits divers du passéou plus récents - au nombre desquels le cas, tragiquement célèbre, du bambin de deux ans assassiné par deux enfants de Liverpool -, ils tentent d'éclairer les motifs, les mobiles, l'enchaînement des circonstances. Même si, hélas, éducateurs ou magistrats n'ont pas trouvé le moyen de prévenir à coup sûr de tels drames,on sait que la frustration affective, la solitude d'adolescents livrés à eux-mêmes ou persécutés sont bien souvent au point de départ. Et que la banalisation de la violence dans les films peut constituer un facteur aggravant.