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Recherche par lecteur : Polyphonie : Claudine Berthet, Clélia Strambo, André Cortessis, Edith Cortessis

7 résultats.

Durée:2h. 34min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:74192
Résumé: Dans un château du Périgord, règne la Comtesse Apolline de Mont-Vermeil, despotique, allurale et un tantinet hurluberlue. Tout se ploie devant elle, depuis son charmant neveu vétérinaire jusqu'à la belle et ambitieuse Gisèle, demoiselle de compagnie, jusqu'à la jolie soubrette (cervelle de linotte et coeur de moineau), jusqu'au digne majordome... Digne ? Hum ! Il y a dans l'oeil de ce zélé serviteur une lueur canaille. Ayant réussi à donner à la Comtesse le goût des courses, il lui conseille cyniquement, tous les toquards et non moins cyniquement, encaisse les paris de sa patronne au nom d'un bookmaker imaginaire ! Et voici que vont faire irruption dans le noble manoir deux personnages peu aristocratiques: tout d'abord Antoinette, dite Nénette, propriétaire d'un restaurant-bistrot des Halles, plantureuse créature dans les veines de laquelle coule à coup sûr le sang de la mère Angot et de sa cousine "jumelle" Madame Sans-Gène... et puis, Jules, un gars costaud et "sympa" qui n'a de penchant ni pour les cravates, ni pour les belles manières et qui est à la fois le barman du caboulot géré par Nénette et le fiancé de la patronne. C'est lorsqu'elle a voulu passer des fiançailles aux épousailles que Nénette a appris avec stupéfaction que pour l'état civil elle était déjà mariée... avec le Baron Hubert de Mont-Vermeil qu'elle n'a jamais vu ! A la vérité, ses papiers d'identité lui ont été volés naguère et grâce à eux, une inconnue a pu se faire épouser sous son nom par le naïf Baron, puis elle a disparu dans le maquis de l'Aventure ! En venant au château des Mont-Vermeil, Nénette s'imaginait un divorce amiable mais il ne peut être question de divorce chez les Mont-Vermeil. Et ce jour-là moins que jamais, car on attend un visiteur de marque, le Cardinal de Tramone, conseiller de sa Sainteté.
Durée:2h. 13min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:73535
Résumé: Comédie d’intrigues, attaquant de front la haute société d’une époque, Un mari idéal est le dernier aveu, l’ultime révolte d’un homme dont l’honnêteté et l’audace vont briser la vie.
Durée:1h. 37min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:71980
Résumé: « Rosa : Un toast maintenant à mes soeurs ! Pour Henriette qui a échoué dans sa carrière de chanteuse. Henriette figurante et remplaçante de ma mère ! Je bois à tes défaites et ta robe empourprée ! Diane : Assez ! Rosa ! Rosa : A Diane ! La Grande Patronne de la scierie en faillite ! A tes enfants jamais nés ! A ta folle jeunesse perdue dans la jungle ! » Passionnée par Pablo Neruda, Dominique Moret s'est inspirée d'un épisode survenu dans la vie de ce poète pour écrire sa pièce. Lors d'une expédition en forêt chilienne, le jeune homme fût accueilli par trois femmes françaises exilées à la tête d'une scierie. Sidéré, il découvre un trio garant de ses traditions, récitant des poèmes de Baudelaire et cuisinant à la provençale. Avec sensibilité, l'auteur imagine le passé, la vie, les attentes et le caractère de ces femmes perdues dans la jungle. Isolées du monde et de leurs rêves, elles se réfugient dans la poésie, leurs amours perdues et leurs souvenirs. Tour à tour révoltées et fatidiques, leur rencontre avec Pablo Neruda est un cri d'amour pour le triste et si beau Chili d'antan. C'est aussi la promesse d'un nouvel espoir, niché au creux d'un coquillage. Une formation de comédienne à l'école d'art dramatique Jean Périmony à Paris amène Dominique Moret à pratiquer son métier avec la troupe de Jean Le Poulain. L'écriture a toujours été présente, comme un témoin, une douce amie. Aujourd'hui, elle dirige son école de théâtre « Le Manteau d'Arlequin », à Genève.
Durée:55min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:70135
Résumé: Deux prénoms de femmes qui sont déjà le reflet de leurs deux peuples. Zakia la Palestinienne et Rachel l’Israélienne vivent chacune d’un côté du mur. Mais elles franchissent ce mur parce que la solidarité pour elles est plus importante que la nationalité. Rachel vient de Jérusalem soigner les enfants dans les Territoires occupés. Zakia franchit le mur des préjugés, parce qu’elle sait que les larmes des mères sont les mêmes des deux côtés.
Durée:2h. 8min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:66942
Résumé: Dans un atelier de confection, de 1945 à 1952, des employés s'affairent. Entre rires et larmes, ils racontent leur vie pendant l'Occupation et dans l'immédiat après-guerre : un Juif qui a été déporté, un autre qui a vécu caché en zone occupée, une troisième qui s'est réfugiée en zone libre, une quatrième, encore, dont le mari a été arrêté et envoyé dans les camps, mais aussi une femme dont le mari fonctionnaire a peut-être collaboré... Autant de destins qui se croisent et soulèvent tous la même question : comment vivre après le traumatisme de la guerre tout en perpétuant la mémoire des disparus?
Durée:1h. 34min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:36393
Résumé: Papa est parti depuis si longtemps que personne n'espère plus son retour. Mais voilà que Papa revient, voilà que Papa exige de rentrer, sûr de son bon droit, dans la vie qu'il a fuie dix ans auparavant. Qui aime encore Papa ? Qui peut prétendre avoir besoin de lui ? Il a les apparences de la richesse et d'une jeunesse improbable. Il resplendit d'un éclat peu commun à Courbevoie. Surtout, il sait ce qu'on lui doit, même si ce n'est pas justifié, et qu'on l'aime encore, qu'on l'aimera toujours.
Durée:1h. 51min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:35480
Résumé: Le Tambour : Quand j'ai dîné, il y a des fois que je sens une espèce de démangeaison ici. Ça me chatouille, ou plutôt ça me grattouille. Knock : Attention. Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous grattouille ? Le Tambour : ça me grattouille. Mais ça me chatouille bien un peu aussi... Knock : est-ce que ça ne vous grattouille pas davantage quand vous avez mangé de la tête de veau à la vinaigrette ? Le Tambour : je n'en mange jamais. Mais il me semble que si j'en mangeais, effectivement, ça me grattouillerait plu