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Recherche par auteur : Steinbeck, John

7 résultats.

Durée:17h. 10min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:29875
Résumé: Dans cette grande fresque, les personnages représentent le bien et le mal avec leurs rapports complexes. Adam, épris de calme. Charles, son demi-frère, dur et violent, Cathy, la femme d'Adam, un monstre camouflé derrière sa beauté, ses enfants les jumeaux Caleb et Aaron. En suivant de génération en génération les familles Trask et Hamilton, l'auteur nous raconte l'histoire de son pays, la vallée de la Salinas, en Californie du Nord.
Durée:4h. 58min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:67148
Résumé: Lennie serra les doigts, se cramponna aux cheveux. - Lâche-moi, cria-t-elle. Mais lâche-moi donc. Lennie était affolée. Son visage se contractait. Elle se mit à hurler et, de l'autre main, il lui couvrit la bouche et le nez. - Non, j'vous en prie, supplia-t-il. Oh, j'vous en prie, ne faites pas ça. George se fâcherait. Elle se débattait vigoureusement sous ses mains... - Oh, je vous en prie, ne faites pas ça, supplia-t-il. George va dire que j'ai encore fait quelque chose de mal. Il m'laissera pas soigner les lapins
Durée:3h. 1min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:25736
Résumé: Dans la ville, on raconte l'histoire d'une grosse perle - comment elle fut trouvée, puis perdue à nouveau ; l'histoire de Kino, le pêcheur, de sa femme Juana et de leur bébé Coyotito. Et comme l'histoire a été si souvent racontée, elle est enracinée dans la mémoire de tous. Mais, tels les vieux contes qui demeurent dans le cour des hommes, on n'y trouve plus que le bon et le mauvais, le noir et le blanc, la grâce et le maléfice - sans aucune nuance intermédiaire.
Lu par:Marcel Pahud
Durée:19h. 41min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:2069
Résumé: Le livre raconte l'odyssée d'une famille de paysans, les Joad, qui, ruinée par les tempêtes de poussière, par l'appauvrissement du sol et par la crise des années 1930, est contrainte de quitter l'Oklahoma et de venir chercher du travail en Californie. Peu à peu, affamés, traqués, exploités par les grands propriétaires, les émigrants voient la terre promise californienne se transformer en un vaste pénitencier.
Durée:5h. 1min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18440
Résumé: Dans une petite ville de Californie, un jeune militant s'apprête à vivre pour la première fois l'épreuve de la violence : comment va-t-il résister à la peur et à la souffrance ? En bavardant avec un rémouleur ambulant, une femme dans la force de l'âge, mariée à un fermier sans imagination, ressent un soudain désir de vivre, de voir du pays, de s'évader ; un instant, un même sentiment érotique de la terre la relie au voyageur ; mais l'évasion dont elle a rêvé se transformera en une sortie banale à Salinas, la ville voisine...Treize nouvelles, dont le célèbre « Poney rouge ». Mais un seul livre, dont l'unité est l'amour de Steinbeck pour la grande vallée californienne de Salinas. La vallée où se passent les choses les plus ordinaires du monde - les plus grandes -, le pays où vivent les gens les plus simples, les plus mystérieux des hommes.
Durée:6h. 47min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14928
Résumé: En Californie, un groupe de « paisanos » mène une vie simple quoique non dépourvue d'embûches. Leur souci majeur est de trouver dans la journée de quoi manger et surtout la quantité de vin nécessaire à leurs impressionnantes agapes nocturnes. Mais un jour, la vie se complique car l'un d'eux, Danny, hérite de deux bicoques délabrées. Sans hésiter, il y accueille ses amis. Au début, tout semble se poursuivre comme avant : amitié et beuverie sont les deux mamelles de ce groupe querelleur au grand coeur. Mais la condition de propriétaire pèse à Danny, qui regrette sa vie insouciante d'antan. L'amitié serait-elle soluble dans la propriété ?
Durée:8h. 44min.
Genre littéraire:Voyage/exploration
Numéro du livre:67179
Résumé: "Mon plan, je le pense, était clair, concis, raisonnable. Durant des années, j'avais voyagé un peu partout dans le monde. En Amérique, je vis à New York, avec une immersion de temps à autre dans Chicago ou San Francisco. Mais New York n'est pas plus l'Amérique que Paris n'est la France, ou Londres l'Angleterre. Ainsi donc, je découvris ne pas connaître mon propre pays. Moi, écrivain américain, écrivant de l'Amérique, je travaillais de mémoire, et celle-ci n'est autre qu'un réservoir cabossé, déformé. Je n'avais pas entendu le langage de l'Amérique, humé l'odeur de son herbe, de ses arbres, de son fumier, vu ses collines et ses cours d'eau, ses couleurs et ses qualités de lumière. Je n'en connaissais les changements que par les livres et les journaux. Plus encore, je n'avais pas " senti " le pays depuis vingt-cinq ans. Bref, j'écrivais de quelque chose que j'ignorais et, à mes yeux, un écrivain de ce genre est un criminel"