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Un poil de trop

Résumé
Ça commence comme dans un village à la Pagnol. Un petit patelin dans lequel rien ne se passe jusqu’à l’arrivée d’un inconnu, forcément nocif. Il pourrait transformer le hameau en Clochemerle, mais c’est plutôt au village gaulois d’Astérix qu’il va se confronter. Yvan Sjöstedt calibre les caractères de ses personnages selon les besoins du scénario. Et crée un méchant. Un vrai, susceptible de détruire la tranquille harmonie du village. C’est vrai qu’avec un maire prénommé Carpette, on aurait pu s’attendre à la résignation face aux desseins de l’inconnu qui arrive comme un poil sur la soupe. Ce poil, justement, qui irrite autant les acteurs que les lecteurs, conclura finalement toute l’imagination de l’auteur qui livre un délicieux petit roman au ton vif, voire déluré. Après le scénario sur-documenté de la bande dessinée « Farinet, le faux-monnayeur », Sjöstedt lâche la bride dans un petit délire sans limite, hormis celle de nous faire sourire un brin, un poil !
Genre littéraire: Humour-satire
Durée: 2h. 45min.
Édition: Saint-Imier, Éditions du Roc, 2020
Numéro du livre: 69616
ISBN: 9782940674022
Collection(s): Pépites et spicilèges

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Genre littéraire:Humour-satire
Numéro du livre:31697
Résumé: « Z donnait l'image d'une bourgade paisible, lovée contre sa tour de l'Horloge comme un crotale au soleil, à l'âme si pieuse que l'eau bénite coulait des chenaux. Mais quand le regard embrassait un peu plus large, on découvrait les grues qui grignotaient la terre tandis que dans la lumière dorée du couchant brillaient des immeubles luxueux avec piscine quatre saisons. [...] Lorsqu'il contempla la ville, de cette colline qu'il apprendra à nommer belvédère, cette ville de Z longtemps oubliée au point de figurer en queue d'alphabet, entourée à présent d'une forêt de grues étincelantes et prometteuses, Modeste n'eut aucun doute qu'il entrait au paradis. »
Lu par:Lisette Vogel
Durée:6h. 1min.
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Résumé: Un roman drôle et décapant qui traite de sujets profonds : et si l'art pouvait nous (re)donner de la force, du courage, de la confiance, de l'envie ? De plus en plus de thérapeutes conseillent aux gens déprimés, en deuil ou en rupture de se ressourcer en allant voir un tableau qui a parfois traversé les siècles et les continents, et a un message libérateur à transmettre. La vie passe et on se retrouve à 50 ans, souvent fraîchement divorcée et hélas plus toute fraîche sur le marché ingrat de la séduction. A cet instant précis, on peut gémir sur l'injustice du temps qui file, sur ces salauds de mâles qui font leur crise, cassent leur vie comme on casse une construction en Lego et n'arrivent plus à la reconstruire, sur l'ingratitude des jeunes qui nous considèrent au boulot comme des vieux cons avec notre vie de bureau bien réglée " en présence " comme on dit désormais, alors qu'eux sont mobiles, exigeants, online, volatiles, égocentrés, vénaux assumés, tout ce que nous avons toujours rêvé d'être sans jamais oser le réclamer, on peut geindre sur nos parents âgés qui ont eu une retraite en platine dont nous ne bénéficierons jamais et qui ont le mauvais goût de vivre hyper longtemps, avant de nous bouleverser quand ils meurent parce que ce sont nos parents et qu'après eux c'est nous qui sommes au bord du précipice, on peut grincer sur nos enfants merveilleux forcément merveilleux mais pour lesquels on panique car on se dit qu'ils ne trouveront ni emploi ni logement et qu'ils resteront agglomérés à nous et à leur portable, confinés ad vitam aeternam à la maison pour se protéger du monde extérieur. Oui on peut se plaindre de tout ça et je le fais régulièrement car c'est très jouissif de se plaindre même si cela ne mène à rien. Mais la réalité, c'est qu'on bouge encore.."
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Lu par:Jean Frisch
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