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Recherche par auteur : Finkielkraut, Alain

6 résultats.

Lu par:Manon
Durée:5h. 59min.
Genre littéraire:
Numéro du livre:39078
Résumé: Reprise d'entretiens radiophoniques réalisés par le philosophe dans le cadre de l'émission Répliques de France culture avec divers intervenants à propos des relations entre les hommes et les animaux, de la condition animale, des animaux d'élevage ou encore des animaux domestiques. Ces discussions interrogent l'ampleur et l'impact de la nouvelle sensibilité aux animaux. ©Electre 2018
Lu par:Daniel Martin
Durée:4h. 18min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:71858
Résumé: Un essai consacré à la littérature contemporaine. L'auteur déplore une absence de vertu formatrice et une vision déformée de la réalité dans les ouvrages appartenant à ce qu'il nomme l'âge de l'après littérature, c'est-à-dire un temps où la vision littéraire du monde ne trouve plus sa place.
Lu par:Henri Duboule
Durée:6h. 5min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:19894
Résumé: «L'immigration qui contribue et contribuera toujours davantage au peuplement du Vieux Monde renvoie les nations européennes et l'Europe elle-même à la question de leur identité. Les individus cosmopolites que nous étions spontanément font, sous le choc de l'altérité, la découverte de leur être. Découverte précieuse, découverte périlleuse : il nous faut combattre la tentation ethnocentrique de persécuter les différences et de nous ériger en modèle idéal, sans pour autant succomber à la tentation pénitentielle de nous déprendre de nous-mêmes pour expier nos fautes. La bonne conscience nous est interdite mais il y a des limites à la mauvaise conscience. Notre héritage, qui ne fait certes pas de nous des êtres supérieurs, mérite d'être préservé, entretenu et transmis aussi bien aux autochtones qu'aux nouveaux arrivants. Reste à savoir, dans un monde qui remplace l'art de lire par l'interconnexion permanente et qui proscrit l'élitisme culturel au nom de l'égalité, s'il est encore possible d'hériter et de transmettre.»
Durée:8h. 26min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:34019
Résumé: Les années trente, dit-on, sont de retour. La droite intégriste et factieuse occupe la rue, l'ordre moral sort des catacombes, la crise économique pousse à la recherche d'un bouc émissaire et l'islamophobie prend le relais de l'antisémitisme. Cette analogie historique prétend nous éclairer : elle nous aveugle. Voulant lire ce qui arrive à la lumière de ce qui est arrivé, elle en occulte la nouveauté inquiétante. Montrer que nous vivons un tournant historique, paradoxalement masqué par la référence incessante à l'Histoire ; appréhender ce moment crucial dans ce qu'il a d'irréductible au répertoire de nos vicissitudes : tel est le pari de ce livre. Et l'enjeu est existentiel autant qu'intellectuel. Si, comme l'écrit François Mauriac, "l'épreuve ne tourne jamais vers nous le visage que nous attendions", il nous incombe d'être à l'heure au rendez-vous et de regarder en face le visage que nous n'attendions pas. Dans une époque qui tend à se prendre pour une autre, l'exactitude devient la tâche prioritaire de la pensée. A. F.
Lu par:Pierre Biner
Durée:7h.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:16940
Résumé: " J'ai découvert cette expression biblique en lisant Hannah Arendt. Le roi Salomon, rappelle Arendt, adjure l'Eternel de lui accorder un "coeur intelligent", c'est-à-dire un coeur sagace et perspicace. Dieu garde le silence, mais, pour nous doter peut-être (il faut rester modeste) d'un coeur intelligent, nous avons la littérature. En elle, l'affect et le concept sont perpétuellement enchevêtrés. Comme la philosophie, la littérature nous parle de l'Homme, mais c'est aux hommes qu'elle a affaire et non à l'Homme directement. Elle éclaire l'Histoire, la vie, le monde, sans jamais sacrifier les individus sur l'autel de la connaissance. "
Durée:3h. 7min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:12783
Résumé: Quatrième de couverture : Le passé parle au présent. Il s'adresse à nous. Il nous interpelle. Il réclame. Mais comment le présent doit-il répondre? Comment être au rendez-vous ? Alain Finkielkraut s'interroge sur le devoir de mémoire. Nous sommes passés d'une mémoire encombrante (personne ne parlait des camps de concentration) à une mémoire débordante, où la Shoah est sollicitée de toutes parts. Aujourd'hui, toute guerre, toute souffrance fait invoquer ou nommer Auschwitz, exercice inquiétant que critique l'auteur : " Il n'est pas moins déloyal de s'approprier les morts que de les laisser tomber. Il n'est pas moins désinvolte d'oublier leur transcendance que d'oublier leur existence. "