Contenu

Recherche par auteur : Erckmann, Emile

3 résultats.

Durée:19h. 19min.
Genre littéraire:Littérature fantastique
Numéro du livre:16952
Résumé: «Les contes fantastiques d'Erckmann-Chatrian s'apparentent à des récits criminels, voire à des faits divers, expliqués par le surnaturel (...) À les lire, on a l'impression que les deux auteurs les ont rédigé avec une volupté sadique et qu'ils font tout pour susciter le malaise et l'effroi, non sans recourir au vocabulaire le plus direct et le plus efficace.» (Jean-Baptiste Baronian)
Lu par:Florent
Durée:6h. 14min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:20320
Résumé: En 1813, à Phalsbourg (Alsace), le jeune Joseph Bertha est le compagnon horloger du brave Monsieur Goulden. Il est amoureux de la belle et tendre Catherine qu'il pense pouvoir l'épouser bientôt. Mais, Napoléon ayant subi de terribles revers en Russie, relance la conscription, cet injuste tirage au sort servant de critère à un engagement de sept ans. Malgré qu'il soit handicapé (boiteux, il marche très mal car il a une jambe plus courte que l'autre), il n'est pas réformé. Il tire même un mauvais numéro et se retrouve pris dans des marches forcées à travers l'Allemagne puis engagé dans des batailles particulièrement sanglantes. Il sera blessé à l'épaule à la bataille de Lutzen, soigné quelque temps et renvoyé au combat dans une ambiance apocalyptique...
Durée:6h. 18min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16902
Résumé: Lorsque Zacharias Kobus, juge de paix à Hunebourg, mourut en 1832, son fils Fritz Kobus, se voyant à la tête d'une belle maison sur la place des Acacias, d'une bonne ferme dans la vallée de Meisenthâl, et de pas mal d'écus placés sur solides hypothèques, essuya ses larmes, et se dit avec l'Ecclésiaste : «Vanité des vanités, tout est vanité ! Quel avantage a l'homme des travaux qu'il fait sur la terre ? Une génération passe et l'autre vient ; le soleil se lève et se couche aujourd'hui comme hier ; le vent souffle au nord, puis il souffle au midi : les fleuves vont à la mer, et la mer n'en est pas remplie ; toutes choses travaillent plus que l'homme ne saurait dire ; l'oeil n'est jamais rassasié de voir, ni l'oreille d'entendre : on oublie les choses passées, on oubliera celles qui viennent :-le mieux est de ne rien faire... pour n'avoir rien à se reprocher !»