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Recherche par auteur : Chapuis, Olivier

3 résultats.

Durée:6h. 7min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:69192
Résumé: « Lucide devant la petitesse de mon talent, assuré de ne jamais gravir les échelons d’une gloire tennistique que RF, à passé 36 ans, ciselait encore de sa raquette magique, j’ai planqué la mienne en armoire et offert les balles au chien de mes parents. » Le narrateur de ce récit, écrivain de moyenne envergure, agacé par les victoires en rafale de Roger Federer, se met à écrire sur le sujet. Il crée un personnage, Axel Chang, sorte d’alter ego qui, au fil du temps et de ses frustrations, va développer une détestation pathologique du champion suisse, détestation qui le poussera à commettre l’irréparable.
Durée:2h. 44min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:35737
Résumé: « Les lumières s’éteignirent, une à une, pareilles aux projecteurs d’un stade après la fin d’un match. Il eut l’impression que le paysage entier devenait flou. Ses jambes se dérobèrent, il s’effondra lourdement, l’esprit vide de toute pensée hormis cette phrase qui résonna entre ses tempes : Les petits ruisseaux font les grandes rivières... Puis il sombra dans l’inconscience. Un filet de sang se mit à couler sous sa tête, s’éparpillant en méandres vermillon sur le béton de sa couche mortuaire. »Cinq destins croisés réunis autour d'une seule balle. Des rencontres fortuites. Les mêmes heures, vécues par cinq points de vue différents, mais au bout du compte une mort absurde offerte comme un spectacle. Le Parc est un roman noir ancré dans la société d'aujourd'hui. L'histoire se déroule à Lausanne, mais pourrait se passer n'importe où.
Durée:3h. 52min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:67155
Résumé: La piscine est une sorte de microsociété qui rappelle la Suisse, en miniature. On en sort plus facilement qu’on y entre, le site est surveillé, nettoyé dans les moindres recoins, les haies ne dépassent pas la hauteur réglementaire, le bruit dérange, les écarts sont mal vus, il faut nager sans éclabousser les autres, les gros, les blacks et les poilus sont regardés d’un œil torve même si personne ne dit rien. Dans l’ensemble, les baigneurs s’y sentent en sécurité même si, de temps en temps, l’un d’entre eux boit la tasse ou s’effondre, victime d’une insolation. Preuve qu’au Paradis, la vie n’est pas forcément sans souci.