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Recherche par auteur : Cérésa, François

4 résultats.

Lu par:Henri Duboule
Durée:3h. 53min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:17888
Résumé: Ecrit à la première personne, ce livre est le récit extraordinaire d'un mercenaire italien, Francesco Gelpi, parti à Messine vendre ses services aux Turcs. Son périple le mène à faire de nombreuses rencontres avec des artistes du XVe siècle, et non des moindres, puisqu'il fait la connaissance du grand Léonard de Vinci, alors inconnu du grand public. Ce dernier, séduit par Gelpi et ses croquis, lui promet un bel avenir et lui offre un médaillon représentant le David de Donatello. Puis, à son arrivée à Messine, notre héros croise la route de l'artiste Antonello, initiateur de la peinture à l'huile, qui se prend d'affection pour Gelpi lorsque celui-ci sauve la vie de ses deux enfants. Devenu le nouveau disciple de Antonello, Gelpi entreprend alors de peindre le portrait d'une inconnue croisée des années auparavant lors d'un bal à Venise et dont le visage lui est resté gravé dans la mémoire. Jusqu'au jour où il retrouve son inconnue : une certaine Mona... Mais il devra également faire face à son passé de mercenaire lorsqu'une affaire de meurtre commis le même soir de sa rencontre avec cette femme mystérieuse le rattrape...
Durée:13h. 47min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:23811
Résumé: Le chevalier Louis d'Anzy est un jeune aristocrate aux sympathies révolutionnaires. Blessé aux Tuileries, il est soigné par un lord anglais et sa fille Mary. Entre Louis et cette dernière, c'est le coup de foudre. Avec d'autres aristocrates, ils quittent la France et s'embarquent pour l'Angleterre. Mais lors de la traversée, Louis est jeté à la mer. Il est sauvé par un cuisinier et sa fille, la ravissante Esther. Un autre amour ? Louis ne songe qu'à se venger... Avec le cuisinier, il ouvre à Londres un grand restaurant qui sera celui de toute la noblesse en exil. Des émigrés comme Rivarol, Montlosier, Chateaubriand et le comte d'Artois s'y bousculent. Parmi eux, il y a aussi les passagers de la traversée. Louis va pouvoir assouvir son désir de vengeance. Mais entre la blonde Mary et la brune Esther, il devra choisir.
Lu par:Henri Duboule
Durée:19h. 17min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:17669
Résumé: Fait suite à : "Cosette ou Le temps des illusions", du même auteur. Tous les personnages de Cosette se retrouvent dans cette suite : Marius, qui va refaire sa vie aux Amériques avant de rentrer à Paris ; Javert, qui s'emploie dans l'ombre à réunir les preuves de l'innocence de Marius ; Cosette, prisonnière de Thénardier, qui se venge de son bourreau de manière atroce...
Lu par:Agnès Gruss
Durée:5h. 21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:33176
Résumé: On connaît le vers de Lamartine : un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Le père du narrateur est mort. Il l'appelait : Poupe. C'était un sacré bonhomme avec un sacré caractère. Une force de la nature. Un héros de western. Origine italienne. Il aimait, entre autres, les belles carrosseries, la bonne chair et les parties de tennis avec son fils, qui lui offre dans ce roman le plus beau des tombeaux : "Mon père si dur. Mon père si doux. Mon père, ce héros si dur au regard si doux". A la mort de Poupe, un monde s'écroule, va disparaître. Avec des mots serrés comme une gorge nouée, ce texte du souvenir, amour filial et tristesse mêlés, le retient, le fait revivre. Chaque âge de la vie est évoqué. Grande histoire et petites histoires intimes se répondent. La figure de la mère du narrateur, Moume, partie trop tôt, accompagne Poupe. Les époques, d'hier à aujourd'hui, défilent. On croise Céline et Alphonse Boudard, Louis Nucera et Jean Daniel. La bande-son marie Charles Trenet, Verdi et Tino Rossi. Au cinéma : Rio Bravo. On voyage également, du sud à la Normandie en passant par la capitale. Cérésa prévient ses lecteurs : "Je m'adresse à ceux qui aiment ou qui ont aimé leur père". Il s'adresse à tous. Il nous touche. Poupe, de son nuage, peut être fier de son fils. On pense, le roman lu d'une traite, aux mots de Henri Calet : "Ne me secouez pas, je suis plein de larmes".