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Recherche par mot-clé: Sport

63 résultats. Page 4 sur 4.

Lu par:Alain Masson
Durée:4h. 53min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:24278
Résumé: Gino Bartali est décédé en 2000. Il était une légende du Tour d'Italie et du Tour de France. Six ans plus tard, le 25 avril 2006, Carlo Ciampi, président de la République italienne, lui remettait la médaille d'or de la valeur civile à titre posthume. Bartali avait contribué au sauvetage de nombreux juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Féru d'histoire, Patrick Guillou nous entraîne dans les coulisses du sport, à la rencontre de vingt belles histoires d'hommes et de femmes qui furent de grands champions. Mais pas seulement. Certains furent des résistants. On pense à Matthias Sindelar (contre les nazis), à Wilma Rudolph ou à Arthur Ashe (contre le racisme), à Nawal El Moutawakil (contre les préjugés), à Kip Keino (contre la pauvreté). D'autres, comme Marla Runyan, qui passa des jeux Paralympiques aux jeux Olympiques, Reinhold Messner, premier homme à avoir gravi les quatorze sommets de plus de 8 000 m, ou le joueur de base-ball Jim Abbott ont, dans leur quête d'absolu, fait reculer les limites physiques de l'humanité. D'autres, encore, ont vécu des histoires hautement symboliques, tels Abebe Bikila, Bobby Charlton, ou Manute Bol... Un livre inédit où se côtoient, tour à tour, l'émotion et l'humour, l'exploit et la fraternité, le courage et la dignité.
Durée:6h. 23min.
Genre littéraire:Arts
Numéro du livre:29339
Résumé: Journal de bord d'un amoureux de l'océan et hommage d'un marin passionné à ses compagnons de voile, Jean-François Deniau et Bernard Giraudeau, La mer est toujours ronde est aussi une histoire de partage, d'aventures et de raves. Entre chaque escale de cette croisière littéraire du cap Horn au Spitzberg, des Cyclades au golfe du Morbihan, Jean Glavany livre ses réflexions et ses anecdotes, drôles ou sombres, qui témoignent de son indéfectible complicité avec la mer, ses miroitements, ses mystères.
Lu par:Louis Belon
Durée:15h. 54min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:27239
Résumé: Le sport occupe une part croissante de nos loisirs. Comment expliquer son rôle ? A-t-il pour fonction de libérer les tensions que créent les contraintes de la société ? Pourquoi le football, le rugby ou encore la boxe, apparus en Angleterre, ont-ils été adoptés dans le monde entier, alors que le cricket ne s'est répandu que dans les pays du Commonwealth ? A quoi correspondent les violences des supporters et des houligans ? Norbert Elias voit dans le sport un laboratoire privilégié pour réfléchir sur les rapports sociaux et leur évolution. Inscrivant le sport dans la théorie du processus de civilisation, il montre avec Eric Dunning que le sport moderne n'a plus grand-chose à voir avec les affrontements guerriers et rituels de l'Antiquité ou du Moyen Age. Aujourd'hui, l'égalité des chances entre joueurs est censée annuler leurs différences sociales. De plus, le code des comportements, la sensibilité ont changé, imposant une diminution de la violence autorisée. Autre différence majeure : le plaisir de la pratique, ou du spectacle sportif, tient à l'excitation que procurent des affrontements corporels qui ne sont qu'un simulacre ; visant à écarter les risques excessifs, à ne pas mettre la vie en péril, ils permettent à chaque individu de relâcher le contrôle de ses émotions. Dans un match de football, ce n'est pas seulement la victoire de son équipe qui donne du plaisir, mais la compétition en elle-même. Fondamentalement, l'histoire de chaque sport est donc liée à l'apparition de règlements de plus en plus rigoureux qui ont uniformisé les pratiques sportives dans le but de maîtriser le déploiement ou le spectacle de la violence.