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Recherche par mot-clé: Soins hospitaliers -Aspect psychologique

4 résultats.

Durée:4h. 43min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:74387
Résumé: Lila Katz vient de terminer ses études de médecine et entame son tout premier poste dans un petit hôpital. Là-bas, elle découvre avec un mélange de plaisir et d’angoisse comment se débrouiller seule pour sauver la vie de ses patients. Passant de la périphérie au centre hospitalier universitaire d’une grande ville, elle fait la rencontre de monsieur Gary, un patient en attente d’une greffe pulmonaire, avec qui elle s’engage dans un combat contre la mort. Malgré toutes les difficultés, Lila gagne en confiance et en expérience. Elle apprend bientôt à superviser les jeunes médecins tout en s’occupant de l’hôpital, nuit et jour.
Durée:7h. 53min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:35714
Résumé: Quatrième de couverture: Voici donc, traduit en français, un ouvrage riche, parfois bouleversant, qui se centre sur les potentialités et les ressources des personnes en situation précaire plutôt que sur les diagnostics, les plans de traitement, les conseils psycho-éducatifs. Et qui tient compte, en même temps, du bien-être souvent malmené des soignants au sein des institutions (violence, épuisement, implication trop grande, burn out). Avec subtilité et justesse, Marlis Pörtner a adapté à ce type de population et au travail des soignants le postulat de hase et les attitudes fondamentales de l'Approche centrée sur la personne. Sans oublier l'apport considérable de Carry Proury qui a proposé, avec la pré-thérapie, une méthode pour entrer en contact avec des personnes considérées comme incapables de vie relationnelle ".Elle a observé dans sa pratique que l'Approche centrée sur la personne (C. Rogers) permet notamment, d'améliorer la qualité de vie des personnes concernées, d'élargir leur possibilité de choix, de faciliter le travail des soignants et de l'aménager de manière satisfaisante, de limiter les conséquences négatives d'une rotation élevée du personnel, de prévenir le burn out ". Ce livre invite les professionnels qui sont en contact quotidien avec des personnes adultes ayant un handicap mental, des personnes dépendantes ou des adolescents au comportement difficile, à ouvrir leur champ relationnel et à oser faire suffisamment confiance aux patients pour inventer leur chemin, à laisser vivre leurs pas " même si ce sont des petits, tout petits pas. Si ceux-ci ne correspondent pas à ce qui peut être attendu, au moins prouvent-ils " la capacité de faire des pas " et a la potentialité d'autres pas Le livre fournit aussi au lecteur des outils concrets qui ont prouvé leur utilité sans pour cela être normatifs ni une entrave à la spontanéité. Chacun est invité à réfléchir à la manière dont il peut " transposer l'Approche centrée sur la personne dans son propre champ professionnel ".
Durée:6h. 22min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:13098
Résumé: Pendant deux ans, Marie de Hennezel a enquêté auprès des malades, des familles et des soignants, qui se heurtent à une souffrance commune : le manque d'humanité et d'attention. Les témoignages qu'elle rapporte, bouleversants et souvent accablants, montrent que l'hôpital va mal parce qu'on y vit mal. Mais l'auteur de La mort intime ne se contente pas de dénoncer. Elle nous alerte et nous invite à prendre nos responsabilités. Car c'est à nous de mettre en oeuvre la nouvelle " démocratie du soin " qui nous permettra de rendre, au coeur de notre système de santé, toute sa place à l'autre, souffrant ou soignant.
Lu par:Agnès Hatt
Durée:1h. 49min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:28855
Résumé: L'auteur y dit l'hôpital, et notamment la physionomie des lieux, leur atmosphère très particulière. "Un monde", pour reprendre le titre d'un chapitre. Mais un monde d'"absence", où tout renvoie au manque, au creux. Elle dit l'attente, et même "l'attente acharnée" pour un résultat, pour un lit, pour un espoir. Surtout, elle dit l'amour qui vous pousse à calculer sans cesse pour assurer à l'autre un peu de bien-être. Quitte à camoufler votre propre douleur, à vous retenir de vous "mélanger" à ce malade que vous voudriez prendre dans vos bras. "Ça s'appelle une séparation, écrit-elle. C'est difficile, mais c'est ce qu'il vous demande, sans mot, parce que si vous vous vautrez sur lui en pleurant, il ne reste plus personne, dans la chambre devenue vide, entre lui et la mort."