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Recherche par mot-clé: Industrie pharmaceutique

5 résultats.

Durée:9h. 52min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:72160
Résumé: Lorsque leur développement dépasse certains seuils critiques, certaines institutions deviennent les principaux obstacles à la réalisation des objectifs qu’elles visent. Cette « contre-productivité paradoxale », version moderne du mythe de la Némésis (déesse grecque de la vengeance), Ivan Illich en fait ici la théorie systématique à propos de la médecine. Il critique tout particulièrement la diminution de la santé des hommes sous l’effet du développement sans fin de l’institution médicale, en soulignant l’inefficacité globale d’une médecine coûteuse, la perte de la capacité personnelle des individus de s’adapter à des environnements variés et le mythe de l’immortalité qui conduit au déni de la douleur, du vieillissement et de la mort.
Durée:14h. 50min.
Genre littéraire:Science-fiction
Numéro du livre:33623
Résumé: Régis, dernier de la classe, ne veut pas prendre de Métaquine®, le médicament qui transforme les cancres en écoliers modèles. Des millions d'enfants inadaptés bénéficient pourtant du traitement, au grand soulagement des profs et des parents. Mais Régis craint que la chimie dissolve le Duché, la contrée fabuleuse d'où son imagination tire châteaux, dinosaures et compagnons de jeu invisibles. La mère du gamin s'est enfermée sous un casque de cybertox, son beau-père rumine des fantasmes de tueur en feuilletant d'abjects magazines. Il n'y a guère qu'une voisine, neuropsy à la retraite, pour l'aider à défendre ses rêves. Ou peut-être, en ville, cette politicienne remuante qui milite contre la distribution de psychotropes à l'école. Mais que peuvent deux idéalistes face à un géant pharmaceutique et aux milliards de son budget marketing, alors qu'on découvre à la Métaquine® des vertus toujours plus prometteuses et que la planète entière a déjà gobé la pilule ? François Rouiller, avec ce premier roman, entre d'emblée dans la cour des grands. Métaquine® est le fruit de huit ans d'écriture et de réflexion sur les dérives de l'industrie pharmaceutique, le mensonge publicitaire, les manipulations de masse, l'espoir d'une souveraine panacée. Avec, à la clé, cette question : habitons-nous le vrai monde ou un placebo ?
Durée:11h. 46min.
Genre littéraire:Science-fiction
Numéro du livre:33099
Résumé: Régis, dernier de la classe, ne veut pas prendre de Métaquine®, le médicament qui transforme les cancres en écoliers modèles. Des millions d'enfants inadaptés bénéficient pourtant du traitement, au grand soulagement des profs et des parents. Mais Régis craint que la chimie dissolve le Duché, la contrée fabuleuse d'où son imagination tire châteaux, dinosaures et compagnons de jeu invisibles. La mère du gamin s'est enfermée sous un casque de cybertox, son beau-père rumine des fantasmes de tueur en feuilletant d'abjects magazines. Il n'y a guère qu'une voisine, neuropsy à la retraite, pour l'aider à défendre ses rêves. Ou peut-être, en ville, cette politicienne remuante qui milite contre la distribution de psychotropes à l'école. Mais que peuvent deux idéalistes face à un géant pharmaceutique et aux milliards de son budget marketing, alors qu'on découvre à la Métaquine® des vertus toujours plus prometteuses et que la planète entière a déjà gobé la pilule ? François Rouiller, avec ce premier roman, entre d'emblée dans la cour des grands. Métaquine® est le fruit de huit ans d'écriture et de réflexion sur les dérives de l'industrie pharmaceutique, le mensonge publicitaire, les manipulations de masse, l'espoir d'une souveraine panacée. Avec, à la clé, cette question : habitons-nous le vrai monde ou un placebo ?
Durée:5h. 59min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:32712
Résumé: Non, les brocolis ne protègent pas du cancer et le lait n'évite pas l'ostéoporose ! En matière de santé, nous sommes bombardés de fausses informations. On nous annonce des épidémies qui n'ont pas lieu mais on ne nous alerte pas assez sur les vrais tueurs de notre siècle. On nous met en garde contre la cigarette électronique qui ne sera jamais aussi nocive que le tabac, contre des vaccins salvateurs qu'on accuse à tort de mille maux, contre les antibiotiques dont il ne faut certes pas abuser mais qui sont indispensables quand une grippe perdure au-delà de trois jours, par exemple. Les lobbys pharmaceutiques nous conseillent de nouveaux médicaments dont le seul mérite est d'être plus chers que les anciens, et les chaînes alimentaires font une pub d'enfer pour leurs « alicaments » dont les bienfaits restent à prouver, quand ils ne se révèlent pas dangereux.
Durée:10h. 55min.
Genre littéraire:Sciences/technologie
Numéro du livre:29967
Résumé: Pendant 15 ans (1961 - 1976), les fleurons bâlois de l'industrie pharmaceutique suisse ont déposé quelque 114.000 tonnes de déchets chimiques dans une ancienne glaisière de Bonfol, en Ajoie. Sur la ligne de partage des eaux du Rhin et du Rhône, à un jet de pierre de la frontière française. En fûts et en vrac. Sans inventaire. Le marchandage qui a accompagné l'exploitation de cette décharge fut entaché d'envies et de cupidité, de tromperies, de suspicions, de rivalités. La fosse comblée, les déchets toxiques furent recouverts de terre et de végétation. Les chimistes croyaient que la nature encaisserait le choc et qu'une chape de discrétion ferait oublier leur méfait. Ils se sont trompés. Pendant 25 ans, de 1976 à 2000, la polémique rebondit périodiquement. Odeurs nauséabondes et pollutions suscitèrent protestations et pétitions. Les tentatives de colmater les brèches furent vouées à l'échec. En 2000, le gouvernement jurassien obtient que la chimie bâloise élimine cette bombe à retardement. Devisés à 380 millions de francs, les travaux d'excavation et d'incinération ont commencé au printemps 2010. Ils dureront six ans. Ce livre retrace l'histoire de cette décharge au moyen de témoignages et de documents dont certains étaient jusqu'à présent secrets. Il démontre que le chantier de Bonfol est appelé à devenir un exemple d'assainissement définitif de dépotoirs dangereux. Ils sont des milliers en Suisse et dans le monde qui empoisonnent la planète.