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Recherche par lecteur : Marie Julien

7 résultats.

Lu par:Marie Julien
Durée:6h. 11min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22457
Résumé: Détenu au Liban pendant trois ans, le narrateur choisit après sa libération de s'installer au cœur de la forêt landaise. Deux maçons taciturnes restaurent la maison. Il campe au milieu du chantier, rééduquant ses cinq sens au contact de la nature. Il va devenir prisonnier de la demeure dans la clairière et prendre de plus en plus de goût à cette dépendance. Dans cette parenthèse qui sépare la fin de l'épreuve du retour au monde des vivants, il écrit ce livre de la délectation où les odeurs, les visions et les rumeurs du monde sont nommées comme au premier jour.
Lu par:Marie Julien
Durée:4h. 34min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22050
Résumé: " Ce matin, John John est mort. Il s'est égaré dans le brouillard, engueulé une dernière fois avec sa femme tyrannique dans son coucou de sex symbol. Ils se sont abîmés pour toujours. New York a perdu son fiston. Madison Avenue éclate de pureté. Je vis comme un rat. L'été, tout se passe dehors. Cela se voit moins. Je suis dans le rythme. J'ai vingt-cinq ans, deux dollars en poche... Au royaume des Kids, je suis devenue un petit mec. " Par peur de l'ennui, l'héroïne d'Une fille dans la ville crée sa petite entreprise de e-business. Wonderwoman, elle veut se hisser sur la première marche du podium. Après le 11 septembre 2001 et la fin de la bulle Internet, elle juge ses rêves obscènes. A la poursuite d'un nouveau sens, elle tente alors de construire une grande histoire d'amour. Mais les Capitalistes cernent la planète ; son cœur menace d'exploser. De New York à Kaboul, via Paris, Séoul, Mexico et Moscou, Une fille dans la ville est un road-movie autour de la folie économique, un tableau terrifiant sur les sentiments amoureux à l'heure de la mondialisation, le roman caustique d'une génération au bord du gouffre.
Lu par:Marie Julien
Durée:4h. 40min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:22007
Résumé: On connaît Joséphine Baker l'artiste, la femme de spectacles, grande star du music-hall. On connaît moins la femme engagée, fervente militante des droits de l'homme, de la lutte contre le racisme et l'antisémitisme, qui fera de sa vie privée un exemple de tolérance et de fraternité. C'est ainsi que naît la merveilleuse Tribu Arc-en-ciel, composée de ses 12 enfants adoptés aux 4 coins du monde. A l'occasion du 100e anniversaire de sa naissance, Brian, l'un de ses fils âgé aujourd'hui de 47 ans, nous raconte, avec beaucoup d'humour et d'émotion ses souvenirs d'enfance. Il se souvient de la vie exceptionnelle qu'ils ont connu au château de Milandes. Une vie d'amour et d'harmonie. Tout au long de ses mémoires, et avec son regard d'enfant puis d'adolescent, il nous relate des rencontres improbables : Dalida, Gilbert Bécaud, la princesse Grace Kelly, Fidel Castro ou encore Jackie Kennedy.
Lu par:Marie Julien
Durée:6h. 1min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21961
Résumé: Parce que Jean et Émilienne étaient nés le même jour, le 11 février 1922, au village de Nigérac, il fut prétendu par tout le monde qu'on les marierait. On oublia la prédiction d'une bohémienne de passage: "Il faudra du temps, beaucoup de temps, et des larmes..." Ainsi, L'Heure du braconnier raconte l'histoire d'un amour commencé dans l'innocence, rompu violemment par les événements (la Libération dans cette province lointaine), étouffé par les jours, les ans et les choses de la vie, mais toujours rougeoyant sous les cendres. D'autant plus qu'un enfant est né des rencontres d'Émilienne et de Jean, alors que celui-ci s'est marié ailleurs. Une autre passion, au travers même des épreuves, donne un sens à la vie de Jean : le braconnage. Son père, le carrier de Nigérac, le lui a enseigné, comme un art, pratiqué avec finesse et sagacité, dans le respect de la nature. Les hommes de la famille ont ça dans le sang et dans le coeur. Jean le découvre quand, enfin revenu à Nigérac, il verra son fils, le garçon d'Émilienne, le suivre sur les chemins de la nuit, à l'heure du braconnier. Et, un soir, lorsque Émilienne voit les deux hommes de sa vie, Jean et son fils, s'enfoncer côte à côte dans l'ombre des bois, elle sait que s'achève le temps des larmes et de la haine, que l'heure de la réconciliation est venue.
Lu par:Marie Julien
Durée:5h. 9min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:22458
Résumé: Qui parle en vous ? Qui vous raconte les histoires qu'à votre tour vous transmettrez ? Pour répondre à ces interrogations, Gisèle Pineau a choisi de remonter le cours des vies de quatre femmes. Celles qui l'ont construite. Angélique, l'ancêtre esclave, qui connut les temps perturbés de l'abolition puis du rétablissement de l'esclavage, gagna sa liberté et finit par épouser le Sieur Pineau. Julia, la grand-mère, profondément attachée à son pays Guadeloupe, mais contrainte à l'exil pour fuir un mari trop violent. Gisèle, la grand-tante, qui se laissa mourir de chagrin à vingt-sept ans, après avoir perdu son jeune époux. Et puis Daisy, la mère, qui, au plus gris de l'exil et de ses malheurs, se tint toujours debout pour ses enfants et rêva sa vie dans les romans d'amour. Avec son livre le plus personnel - et peut-être le plus émouvant -, Gisèle Pineau fait revivre ses quatre femmes dans la « geôle noire » de la mémoire. Quatre femmes, quatre époques de l'histoire antillaise, quatre inoubliables destins.
Lu par:Marie Julien
Durée:6h. 21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22274
Résumé: En même temps que le vieil Enrique, fameux maquignon ayant marqué son époque, c'est tout un monde qui s'éteint sur ce parking du Sud de la France: celui des tziganes. Relégués dans ce camp à l'écart de la ville, ils sont une cinquantaine de familles qui attendent la dernière heure de leur doyen. Débarquant de toute l'Europe à bord de leurs caravanes et de leurs camping-cars, les innombrables membres du clan dispersé les rejoignent au fil des jours pour un ultime hommage au patriarche. Parmi eux, Agustin, mi-fakir, mi-chaman, et sa fille, Antucha, qui vont profondément bouleverser la vision que Bartolomé, le gardien du camp, se fait du monde. Mais cette soudaine concentration de voyageurs va bientôt réveiller, autour du camp, l'hostilité et le racisme latents. Entre des cultures et des modes de vie si différents, le conflit paraît inévitable. Dans ce livre d'une grande puissance romanesque, Marc Trillard (prix Interallié 1994) continue son exploration du monde des hommes en marge et autres insoumis magnifiques. Écrivain rare, exigeant, il fait avec De sabres et de feu son grand retour au roman.
Lu par:Marie Julien
Durée:8h. 5min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:22153
Résumé: " Je crois, pour ma part, qu'on reste trop longtemps partout. Chez ses parents, chez ses amis, chez les femmes qui vous aiment... Plus qu'aucun autre, un journaliste doit savoir s'éloigner. " Telle était la philosophie de Georges de Caunes, ce digne héritier d'Albert Londres et de joseph Kessel, ses modèles. Pionnier parmi les pionniers, il fut avec Sabbagh, Tchemia ou Sallebert, le présentateur vedette du journal télévisé, aux temps héroïques, quand le petit écran ne proposait qu'une seule chaîne. Mais ce reporter impertinent, aussi à l'aise à la radio qu'en presse écrite, élégant et séducteur, avec son physique à la Cary Grant, ne restait jamais bien longtemps assis dans son fauteuil. Il préférait prendre le large à la recherche de nouveaux horizons, toujours accompagné de son fidèle chien Eder. Incorrigible aventurier, il a participé aux Expéditions polaires françaises menées par Paul-Émile Victor au Groenland, a traversé l'Amazonie, s'est aventuré au Mexique et, tel Robinson, s'est imposé cent dix-huit jours sur l'île déserte et hostile d'Eiao dans les Marquises. Son exploit le plus exceptionnel. Au fil des témoignages des femmes qu'il a aimées, Benoîte Groult, Jacqueline Joubert et Anne-Marie Carmentrez, ou de ses cinq enfants, Blandine, Lison, Antoine, Marie et Pierre, se dessine aussi un personnage mélancolique. Cet homme, qui affichait une belle assurance et un humour dévastateur en public, restait très secret en privé. La disparition prématurée du père ainsi que des années d'études chez les jésuites ne sont peut-être pas étrangères à cette réserve... Il n'en fut pas moins un mari et un père aimant, et, malgré ses fêlures intimes, toute la famille est fière d'avoir porté ou de porter un nom, synonyme d'indépendance d'esprit, d'humour et de modernité. Vincent Rousset signe la première biographie de ce monstre sacré du journalisme. Un portrait d'une grande sincérité, qui s'appuie sur les longs entretiens qu'il a menés avec Georges de Caunes et s'enrichit des témoignages de ses proches, comme de ses éminents collègues tels que Pierre Tchernia ou Michel Drucker. Georges de Caunes est mort le 28 juin 2004 à La Rochelle, où il avait jeté l'ancre depuis vingt ans.