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Recherche par lecteur : Florence Gardes et Patrick Kaplan

10 résultats.

Durée:38min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:22067
Résumé: Marthe et son mari, Pierre et sa femme vivent dans une résidence commune. Les deux ménages sont unis et heureux. Cependant Pierre éprouve auprès de Marthe un irrésistible plaisir. Sous un flirt élégant et spirituel qui se défend de plus en plus mal d'intentions plus précises, se fait jour un désir assez pressant. Marthe résiste et elle dégrise gentiment Pierre et l'engage à retrouver sa femme.
Durée:37min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:22065
Résumé: Deux amants se retrouvent pour la dernière fois, chacun pour se marier selon les convenances. Quelle dérision de parler de plaisir dans cette rupture où chacun tente, dans un dialogue vif, tantôt léger, le plus souvent ironique, de cacher sa souffrance face à un bonheur auquel il doit renonce
Durée:29min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:22058
Résumé: Agrippine, grande réactionnaire hargneuse et aigrie, est au lit avec son mari, Edouard, intellectuel et dépressif. Dans l'appartement d'à côté, un nourrisson pleure : c'est du pain béni pour aiguiser l'intarissable langue de vipère d'Agrippine et accabler son mari épuisé par ce flot de bêtise. Dans cette pièce, la langue d'Obaldia est vive, aiguisée, caustique, tranchante. C'est de la dentelle cousue au fil de fer.
Durée:1h. 54min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:25423
Résumé: Traduit de l'allemand par M. Remon, W. Bauer, S. Clauser. (Réédition). La demoiselle de petite vertu, le soldat, la soubrette, le fils de famille, la femme du monde et son mari, ce mari et la grisette - le second quittant la première pour la troisième qui sourit au quatrième. Et ainsi de suite jusqu'au comte qui passe de la comédienne à la demoiselle de petite vertu, bouclant la boucle de la ronde. Qu'est-ce qui les entraîne tous ? Les diverses nuances de ce qu'on appelle l'amour et qui n'est parfois que l'attirance des corps modulée par les règles du jeu social selon ce que l'on est, riche ou pauvre, homme ou femme, libre ou non. En dix scènes brèves "La Ronde" dit, avec pittoresque et acuité, l'essentiel sur cette magie du coeur ou des sens qui mène le monde.
Durée:2h. 13min.
Genre littéraire:Littérature érotique
Numéro du livre:24302
Résumé: Un homme et une femme écrivent leur histoire commune dans leurs cahiers intimes respectifs. Ils vont découvrir et réaliser ensemble les plus grands de leurs fantasmes. Ils se plaisent, s'évitent, se trouvent. Ils font l'amour. Sans un je t'aime. Alors commence le bonheur. Mener deux vies, l'une officielle et l'autre non. Mettre le sexe au centre de tout. Croire à ce bonheur-là.
Durée:37min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:22066
Résumé: "Jean-Claude Grumberg est l'auteur tragique le plus drôle de sa génération. (...) Dans ce "cauchemar de l'Histoire" dont parle Joyce, cauchemar dans lequel il a été jeté à sa naissance, Grumberg va "remonter la pente" en devenant un auteur comique, l'auteur d'un théâtre peuplé de "petites gens" d'une vérité à la fois cocasse, affectueuse et féroce. Grumberg n'est pas populiste, il est populaire. Il n'est pas naturaliste, il est naturel. Il n'est pas réaliste : il sonne réel avec cette simplicité pas du tout simple à obtenir, avec cette vérité qui est le produit d'un art aussi savant qu'invisible."
Durée:4h. 20min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:21424
Résumé: "Ne crois pas, ne crois pas, Alfred, que je puisse être heureuse avec la pensée d'avoir perdu ton cœur. Que j'aie été ta maîtresse ou ta mère, peu importe. Que je t'aie inspiré de l'amour ou de l'amitié ; que j'aie été heureuse ou malheureuse avec toi, tout cela ne change rien à l'état de mon âme à présent. Je sais que je t'aime et c'est tout. Veiller sur toi, te préserver de tout mal, de toute contrariété, t'entourer de distractions et de plaisirs, voilà tout le besoin et le regret que je sens depuis que je t'ai perdu." George Sand à Alfred de Musset, Venise, le 15 avril 1834.
Durée:32min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:24417
Résumé: Dans Serial Killer, une femme assassine ses amours et en collectionne les dépouilles, laissant son amoureux abasourdi devant cette violence incompréhensible et cruelle. Une jeune femme vend au plus offrant les morceaux choisis de son corps, certaines émotions et des souvenirs de son passé, dans une mise aux enchères qui confine au désespoir. Quatre personnes, devant un appareil photo, peinent à prendre la pose nécessaire à un portrait de famille qui en rappellera un autre, pris dans un temps plus heureux. Sur la Route 1, cinq jeunes gens marchent vers la perte de leurs illusions et découvrent à chaque pas un peu plus de l'atroce vérité de la guerre, du feu et de leur histoire. Quatre courtes pièces, quatre univers singuliers, qui donnent un aperçu foudroyant de l’art et de la manière de Carole Fréchette.
Durée:2h. 1min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:22171
Résumé:
Durée:4h. 4min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:21542
Résumé: Love s'inscrit dans le registre des mœurs de la société américaine véhiculant les rêves et ses opposés, l'amour et la détresse, l'argent et la misère et mise en scène tant au théâtre, qu'au cinéma. La pièce a pour cadre une ville des Etats-Unis, un pont pour toile de fond noyé dans un camaïeu dégradé des clairs-obscurs de la nuit. Harry Berlin décide de fuir le temps qui fut sien, lequel l'a amené à la désocialisation. Une dernière envie, se jeter dans le vide, une façon de se noyer dans le néant. Homme sans âme, âme sans homme, les liens de la personnalité sont désunis. Que lui reste-t-il maintenant, vivre pour survivre, respirer pour s'asphyxier, voir sans être vu ? A la bonne heure, un de ces anciens copains de l'université arrive par hasard et lui évite l'irréparable. Milt Manville incarne la réussite et la prétention, l'élégance et la vulgarité, l'égo coincé sur un isthme d'indifférence et de fidélité. Les deux amis se rappellent à leurs bons souvenirs et se confient leurs histoires de cœur. Milt, pervers et suspicieux, réfléchit à se débarrasser de sa femme, Ellen. Ne va-t-il pas tenter de la pousser dans les bras de Harry. Si la fin justifie les moyens, l'amitié ne justifie pas les trahisons. Love, quatre lettres qui se détachent dans le firmament et illuminent les esprits les plus velléitaires.