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Recherche par lecteur : Caroline

122 résultats. Page 7 sur 7.

Durée:5h. 5min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:26758
Résumé: Le monde d'aujourd'hui, avec ses fractures, ses drames politiques, ses éruptions de liberté venues de l'Est. L'histoire de deux individus, Simon et Marianne, qui essaient d'inventer une histoire d'amour. Simon est un drôle de type : il a publié deux romans sous pseudonyme et il s'apprête à en publier un troisième, mais écrit par un autre. Simon est un rêveur et d'étranges blessures habitent sa mémoire : ainsi, on le devine obsédé par un fils qu'il aurait eu, autrefois, et qu'il n'a jamais vu... Avec Marianne, il voudra retrouver le goût d'une passion qui ne s'use pas. D'autres personnages étranges : l'écrivain Kaspar George Becker (K. G. B.) qui écrit un roman dans lequel défilent toutes les convulsions de l'ancienne Europe ; une concierge excentrique qui s'appelle Madame Dior ; Rosa, et Marcella, et Lucien, et Alice, et tant d'autres qui se déplacent dans ce livre comme autant de somnambules. Peut-être ne sont-ils pas seulement les personnages du roman que l'on est en train de lire mais aussi ceux du roman que Simon, le narrateur, est en train d'écrire... C'est dire que ce livre voudrait être une fable sur l'époque mais aussi sur la création littéraire.
Durée:6h. 56min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:25524
Résumé: Il y a cinq ans, le cardinal et Olivier Le Gendre commençaient une discussion d'une étonnante franchise sur l'Église, son fonctionnement et ses principales prises de position jusqu'à la disparition de Jean-Paul II et l'élection dans un climat de panique de son successeur. Ces entretiens ont donné lieu à un ouvrage, Confession d'un cardinal, qui a suscité d'intenses débats dans la communauté catholique. Ces entretiens ont repris début 2010, mais le climat a changé : Olivier Le Gendre a frôlé la mort à cause d'une grave maladie et le cardinal s'est plongé encore davantage dans le monde des plus défavorisés. Leur ton est donc plus profond, plus spirituel. Peut-on encore avoir confiance dans le message de l'Église ? Ne s'est-il pas trop dénaturé pour avoir la capacité de revenir aux principes premiers des Évangiles et du Christ : attention aux plus démunis, humilité, charité... Le pouvoir de l'Église ne s'est il pas sclérosé à cause d'une hiérarchie vieillotte et accrochée à ses privilèges ? Benoît XVI est-il bien entouré ou, d'une façon plus générale, l'organisation de l'Église est-elle encore adaptée au monde actuel ? Faut-il donner plus d'autonomie aux églises locales ? Y a-t-il encore de l'espérance ?... Olivier Le Gendre doute, le cardinal est lucide : « Nous sommes dans une Église étrange, capable souvent du meilleur et nous laissant parfois surpendre par le pire.» Au cours de leur dialogue tout aussi passionné que calme, ce sont toutes les problématiques les plus profondes qu'ils exposent sans jamais fermer les yeux.