Contenu

Les grands espions du XXe siècle

Résumé
Héros pour certains, barbouzes ou misérables traîtres, petites frappes pour d'autres, taupes, transfuges, les agents de renseignement ou espions nous fascinent toujours par leurs capacités à évoluer dans l'ombre et le secret. Brossant les portraits de quarante agents de toutes nationalités (membres de la DGSE, du KGB, de la CIA, du M16 ou du Mossad...), Patrick Pesnot et Monsieur X nous proposent d'approcher au plus près la réalité du monde de l'espionnage, à travers un panorama de cinquante ans d'histoire du renseignement. Parmi les plus connus de ces agents, le lecteur retrouvera les hauts faits d'espionnage de Hanssen, Ames, poursuivis pour espionnage à la solde du KGB, Eli Cohen, l'espion israélien en Syrie, Fuchs, l'agent qui a permis à l'URSS de fabriquer sa bombe atomique en 1949...
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Mots-clés: Espions -
Durée: 11h. 7min.
Édition: Paris, Nouveau monde éd. :, 2009
Numéro du livre: 19401
ISBN: 9782847364798
Collection(s): Nouveau monde poche : document
CDU: 327

Documents similaires

Lu par:Claude Rozier
Durée:6h. 15min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:21065
Résumé: Juin 1953. Condamnés pour espionnage, Julius et Ethel Rosenberg sont exécutés sur la chaise électrique en dépit d'une intense campagne mondiale pour les sauver. En France, les manifestations, les pétitions se multiplient, l'antiaméricanisme fait rage. Pour beaucoup, la cause est entendue. Les Rosenberg ont été victimes du fascisme et de l'antisémitisme du gouvernement des États-Unis. Pourtant, cinquante ans après, il nous faut réexaminer les faits. Les archives du KGB se sont entrouvertes ; le FBI a révélé le contenu des télégrammes secrets soviétiques qu'il interceptait; des espions, dont Feklissov l'homme qui contrôlait les Rosenberg, ont parlé. Ce livre est d'abord une passionnante enquête policière au cœur des services du contre-espionnage américain. Mais également une étude psychologique - pourquoi trahit-on son pays ? Y aurait-il de bons et de mauvais coupables ? Enfin, par quel aveuglement des juifs ont-ils sacrifié leurs vies par amour pour Staline, ordonnateur de crimes antisémites ? Car, avant d'être érigés en martyrs, Julius et Ethel Rosenberg formaient un couple étonnant, soldé par un amour indéfectible, qui se croyait intouchable.
Durée:9h. 57min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:68897
Résumé: L'histoire d'Elie Cohen, agent des services secrets israélien, qui réussit à s'implanter au plus haut niveau de l'Etat Syrien durant les années qui précédèrent la guerre des Six Jours de 1967. Le récit reprend l'origine de cet espion hors du commun, son cheminement vers les services secrets, sa formation, la création de sa couverture, son implantation en Syrie et la restitution de ses missions et services rendus. La capture finale et les moyens mis en œuvre pour récupérer Elie Cohen occupe une part importante de la fin de l'ouvrage. Elie Cohen fut finalement condamné à mort et exécuté en Syrie.
Durée:19h. 53min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:33359
Résumé: C'est lors d'un séjour en prison que Morten Storm cherche un nouveau sens à sa vie. Il se convertit à l'Islam à l'âge de 21 ans et, peu à peu, se radicalise, jusqu'à devenir très proche des membres d'Al-Qaïda. Mais alors qu'il est en passe de devenir un véritable djihadiste, un renversement de situation bouleverse sa vie. Il décide de collaborer avec l'Occident et devient agent double pour trois grandes agences de renseignement, dont la CIA. Commence une vie de mensonges et de duplicités, faite de rencontres secrètes, de messages codés, de comptes rendus clandestins. Un quotidien sans le moindre droit à l'erreur... En collaboration avec deux reporters de guerre de CNN, Morten Storm nous livre un témoignage saisissant, édifiant, hallucinant
Durée:7h. 1min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:72357
Résumé: Ancien agent secret à la DGSE, l'auteur évoque ses souvenirs de missions menées durant sa carrière sous une identité fictive. Il dévoile comment les services d'espionnage internationaux forment, préparent et encadrent leurs clandestins, à travers ses expériences ainsi que l'histoire de cinq profils, ou légendes, ayant marqué le monde de l'espionnage.
Durée:23h. 45min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:73519
Résumé: Le parcours de S. Jirnov, espion soviétique choisi à 17 ans par le KGB pour intégrer l'élite des éclaireurs, qui a pour mission d'infiltrer l'ennemi occidental sur la durée et en profondeur, en se faisant passer pour l'un des siens. Après une formation clandestine durant laquelle il apprend à mentir et à manipuler, il officie notamment à l'ENA, à Paris.
Durée:2h. 53min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:65490
Résumé: Il aura fallu trente ans pour que Clémentine Autain écrive sur sa mère, la comédienne Dominique Laffin, morte en 1985. Clémentine en avait 12 et déjà un long et douloureux chemin avec cette mère en souffrance, égarée, incapable de prendre soin de sa fille. Clémentine Autain s’est construite en fermant la porte aux souvenirs, en opposition avec cette mère dont, petite fille, elle avait parfois dû s’occuper comme d’un enfant. Aujourd’hui, elle n’occulte rien, dit avec justesse le parcours tragique d’une femme radieuse et brûlée, passionnée de vie, actrice magistrale, féministe engagée mais dévorée par ses angoisses et prise au piège d’une liberté dangereuse. Dites-lui que je l’aime : dans ce récit poignant dont le titre rappelle le film éponyme, Clémentine Autain rend justice à une figure oubliée des uns, culte pour les autres. Elle retrouve ce qu’elle lui doit, son féminisme, sa propre maternité peut-être. Et malgré l’âpreté des souvenirs, elle écrit un récit d’une grande douceur, une lumineuse lettre d’amour.
Durée:2h. 14min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:38106
Résumé: Dans Un voile de coton, Amélie Plume obéit à un irrésistible appel vers la terre de ses origines. Elle décide de s’en aller le plus souvent possible loin de sa grise capitale, avec le train, le car, la voiture. Rendre visite à ces petits villages et ces vastes campagnes jurassiennes où elle n’a plus mis les pieds depuis longtemps lui procure une joie profonde et inattendue. Alors son alerte monologue en basse continue se teinte de commentaires de voyage dont la palette va du grand bon sens à l’autoironie la plus cocasse. Son entrain l’amène pourtant à déterrer des souvenirs enfouis « dans une purée de pois », qui, finalement, la conduisent à se mettre en chambre et regarder en face son enfance et sa mère. La seconde partie de ce livre leur est consacrée, avec une honnêteté qui émeut. Du cocon fusionnel « comme dans une poche de kangourou » avec cette mère si douce et sévère à la déchirure d’avec cette femme à l’ancienne, voici le retour d’une féministe à l’enfance, là où l’amour maternel, lorsqu’il est trop fort, peut être source d’une sourde violence.
Durée:3h. 20min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:35807
Résumé: « J’ai aimé ma mère, follement. Je l’ai cajolée, protégée. Je lui chantais des comptines de couleur, bleue, ou rose selon l’humeur, pour la rassurer. Je l’épaulais lors de ses chagrins d’amour, j’assistais, déboussolée, à ses crises de manque. J’étais parfois la mère de ma mère… Pourtant, je l’admirais plus que quiconque, je ne l’aurais à aucun moment échangé contre une autre. Maman, elle n’avait pas peur de se bagarrer avec ses pieds et ses mains, ni de claquer la porte aux nez de ses amants. Maman, elle partait en pleine nuit faire la fête, elle m’emmenait dans des dîners de grands en plein Saint-Germain des Prés, à la Coupole ou au Flore, alors que nous vivions dans de petits appartements faits de bric et de broc. Ma mère était bohème. Elle était mon ciel et ma terre. Elle était mon Ode. Tout un poème. » La comédienne retrace la vie bohème de sa mère, entre les chagrins d'amour et les grands dîners du côté de Saint-Germain-des-Prés. Premier roman. ©Electre 2017
Durée:5h. 27min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:33891
Résumé: Elle est la seule personne qui ne l'a jamais quittée, de Sofia à Paris, de Paris à Los Angeles. Tout tenait par elle. Grâce à elle. Parce qu'elle était là. Toujours. Sylvie Vartan a retrouvé le journal intime de sa mère, Ilona. Elle a rassemblé toutes les notes qu'elle avait prises après chacune de leurs conversations. Puis elle a composé cet hommage bouleversant à cette femme qui aura été tout pour elle : le pilier, l'alliée, le secours. Lorsqu'en 1952 ils ont décidé de fuir l'enfer du communisme et de vivre à Paris, les Vartan ont logé dans une petite chambre d'hôtel du quartier des Halles. Pendant trois ans, le père a dormi avec son fils, et Sylvie a partagé le lit de sa mère. C'est là, sans doute, dans ces années où Sylvie Vartan a vu sa mère tomber de fatigue sans jamais se plaindre, que ce lien unique s'est formé. Aujourd'hui, dans son livre, tout lui revient. Et on se laisse submerger par la puissance de cet amour maternel.
Lu par:Myriam Dibot
Durée:5h. 13min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:36500
Résumé: "Quand je t'ai retrouvée, morte, j'aurais dû te cracher à la figue", écrit l'auteur en parlant à sa mère. Comme l'a écrit Elisabeth Badinter, l'amour maternel n'est en rien naturel. Pour Edith Reffet, l'auteur de Ma mère, il n'est pas au rendez-vous. Dans ce récit, elle raconte son enfance et ses relations avec une mère, institutrice, qui commence par l'abandonner alors qu'elle n'a qu'un jour. C'est en ayant le courage de la fuir dès qu'elle a 20 ans qu'elle évitera d'être détruite par la diabolique énergie négative d'une mère qui finira par la déshériter après l'avoir déclarée morte à l'hôpital.
Durée:3h. 9min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:39335
Résumé: « On écrit pour comprendre ce que l’on ne comprend pas. Quand j’écrivais Vie de ma voisine, mon héroïne me parlait de sa mère. Elle me racontait ses mots, elle évoquait ses gestes. L’amour d’une mère. Je mesurais mon ignorance dans ce domaine. Ma mère n'en savait ni les mots ni les gestes. Je suis donc partie sur les traces d'une petite fille grecque et arménienne et de sa mère, danseuse orientale et apatride, à Paris dans les années 20. Ma mère ne voulait rien savoir de son passé. Il a fallu que j’enquête et que je l’invente. Que je trouve les mots pour la retrouver. C’est ce livre, Le chagrin d’aimer. Je suis passée par la cour du roi de Grèce et par les collines de Fiesole. Par un atelier d’écriture, une maison de retraite, plusieurs voitures, un supermarché, des quantités de paquets de gauloises, une machine à écrire. Autant de circonstances, par-delà les guerres, les destructions, les irrémédiables pertes, où ma mère se battait avec ce qui fait la vie ordinaire : la nourriture, l’argent, le travail, l’amour. J’ai tenté d’en savoir un peu plus sur elle, sur moi. Chemin faisant, j’ai compris que ce n’était qu’un début. »
Durée:8h. 55min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:34979
Résumé: Julie est allongée sur la table d'examen d'un médecin. Elle n'a pas douze ans, elle est maigre, elle est faible. Il est 4 heures de l'après-midi et elle n'a toujours pas été autorisée à manger quoi que ce soit. À côté d'elle, sa mère semble étrangement excitée. Elle est sur le point de suggérer une opération à coeur ouvert pour sa fille...Depuis son plus jeune âge, Julie est une enfant fragile qui passe plus de temps en consultations que sur les bancs de l'école. Pourtant, ce mal étrange dont elle souffre, et que seule sa mère sait décrire, ne trouve pas de remède, en dépit des médicaments ingurgités, des traitements infligés et des innombrables spécialistes interrogés...Tout simplement, parce que Julie n'est pas malade... Elle est victime du syndrome de Münchhausen par procuration. Ma mère, mon bourreau est le récit de son enfance, volée par une mère souffrant d'un besoin maladif d'attention. Un récit sans fard. Un témoignage poignant.