Recherche par auteur : Jean-Charles
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Lu par : Michèle Georgopoulos
Durée : 11h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 33711
Résumé:En cette année 736, le duc Mauronte, patrice de Marseille, s'inquiète pour l'indépendance de son fief, menacé, au nord, par les Francs de Charles Martel et, au sud, par les Sarrasins. S'il veut survivre, Mauronte doit s'allier à l'un des deux camps. Le choix est d'autant plus délicat que Childebrand, frère de Charles Martel, et Youssouf, gouverneur musulman de Narbonne, sont tombés fous amoureux de Blanche, sa fille adorée. Peu belliqueux, le Duc aime les plaisirs de la vie dont il jouit sans modération. Il apprécie par-dessus tout qu'on lui raconte des histoires et, pour l'aider à prendre sa décision, il décide d'ouvrir son palais aux conteurs venus des deux contrées opposées. Tout au long d'innombrables nuits, les narrateurs affluent. Pendant de délicieuses soirées, c'est un feu d'artifice d'histoires magnifiques où tout ce qui peut germer dans l'imaginaire fiévreux des hommes est exalté : l'amour, la douceur, l'érotisme, la violence, la cruauté, la pure beauté, le merveilleux, le fantastique. Chacun cherche à toucher, au plus secret, la raison du père et le coeur de la fille. Mais les dieux, seuls, savent qui sera l'heureux vainqueur de ce combat singulier. Quand les armes se taisent, le temps d'un dialogue des cultures, quand la joute n'est plus sur le champ de bataille, mais dans la bouche des plus redoutables orateurs, alors tout devient possible, à commencer par la paix. Dans ce roman virtuose, construit comme une inépuisable poupée-gigogne, Jean-Christophe Duchon-Doris fait preuve d'une imagination éblouissante, servie par un humour et une écriture d'une grande finesse.
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 4h. 40min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 13746
Résumé:Content ? Voilà un mot qui peut paraître un peu court, étriqué, dénué d'ambition. Notre culture invoque plus volontiers le bonheur, avec ce que le mot suppose d'absolu. C'est délibérément que Jean-Louis Servan-Schreiber, directeur de Mythologies magazine, se démarque d'un tel idéal pour nous parler de notre aptitude à vivre pleinement et positivement l'instant. Une aptitude que certains possèdent naturellement, mais qui néanmoins s'acquiert ou s'accroît. En vingt-cinq courts chapitres où l'analyse est étayée par l'expérience personnelle de l'auteur, celui-ci nous invite à accepter le réel et nos limites, à respecter nos rythmes, à apprendre à choisir ou à nous rendre disponibles, à déjouer les pièges que nous tend notre ego...
Lu par : Sylvie Fournier
Durée : 3h. 27min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 77170
Résumé:De retour dans son petit village de Charente, un politicien au parcours douteux est abattu dans sa maison de famille. Le surlendemain, une vieille femme réputée pour sa connaissance des coins à champignons, est tuée par un chauffard qui prend la fuite. Trois retraités, un commissaire de police, un juge et un espion, se réunissent pour trouver le tueur et comprendre ce qui liait les deux victimes.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 7h. 45min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 69047
Résumé:Qui est ce soldat énigmatique qui se fait appeler Belleface ? Et quel est le lourd et douloureux secret qu'il dissimule avec tant de précautions à ses hommes ? Rescapé du camp de Treblinka, ancien légionnaire en Indochine, officier légendaire de l'armée israélienne, il commande un avant-poste dans le sud du Liban en 1985. Sa mission : protéger la frontière nord d'Israël contre les attaques du Hezbollah avec l'aide de quelques miliciens libanais à la solde de l'Etat hébreu. L'arrivée d'un jeune Français ardent et idéaliste au sein de cette communauté d'hommes confinés en territoire hostile, assiégés par un ennemi insaisissable, perdus dans une sorte de désert des Tartares oriental, va être un révélateur. Et faire apparaître le mystère si invraisemblable de la vie de Belleface, héros inconnu dont l'Histoire n'a pas retenu le nom. Inspiré de la vie d'un personnage ayant réellement existé, Le Métier de mourir est un beau et grand roman métaphysique, marqué par un romantisme échevelé, où s'entremêlent, autour d'un individu hors du commun, des histoires d'hommes et d'amour, dans des paysages de commencement du monde, au rythme des balles qui sifflent et des Saintes Ecritures. - [Prix Renaudot des lycéens 2020]
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 47h. 29min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 30364
Résumé:Autrefois, ce n'était pas comme maintenant ; les premiers ministres manqués faisaient de grands mémorialistes, et même de grands écrivains tout court : Retz, Saint-Simon, Chateaubriand. Retz a d'ailleurs été cardinal-archevêque de Paris, et l'un des principaux meneurs de la Fronde, l'anti Mazarin. Ses Mémoires, qu'il rédige à plus de soixante ans, vers 1675-1676, à la demande de ses amis (dont Mme de Sévigné), sont l'autobiographie d'un homme politique en pleine guerre civile. Il prend sa revanche sur les déboires d'une existence « agitée par tant d'aventures différentes ». Il en revit les grandes étapes en une sorte de rêve éveillé. L'allégresse du récit, l'évocation colorée des événements, la pénétration psychologique, par-dessus tout, le style varié, drôle, parfois méchant, en font un texte majeur de notre littérature et un modèle pour la pensée et pour l'action.
Thérèse philosophe ou Mémoires pour servir à l'histoire du P. Dirrag et de Mlle Eradice
Argens, Jean-Baptiste de Boyer (marquis d') marquis d'
Lu par : Christine Marrec
Durée : 4h. 42min.
Genre littéraire : Littérature érotique
Numéro du livre : 66396
Résumé:Ou comment la tendre Thérèse, née dans une obscure province, connut le comble de la volupté. « J’étais placée de manière à ne pas perdre la moindre circonstance de cette scène (…). Éradice venait d’être placée à genoux sur le plancher, les bras croisés sur le marchepied de son prie-Dieu et la tête appuyée sur ses bras. Sa chemise, soigneusement relevée jusqu’à la ceinture, me laissait voir à demi profil des fesses et une chute de reins admirables. Cette luxurieuse perspective fixait l’attention du très révérend père, qui s’était mis lui-même à genoux, les jambes de sa pénitente placées entre les siennes, ses culottes basses, son terrible cordon à la main, marmottant quelques mots mal articulés. Il resta pendant quelques instants dans cette édifiante attitude, parcourant l’autel avec des regards enflammés, et paraissant indécis sur la nature du sacrifice qu’il allait offrir. »