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Recherche par auteur : Dieulafoy, Jane

4 résultats.

Lu par:Karine Maurer
Durée:7h. 27min.
Genre littéraire:Voyage/exploration
Numéro du livre:33640
Résumé: Tout chemin ne conduit pas en Perse. Les augures consultés furent d'avis différents. Deux voies étaient ouvertes ou, pour mieux dire, fermées. L'une traversait le Caucase, passait au pied de l'Ararat et desservait la grande ville de Tauris ; nos agents diplomatiques la parcouraient assez souvent pour qu'elle fût bien connue au ministère des Affaires étrangères. Mais le pays était en pleine insurrection, les Kurdes sauvages mettaient tout à feu et à sang et dépouillaient ou massacraient impitoyablement les voyageurs...
Lu par:Karine Maurer
Durée:7h. 38min.
Genre littéraire:Voyage/exploration
Numéro du livre:35160
Résumé: Tout chemin ne conduit pas en Perse. Les augures consultés furent d’avis différents. Deux voies étaient ouvertes ou, pour mieux dire, fermées. L’une traversait le Caucase, passait au pied de l’Ararat et desservait la grande ville de Tauris ; nos agents diplomatiques la parcouraient assez souvent pour qu’elle fût bien connue au ministère des Affaires étrangères. Mais le pays était en pleine insurrection, les Kurdes sauvages mettaient tout à feu et à sang et dépouillaient ou massacraient impitoyablement les voyageurs...
Durée:8h. 21min.
Genre littéraire:Voyage/exploration
Numéro du livre:71952
Résumé: Tout chemin ne conduit pas en Perse. Les augures consultés furent d’avis différents. Deux voies étaient ouvertes ou, pour mieux dire, fermées. L’une traversait le Caucase, passait au pied de l’Ararat et desservait la grande ville de Tauris ; nos agents diplomatiques la parcouraient assez souvent pour qu’elle fût bien connue au ministère des Affaires étrangères. Mais le pays était en pleine insurrection, les Kurdes sauvages mettaient tout à feu et à sang et dépouillaient ou massacraient impitoyablement les voyageurs...
Durée:5h. 30min.
Genre littéraire:Voyage/exploration
Numéro du livre:71953
Résumé: Cette partie couvre les 3 derniers mois de voyage et d’aventures, des circuits de Bagdad à Babylone puis à Kerbala, Amara et enfin, Bassora, pour reprendre un bateau vers l’Europe. Encore des milliers de kilomètres parcourus à cheval. Les accès de fièvre sont de plus en plus fréquents et Jane perd parfois son humour face aux fonctionnaires tatillons et corrompus de l’empire ottoman. Mais les replis identitaires et les affirmations d’une supériorité occidentale ressentie dans ce contexte n’empêchent pas Jane de poursuivre ses recherches et de nous décrire avec beaucoup de vie les rouages d’une société bagdadienne et villageoise où percent, malgré sa conclusion désabusée, son intérêt pour cette société moyen-orientale qu’elle a appris à si bien connaître.