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Femmes puissantes: 02

Résumé
La journaliste donne la parole à des femmes célèbres qui évoquent la manière dont elles ont bravé les stéréotypes pour accomplir leur destin : l'actrice Marion Cotillard, la femme politique Arlette Laguiller, la maire de Paris Anne Hidalgo ou la colonelle Karine Lejeune. Entretiens issus de l'émission de France Inter.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Mots-clés: Féminisme
Durée: 6h. 54min.
Édition: Paris, Les Arènes :, 2021
Numéro du livre: 72617
ISBN: 9791037505231
CDU: 301

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Durée:6h. 44min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:13059
Résumé: Lors des commémorations du bi-centenaire du canton de Vaud en 2003, les féministes vaudoises ont décidé que les femmes ne seraient pas, une fois de plus, les oubliées de l'histoire. Elles ont lancé le projet «20 femmes 1803-2003» dans le but de faire connaître et fêter des femmes de milieux différents, ayant vécu et exercé leur activité au cours des deux derniers siècles en région vaudoise. Des plaques commémoratives ont été posées dans une dizaine de communes lors de fêtes chaleureuses. Enfin un livre, un joli objet en plus, été édité dans lequel les deux historiennes présentent en quelques pages illustrées la vie de ces vingt femmes. Bien évidemment le choix est arbitraire, car des centaines de femmes auraient mérité d'être tirées de l'oubli, mais les auteures l'ont voulu représentatif des divers secteurs d'activités (arts, littérature, science, usine) et classes sociales. Et l'on découvre une richesse extraordinaire parmi ces parcours de femmes. On ne demande qu'à les approfondir! La démarche devrait être reprise par d'autres cantons, voire par des communes. Genève annonce d'ailleurs une prochaine publication sur ses pionnières et un livre historique sur les héroïnes genevoises prend forme. Rosalie de Constant (1758-1834), Jeanne Huc-Mazelet (1765-1852), Caroline Olivier-Ruchet (1803-1879), Valérie de Gasparin-Boissier (1813-1894), Clémence Royer (1830-1902), Marthe Guignard-Berche (1864-1948), Hélène de Mandrot-Revilliod (1867-1948), Lucy Dutoit (1868-1937), Nora Gross (1871-1929), Alice Bailly (1872-1938), Hélène Monastier (1882-1976), Cécile Biéler-Butticaz (1184-1966), Gertrude Fehr-Fuld (1895-1996), Germaine Guex (1904-1984), Maeleine Lamouille-Pillonel (1907-1993), Charlotte Muret-Haët (1911-1979), Anne-Marie Gründer (1918-1996), Gisèle Ansorge-Dietrich (1923-1993), Marie-Claude Leburgue (1928-1999), ainsi qu'un chapitre sur les ouvrières en lutte au tournat du siècle: les cigarières de la fabrique Vautier à Yverdon (mai 1907)
Durée:16h. 53min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:65715
Résumé: Qui a tué Georges Bassarabo ? En août 1920, la police a découvert son cadavre dans une malle expédiée par le train. Sa femme est arrêtée. Née Louise Grouès, tante de l'Abbé Pierre, elle était connue comme militante féministe, fondatrice d'une revue, auteure d'une oeuvre littéraire abondante, sous le nom d'Héra Mirtel. Etait-ce un crime passionnel. ? Un crime d'intérêt, lié aux affaires troubles de la victime ? Le passage à l'acte d'une féministe radicale ? Les enquêteurs, les journalistes, les écrivains, se sont interrogés sur la personnalité et les mobiles de la suspecte, vite caricaturée en " amazone rouge ", en " bas-bleu-sanglant ", en " muse de pourpre ". Avait-elle eu des complices ? Quel rôle sa fille avait-elle joué ? Son premier mari, en 1914, s'était-il vraiment suicidé ? Le procès de Mme Bassarabo et de sa fille, riche en coups de théâtre, fut suivi passionnément par l'opinion, sans dissiper toutes les zones d'ombre. Dans son enquête appuyée sur des archives inédites, Michel. Leroy tente de dénouer les fils de cette ténébreuse affaire et d'éclairer l'étrange profil de Mme Bassarabo. Il décrit la descente aux enfers, du couvent à la prison, entre France et Mexique, à travers les cercles féministes, les journaux, les salons et les théâtres, d'une femme rebelle, qui voulut vivre, écrire et penser contre la société patriarcale de son temps.
Durée:13h. 7min.
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Durée:8h. 17min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:18947
Résumé: "Dans le monde occidental aujourd'hui, aucune femme ne peut prétendre avoir mené son existence à l'abri de cette propagande, qui fait de nous toutes, à des degrés variables et selon notre âge, notre milieu social et notre métier, avec notre coopération enthousiaste ou à notre corps défendant, des reflets dans un œil d'homme... Nous incarnons bien moins que nous ne le pensons, dans notre arrogance naturelle et candide, la femme libre et libérée." Dans cet ouvrage qui emprunte sa tonalité au roman mais qui a la rigueur d'un essai, Nancy Huston convoque sa propre expérience comme celle d'artistes qui l'entourent pour analyser avec beaucoup de finesse toutes les influences qui, sournoisement comme au grand jour, façonnent la femme contemporaine.
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Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:69583
Résumé: «Ce livre raconte une rencontre, annoncée, tout au long de la vie, par divers signes énigmatiques. Le plus explicite m’est venu de mon professeur de troisième, Renée Guilloux. À ses élèves adolescentes elle recommandait chaleureusement la fréquentation d’une romancière anglaise, George Eliot, et de ses héroïnes. J’ai mis longtemps à transformer ce conseil en livre. Celui-ci n’est pas une biographie. Mais une promenade dans la forêt des romans, en compagnie d’une femme supérieurement intelligente, assez brave aussi pour affronter, dans la société victorienne, l’ostracisme social que lui vaut sa liberté de mœurs et d’esprit. En gardant, présente à la mémoire, celle qui avait emprunté des chemins parallèles : une George encore, Sand, à laquelle Eliot vouait une affection passionnée. Ce voyage buissonnier m’a réservé la surprise de retrouver les questions qui font toujours le vif de nos débats du jour : Que dit la morale dans un monde déserté par l’intervention divine? Comment, entre appartenances et liberté, se construit une identité? Et peut-on, quand on est une femme, à la fois revendiquer l’égalité et chérir la dissemblance? Ce sont de grandes interrogations. La merveille est qu’en cheminant avec l’autre George, elles n’ont plus rien d’intimidant. Elles portent des noms, elles ont des visages. Elles font entendre des voix, et celles-ci, toutes discordantes qu’elles puissent être, aident à mieux déchiffrer la vie.»
Lu par:Agnès Hatt
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Presque exclusivement composé de conversations entre femmes ou de monologues, sur des sujets allant de l'amour à l'infidélité, en passant par le désir, la maternité, l'art ou encore le féminisme, ce roman parcourt vingt ans de la vie d'une jeune fille devenue mère et avide d'expériences, qui se montre déterminée à bouleverser son existence. Premier roman.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Henrietta Olyphant, 70 ans et veuve depuis peu, accepte, pour raisons financières, qu'un essai féministe qu'elle avait publié dans sa jeunesse soit réédité. Oona, sa fille, séparée de son mari auquel elle reproche de ne pas vouloir grandir, s'installe chez elle. Au même moment, Lydia, la fille d'Oona, fait face à la circulation d'une photographie d'elle dénudée dans son école.
Lu par:Sylvie Marsac
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Résumé: Un pas en avant, deux pas en arrière. Constat peu glorieux ? "Fausse route" d'Élisabeth Badinter dresse un état des lieux des luttes féministes. Rappelant que la différence des sexes est un fait qui ne doit pas prédestiner aux rôles et aux fonctions, Élisabeth Badinter pointe, dénonce parfois, les contradictions d'un féminisme "obsédé par la problématique identitaire". Et l'auteur de poser la question : quels sont les réels progrès réalisés depuis quinze ans ? À étudier de près les phénomènes sociaux et comportementaux durant les deux dernières décennies, aussi bien dans le monde oriental que dans le monde occidental, on prend conscience de la pérennité d'une guerre des sexes, doublée d'une renaissance des stéréotypes sexuels. Au-delà de ce constat, Élisabeth Badinter décrypte la tendance insidieuse d'un nouveau féminisme qui a retrouvé les accents moralisateurs du judéo-christianisme, voire la naissance d'une "bien-pensance féminine" ou - pire - une dérive d'un féminisme guerrier. Qu'on ne se trompe pas : la guerre des sexes a toujours lieu. Élisabeth Badinter rappelle que "l'indifférenciation des sexes n'est pas celle des identités. C'est au contraire la condition de leur multiplicité et de notre liberté".