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Corentine

Résumé
L'ancienne ministre évoque le souvenir de sa grand-mère, petite fille pauvre placée chez un riche propriétaire puis employée à Paris comme domestique. Après des années d'humiliations et de mépris, elle rencontre un homme qui va l'aider à se battre pour changer son destin.
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 4h. 44min.
Édition: Paris, Plon, 2019
Numéro du livre: 67381
ISBN: 9782259260008
Collection(s): Récit

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Lu par:Marie Lourizi
Durée:5h. 6min.
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Numéro du livre:15478
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Genre littéraire:Biographie/témoignage
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Lu par:André Rocher
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Numéro du livre:75756
Résumé: "Rue de la Justice" , telle fut la dernière adresse d'une de mes arrière-grands-mères, laveuse sur un bateau-lavoir dans une petite ville des bords de Loire. Née en 1863, elle avait un peu plus de vingt ans à la mort de Victor Hugo et toute sa vie conserva sur sa cheminée une gravure des obsèques nationales du poète. Symbole de la confiance des gens d'en bas en la toute jeune république, dont ils attendent justice, progrès, instruction. Revenant sur ma terre d'origine, l'Anjou, j'ai donc tenté de retracer le cadre de leur vie, d'évoquer leur difficile existence de travail, le poids de l'Eglise et des châteaux, leur foi dans le progrès scientifique et technique. Mais aussi de faire entendre, les soutenant, les accompagnant, les voix de Victor Hugo, de Louise Michel, et celles des républicains et républicaines d'une province qui l'était si peu. Avec en fond de décor, un paysage, le bocage de la "Vendée angevine" , la vallée de la Loire, la rumeur et les colères du grand fleuve. Cette confiance en la république pourrait-elle renaître aujourd'hui ? En 2018, il m'a semblé entendre chez les Gilets jaunes quelque chose des très anciennes revendications dont étaient porteurs mes ancêtres, journaliers agricoles, vignerons, artisans, tous ceux que Gracchus Babeuf nommait "les impropriétaires" . Egalité, justice, reconnaissance. Faisant retour vers ce petit peuple disparu avec ses modestes et farouches espoirs, attentive à sa leçon, émue par son courage quotidien, je me disais : ce passé-là a de l'avenir. D. S.
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Résumé: Depuis peu, les militants de la cause woke défrayent la chronique en raison des actions qu’ils mènent dans les universités pour y interdire toute forme de pensée considérée comme attentatoire aux principes qu’ils défendent. Dans les débats en cours, un point essentiel est passé inaperçu. Avocats et adversaires du wokisme partagent un même mot d’ordre. Il faut, affirment-ils tous, « reconstruire » après avoir « déconstruit ». Le projet est le même auquel étrangement souscrivent deux camps que, pourtant, tout distingue. En ce sens, le wokisme et l’antiwokisme se caractérisent pareillement par leur opposition à l’idée de déconstruction. Encore faudrait-il savoir ce que le mot signifie et se donner ainsi une chance de comprendre l’étrange « reconstructionnisme » qui prévaut aujourd’hui et dont la logique conduit fatalement à l’affrontement de deux identitarismes adverses. Car il importe moins, contre l’opinion unanime, de reconstruire enfin ce qui avait été hier déconstruit que de déconstruire encore ce qui prétend se reconstruire aujourd’hui. Selon une leçon que la littérature nous prodigue aussi, essentiellement réfractaire au diktat et aux simplifications d’un certain discours militant.
Lu par:Jean Frey
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Résumé: « Il faut en finir avec les visions stéréotypées de Mai 68, qui vont à coup sûr nourrir les célébrations comme les vitupérations, les nostalgies comme les procès de ce mois symbolique à l’occasion de son cinquantenaire. Au fond, en Mai 68, ce qui nous animait, ce qui nous enthousiasmait, était la conviction qu’il fallait en finir avec les places sociales, que le renversement de l’impitoyable, de la sordide hiérarchie des fortunes, des libertés et des pouvoirs était politiquement possible, à travers un type inédit de prise de parole et la recherche tâtonnante de formes d’organisation adéquates à la nouveauté de l’événement. Si nous portons toutes les leçons de Mai 68 au cœur du monde vivant, nous pourrons, oui, mais seulement sous ces conditions, redire et suivre l’appel de Mao : “On a raison de se révolter.” »
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Résumé: Dans ce livre, 17 jeunes chercheurs en sciences politiques ou sociales ont choisi de répondre à 15 questions qui fâchent ou que tout le monde se pose : les étrangers volent-il notre travail ? Les citoyens sont-ils trop bêtes pour voter ? Peut-on tout dire au nom de la liberté d'expression ? En utilisant des outils scientifiques, mais les rendant accessibles au grand public, les auteurs ont eu à coeur de proposer une réflexion exigeante mais claire qui permet d'aborder de manière sérieuse des questions qui ne cessent de revenir dans le débat citoyen. Un livre audacieux et stimulant, illustré par le célèbre dessinateur Mix & Remix.
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Résumé: "La nation rassemblée et l'état d'urgence décrété, nous vivons un moment souverainiste. Mais à quel prix, et sous quelles conditions, pouvons-nous vivre ensemble ? Cette question fait clivage. Le souverainisme est ce nouveau spectre qui hante le monde. Rien de plus normal pourtant, car la question de la souveraineté est fondatrice de la démocratie. Elle fonde la communauté politique, ce que l'on appelle le peuple, et définit un ordre politique. Partout en Europe et dans le monde s'exprime la volonté populaire de retrouver sa souveraineté. Que ce soit face aux incohérences de l'Union européenne sur la crise des réfugiés, ou face aux questions suscitées par le déni de la souveraineté grecque des institutions de la zone Euro, la souveraineté est la question d'aujourd'hui. Si elle a pris une place centrale dans le débat, c'est bien parce qu'elle touche à quelque chose d'essentiel : la liberté. Celle de faire et de décider, en son propre nom comme de manière collective. Mais qui dit souveraineté dit aussi peuple et laïcité. Aujourd'hui plus que jamais, il est impératif de rejeter les définitions du peuple fondées sur l'ethnie ou la religion, et d'affirmer la nature historique et politique de cette notion. Faire disparaître du champ politique le principe de souveraineté ne peut se justifier que par une volonté de faire disparaître aussi le principe de démocratie. Il ne faut alors pas s'étonner de ce que la société glisse vers l'anomie et la guerre de "tous contre tous"." J.S. Un essai de sciences politiques pour nous aider à penser la société et reconstruire le lien républicain.
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Résumé: En une vingtaine de chapitres, L.-B. Robitaille, correspondant d'un grand quotidien nord-américain, dresse le portrait du Parisien et de sa ville. Sur un ton humoristique, il évoque, entre autres, les artistes, écrivains, personnalités politiques, serveurs, coursiers croisés au cours de ces dernières décennies.
Lu par:Manon
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Résumé: Le courage d'aimer la vie, d'aimer les autres, de s'aimer soi-même : voilà de quoi nous parle ici la romancière Janine Boissard, en qui se reconnaît un immense public. Faut-il céder à l'illusion de l'amour, sans amour ? Rester indifférent devant les enfants du divorce ? Laisser se répandre autour de nous les poisons du racisme, de la drogue, de la violence ? Capituler, démissionner devant les désarrois de la jeunesse ? A ceux et celles qui traversent ce livre, à la recherche du sens de leur vie, Janine Boissard répond simplement, sincèrement, par ces "cris du coeur" - cris de colère parfois, mais surtout cris d'amour et d'espoir.
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Genre littéraire:Société/économie/politique
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