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Moxie

Résumé
Moxie : désigne le caractère audacieux d'une personne prête à défendre ses convictions envers et contre tous. Vivia Carter, 16 ans, en a marre. Marre que l'équipe de foot de son lycée se croie tout permis. Marre qu'on impose des règles vestimentaires aux filles, mais jamais aux garçons. marre du sexisme dans les couloirs du bahut et des profs qui ferment les yeux. Plus que tout, Vivian en a marre qu'on lui dise qui elle doit être. Vivian Carter dit STOP. Et si toutes les filles se rassemblaient pour qu'enfin sonne l'heure de la révolution ?
Durée: 7h. 14min.
Édition: Toulouse, Milan jeunesse, 2019
Numéro du livre: 65829
ISBN: 9782745995049

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Lu par:Sylvie Marsac
Durée:4h. 23min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:12808
Résumé: Un pas en avant, deux pas en arrière. Constat peu glorieux ? "Fausse route" d'Élisabeth Badinter dresse un état des lieux des luttes féministes. Rappelant que la différence des sexes est un fait qui ne doit pas prédestiner aux rôles et aux fonctions, Élisabeth Badinter pointe, dénonce parfois, les contradictions d'un féminisme "obsédé par la problématique identitaire". Et l'auteur de poser la question : quels sont les réels progrès réalisés depuis quinze ans ? À étudier de près les phénomènes sociaux et comportementaux durant les deux dernières décennies, aussi bien dans le monde oriental que dans le monde occidental, on prend conscience de la pérennité d'une guerre des sexes, doublée d'une renaissance des stéréotypes sexuels. Au-delà de ce constat, Élisabeth Badinter décrypte la tendance insidieuse d'un nouveau féminisme qui a retrouvé les accents moralisateurs du judéo-christianisme, voire la naissance d'une "bien-pensance féminine" ou - pire - une dérive d'un féminisme guerrier. Qu'on ne se trompe pas : la guerre des sexes a toujours lieu. Élisabeth Badinter rappelle que "l'indifférenciation des sexes n'est pas celle des identités. C'est au contraire la condition de leur multiplicité et de notre liberté".
Lu par:Rita Petrelli
Durée:6h. 21min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:72410
Résumé: Un essai sur la condition féminine dans lequel l'auteure évoque les relations hommes-femmes, le féminisme ou la sexualité en convoquant des figures telles que Astrid Lindgren, Françoise Vergès, les anonymes du Queer Manifesto, Agnès Desarthes et Virginia Woolf, entre autres.
Durée:1h. 43min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:68557
Résumé: Quin est licencié de la maison d’édition new-yorkaise où il travaille depuis de longues années. Il est accusé par plusieurs femmes de conduite « inappropriée ». Pourtant, il peine à comprendre ce qu’on lui reproche. Margot est sa meilleure amie. Si elle approuve la punition infligée à Quin, elle ne peut s’empêcher d’y voir une sorte d’injustice. Au fond, que désirons-nous vraiment, et pourquoi ? Qu’est-ce que le consentement ? Dans ce récit percutant à deux voix, c’est toute l’ambiguïté de nos comportements qui se révèle, cette zone grise à laquelle seuls les écrivains ont accès. Car rien ne les oblige, eux, à juger leurs personnages.
Durée:10h. 5min.
Genre littéraire:Science-fiction
Numéro du livre:70973
Résumé: Celles qui survivront ne seront plus jamais les mêmes. « Personne ne parle de l’année de grâce. C’est interdit. Nous aurions soi-disant le pouvoir d’attirer les hommes et de rendre les épouses folles de jalousie. Notre peau dégagerait l’essence pure de la jeune fille, de la femme en devenir. C’est pourquoi nous sommes bannies l’année de nos seize ans : notre magie doit se dissiper dans la nature afin que nous puissions réintégrer la communauté. Pourtant, je ne me sens pas magique. Ni puissante. » Un an d’exil en forêt. Un an d’épreuves. On ne revient pas indemne de l’année de grâce. Si on en revient.
Durée:9h. 21min.
Genre littéraire:Littérature érotique
Numéro du livre:65019
Résumé: Monique Lerbier est heureuse : elle épousera bientôt l'homme qu'elle aime. Un soir, pourtant, elle le surprend en compagnie de sa maîtresse. Humiliée, elle se venge avec le premier venu, puis, au lieu de rentrer dans le rang comme ses parents le lui intiment, elle décide de prendre en main son destin et ses amours. Avec gourmandise, curieuse de tout, Monique va alors multiplier les expériences émancipatrices, avec des femmes comme avec les hommes qu'elle ravale au rang de simples reproducteurs ou de "belles machines à plaisir"... Si les femmes ont commencé à se couper les cheveux "à la garçonne", c'est grâce à ce roman de 1922 qui fut le plus grand best-seller des Années folles. L'énorme scandale qu'il déclencha valut également à Victor Margueritte (1866-1942) d'être radié de la Légion d'honneur.
Durée:2h. 52min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:38597
Résumé: Une femme se souvient de tout ce que les hommes lui ont dit ou fait dans la rue tout au long de sa vie de petite fille, jeune fille et femme ; des cailloux jetés dans les roues de son vélo de petite fille à des mots beaucoup plus crus qu’un inconnu surgi de l’ombre a lancés contre elle et sa robe d’été. Certains de ces hommes l’ont suivie, d’autres n’ont fait que la frôler. Leurs mots étaient tantôt offensants, tantôt romanesques ou drôles, voire incongrus. Comme ceux de ce ’harceleur’ attachant, P’tit Pau, un simple d’esprit de son village natal... Confrontant son expérience à celles des autres, voisines, amies - personnages de femmes souvent très libres dans leurs paroles et leur corps -, elle mène l’enquête sur ce qu’est devenu l’espace public aujourd’hui, où écouteurs, casques et oreillettes entravent la rencontre fortuite et furtive. Renouant avec l’écriture du corps et des sensations, Fabienne Jacob tisse en creux, dans le cadre d’un débat d’actualité qui fait rage, un éloge de la rue joyeuse, vivier foisonnant et insondable, terrain de prédilection du jeu et du hasard.
Durée:3h. 20min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
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Résumé: ... Récit intime et militant d'une femme née avec la révolution sexuelle à la fin des années soixante. Punkette violée à l'âge de 17 ans par trois banlieusards qui la prennent en stop, prostituée occasionnelle sélectionnant ses clients sur Minitel deux ans plus tard, réalisatrice de 'Baise-moi' qui connut les détracteurs et les censeurs que l'on sait, Virginie Despentes raconte pour la première fois, avec pudeur et véhémence, comment elle est devenue Virginie Despentes et conteste les discours bien-pensants sur le viol, la prostitution et la pornographie.
Durée:2h. 28min.
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Numéro du livre:39318
Résumé: Dans son quartier de banlieue, Momo traîne avec sa bande en bas des tours et dans les halls tagués. Sa seule lueur d'espoir, c'est la belle Pénélope qu'il regarde passer et qui lui donne des envies d'odyssée. Mais Momo a la haine : il ne supporte plus Amédée, dit Yoda, ce vieillard arrogant qui ne craint rien ni personne. Le caïd a décidé de lui faire payer le prix de son audace. Car aux Lilas, c'est Momo qui dicte la loi...
Durée:7h. 21min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:69346
Résumé: « Les violences patriarcales sont le produit d’un système de croyances dans lequel les hommes doivent dominer. La masculinité est partout liée au pouvoir et au contrôle ; les garçons l’apprennent dans leurs familles, par les médias, leurs copains, les jeux, le sport. Et tout en apprenant qu’il faut être fort et puissant, ils apprennent aussi que ce qui est féminin vaut moins que ce qui est masculin. » « On ne naît pas homme, on le devient. » C’est en partant de ce postulat que Valérie Rey-Robert analyse la construction du genre. Selon elle, le principal problème des violences faites aux femmes est la virilité. Elle nous invite à nous questionner sur la socialisation des garçons et des filles, sur la masculinité et sa violence inhérente, sur nos stéréotypes de genre. Il appartient de déviriliser nos sociétés, pour que les hommes cessent de tuer leurs compagnes et leurs enfants, qu’ils cessent de se tuer entre eux, qu’ils cessent de s’automutiler. Ceci ne pourra passer que par un grand travail de prise de conscience et d’éducation. Une problématique qui nous engage toutes et tous.
Durée:10h. 36min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:76203
Résumé: "A mesure que je lis tous les documents que je réussis à retrouver, je commence à voir apparaître leur silhouette, les phrases qu'elles ont lancées aux flics, aux juges... Chaque fois je me demande si celle qui est décrite, celle qui parle, qui rit, qui injurie, qui chante, celle qui a les mains en sang et les vêtements déchirés, est la femme que je cherche". Voleuses, fugueuse, vagabondes, de petites vertus, les filles de la prison de Fresnes se mutinent. Le 6 mai 1947, elles défoncent des portes, brisent des carreaux, pillent l'économat, s'empiffrent de chocolat et de confiture, escaladent le mur de la prison et finissent par en occuper le toit. Pendant des heures, elles tiendront bon. Les prisonniers masculins, derrière leurs barreaux, les acclameront. Il faudra cent vingt policiers pour les déloger. Les journaux s'en emparent un temps, qualifiant l'événement d' "hystérie collective" , et, après une nouvelle condamnation, les révoltées retourneront à l'obscurité de leurs cachots. Vies d'anonymes diablesses, semeuses de troubles sans voix, la postérité les oublie. Jusqu'au jour où Serge Valère, un avocat médiatique comme le XXIe siècle en façonne, décide de démêler les fils de ses origines. Lui qui ne connaît pas son père, engage la généalogiste, Elvire Horta, pour retrouver sa mère Madeleine qui l'a abandonné. Elle apprend que celle-ci est une des mutinées de Fresnes. 1947 rencontre alors notre époque. Madeleine rencontre Elvire. Les filles perdues, celles d'aujourd'hui. Avec force et passion, Dorothée Janin fait surgir la violence, la révolte et la liberté fugace de ces femmes qui n'existaient plus. Porté par une écriture frontale, à la manière du Journal d'un voleur, La révolte des filles perdues interroge notre mécanique sociale et nos obsessions.
Durée:6h. 44min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:13059
Résumé: Lors des commémorations du bi-centenaire du canton de Vaud en 2003, les féministes vaudoises ont décidé que les femmes ne seraient pas, une fois de plus, les oubliées de l'histoire. Elles ont lancé le projet «20 femmes 1803-2003» dans le but de faire connaître et fêter des femmes de milieux différents, ayant vécu et exercé leur activité au cours des deux derniers siècles en région vaudoise. Des plaques commémoratives ont été posées dans une dizaine de communes lors de fêtes chaleureuses. Enfin un livre, un joli objet en plus, été édité dans lequel les deux historiennes présentent en quelques pages illustrées la vie de ces vingt femmes. Bien évidemment le choix est arbitraire, car des centaines de femmes auraient mérité d'être tirées de l'oubli, mais les auteures l'ont voulu représentatif des divers secteurs d'activités (arts, littérature, science, usine) et classes sociales. Et l'on découvre une richesse extraordinaire parmi ces parcours de femmes. On ne demande qu'à les approfondir! La démarche devrait être reprise par d'autres cantons, voire par des communes. Genève annonce d'ailleurs une prochaine publication sur ses pionnières et un livre historique sur les héroïnes genevoises prend forme. Rosalie de Constant (1758-1834), Jeanne Huc-Mazelet (1765-1852), Caroline Olivier-Ruchet (1803-1879), Valérie de Gasparin-Boissier (1813-1894), Clémence Royer (1830-1902), Marthe Guignard-Berche (1864-1948), Hélène de Mandrot-Revilliod (1867-1948), Lucy Dutoit (1868-1937), Nora Gross (1871-1929), Alice Bailly (1872-1938), Hélène Monastier (1882-1976), Cécile Biéler-Butticaz (1184-1966), Gertrude Fehr-Fuld (1895-1996), Germaine Guex (1904-1984), Maeleine Lamouille-Pillonel (1907-1993), Charlotte Muret-Haët (1911-1979), Anne-Marie Gründer (1918-1996), Gisèle Ansorge-Dietrich (1923-1993), Marie-Claude Leburgue (1928-1999), ainsi qu'un chapitre sur les ouvrières en lutte au tournat du siècle: les cigarières de la fabrique Vautier à Yverdon (mai 1907)
Lu par:Eline Roess
Durée:10h. 50min.
Genre littéraire:Science-fiction
Numéro du livre:68060
Résumé: Personne ne sait exactement comment ça a commencé. Ni où ni quand d'ailleurs. Louise pas plus que les autres. Ce qui est sûr, c'est quand les premiers cas sont apparus, personne n'était prêt et ça a été la panique. Des adolescentes qui changeaient d'un coup. Des filles dont la peau se recouvrait de... dont les sens étaient plus... et les capacités... Inimaginable... Cela n'a pas plu à tout le monde. Oh non ! C'est alors qu'elles ont dû se révolter, être des Félines fières et ne rien lâcher !