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L'absence: conte

Résumé
Quatre personnages, une femme, un joueur, un soldat, un vieillard. Une étrange déambulation dans des paysages campagnards, entre rêve et réalité. Roman initiatique, d'accès difficile, et métaphysique. Voyage initiatique à travers les continents de quatre personnages guidés par un vieil homme. Chacun va rencontrer l'autre et ces autres vont former un groupe qui va se mouvoir, comme une expédition, fuyant ce qui l'a poussé à partir.
Durée: 4h. 21min.
Édition: Paris, Gallimard, 1991
Numéro du livre: 5711
ISBN: 9782070720521
Collection(s): Du monde entier

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Durée:4h. 14min.
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Numéro du livre:20237
Résumé: Quatrième tome de l'autobiographie de l'auteur. Cette fois, monsieur Bernhard, âgé de dix-huit ans est hospitalisé dans l'établissement pour poitrinaires Grafenhof. Il passe le temps en observant les autres malades et en réfléchissant à ses origines obscures. En effet, il n'a jamais connu son père et lorsqu'il ose aborder le sujet avec sa mère, il se heurte à une hostilité sourde et tenace. Son grand-père lui manque cruellement et bientôt, il devra affronter la perte d'un autre être cher en la personne de sa mère qui se meurt d'un cancer. Son état de santé est inquiétant et il doit subir un pneumopéritoine, intervention toute nouvelle à l'époque. Son univers se réduit donc à sa chambre de malade qu'il partage avec différentes personnes auxquelles il s'attache mais qui lui sont enlevées soit par une guérison miraculeuse ou bien une mort affreuse. Le jeune homme se sent de plus en plus seul au monde et son moral vacille. Il décide pourtant de se battre et de s'accrocher à ce qui lui reste de vie malgré toutes les épreuves et les perspectives d'avenir plutôt minces. Sa carrière de chanteur est sérieusement compromise et son certificat de commis d'épicerie ne lui est d'aucune utilité car qui va engager un poitrinaire pour servir la clientèle ? Il découvre « Les démons » de Dostoïevski ainsi que d'autres livres qui lui permettent de tenir le coup.
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Résumé: Après L'origine et La cave, ce troisième volet de l'autobiographie de Thomas Bernhard marque une étape décisive : la maladie l'ayant obligé à renoncer à sa carrière de chanteur, il se tournera désormais vers la littérature, avec cette passion qu'il met à devenir, envers et contre tout, lui-même.
Lu par:Jean Frey
Durée:4h. 53min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Salzbourg, c'est la beauté. l'art, la culture. C'est aussi une ville au climat pourri, peuplée de bourgeois bornés, mesquins, matérialistes, hypocrites. une ville haïe de l'auteur qui y est né, qui ne peut jamais y retourner sans se sentir de nouveau accablé par l'atmosphère qui s'en dégage. où tout être sensible se sent condamné à tous les abandons et parfois au suicide. C'est l'idée du suicide qui obsédait le collégien lorsque. dans le cagibi à chaussures de l'internat où l'avait placé son grand-père, il étudiait le violon. Internat dirigé par un nazi. selon des méthodes éprouvées. guère différentes de celles des bons catholiques qui le remplacèrent après la défaite. Entre-temps il y a eu la guerre et les bombardements avec leurs visions d'horreurs. Premier volume autobiographique de Thomas Bernhard, L'origine nous plonge dans l'enfer quotidien de l'internat dans lequel il a passé son adolescence. D'abord tenu par les nazis, il est reconverti en établissement catholique, après la chute du III Reich. mais les méthodes restent les mêmes...
Lu par:Jean Frey
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: «Partir dans la direction opposée» à celle qu'il a prise, comme chaque jour pour se rendre au lycée, voilà ce que décide soudain Thomas Bernhard à quinze ans. Ce demi-tour décidera de toute sa vie. Il ne le regrettera jamais. Pourtant les conditions sont dures dans la cave de M. Podlaha, le magasin d'alimentation où il a trouvé une place d'apprenti. Aucun travail ne le rebute. Et quelle clientèle ! Dans ce quartier que la ville tient à l'écart, c'est la misère, l'ivrognerie, le crime, le suicide.Dans ce style bien particulier où la répétition de mots, de groupes de mots, développe comme un thème musical une pensée à la fois obsédée et obsédante, Thomas Bernhard raconte son adolescence, les siens, entassés à neuf dans trois pièces, et son goût pour la musique.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Né discrètement en Hollande où sa mère va cacher un accouchement hors mariage, Thomas Bernhard est bientôt recueilli par ses grands-parents qui vivent à Vienne. La crise économique des années trente les force à s'établir dans un village aux environs de Salzbourg où l'enfant découvre avec ravissement la vie campagnarde. Le grand-père, vieil anarchiste, doit aller s'installer à Traunstein, en Bavière. Le jeune Thomas se familiarise avec le monde de la petite ville, commence à s'émanciper, fait l'école buissonnière et ses premières escapades à vélo. Il découvre aussi le national-socialisme et la guerre aérienne.«Le monde enchanté de l'enfance» n'est pas celui pourtant du petit Thomas. Persécuté par ses maîtres, souffrant du complexe de l'immigré et du pauvre, il a plusieurs fois la tentation du suicide, tentation qui plus tard hantera aussi l'adolescent et le jeune homme.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Victor, jeune orphelin, quitte sa famille nourricière pour aller rejoindre en ville le poste qu'on lui a confié. Mais auparavant il doit se rendre à pied chez son oncle paternel qu'il ne connaît pas et qui habite une île fortifiée au milieu d'un lac bordé de montagnes. Entre ces deux êtres que tout aurait du rapprocher et que tout éloigne, le miracle pourtant se produira et de leurs solitudes jailliront la tendresse et l'amour, de l'irréversible naîtra l'harmonie du recommencement. C'est à partir de la lecture de L'Homme sans postérité que Peter Handke écrivit sa célèbre pièce Les gens déraisonnables sont en voie de disparition.
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Lu par:Simon Corthay
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Résumé: En cette année 1966, Robert Simon, un de ces héros ordinaires que Robert Seethaler affectionne, décide de prendre un nouveau départ, la trentaine venue. Employé journalier au marché des Carmélites, dans un faubourg populaire de Vienne, il réalise son vieux rêve et redonne vie au café laissé à l’abandon devant lequel il passe chaque jour. Vingt ans après la fin de la Deuxième guerre mondiale, la ville se remet peu à peu, l’économie redémarre et partout surgissent des décombres de nouveaux immeubles et des logements ouvriers. Robert se laisse gagner par l’effervescence et c’est avec un sentiment d’exaltation qu’il remet à neuf ce lieu dont il prend la gérance. Il trouverait prétentieux de lui donner son propre patronyme, comme le lui suggère le boucher du marché : ce sera donc le « Café sans nom », où se retrouvent les habitants du quartier, les commerçants, et où chacun amène sa propre histoire, sa nostalgie et l’espoir de voir advenir enfin un monde meilleur.
Durée:11h. 13min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Christine, dont le père et le frère sont décédés, occupe une modeste place d'employée des postes dans un bureau de Vienne. La médiocrité de sa vie, ses évolutions improbables, son manque d'argent, la poussent à accepter avec quelque enthousiasme l'invitation impromptue d'une de ses riches tantes à séjourner en Suisse. L'ivresse de la métamorphose auprès de ces riches bourgeois est de courte durée et Christine retrouve à Vienne sa vie modeste. Elle y rencontre Ferdinand, chômeur en colère et désillusionné qui considère l'Autriche comme sa débitrice : il lui a sacrifié sa jeunesse, sa fortune, sa famille, ses études. Les deux jeunes gens se reconnaissent dans leur haine et leurs regrets. Le suicide ou le vol leur apparaissent comme les seuls dédommagements possibles de leurs vies perdues.
Lu par:Claude Fissé
Durée:5h. 29min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:17759
Résumé: " Le récit de Notre assassin se déroule tout entier dans un bar parisien où se retrouvent des habitués venus de l'autre bout de l'Europe. Le narrateur, journaliste un peu paumé connaissant bien les pays slaves, y tient aussi ses quartiers. Un des clients, un soir de beuverie, raconte son historie : misère, trahison, errance. Tout l'univers de Joseph Roth (1894-1939) est de cette scintillante noirceur - celle de Satan. On y retrouve la Russie de l'enfance, celle des moujiks écrasés et des princes insolents, celle des mouchards et des folies à la française. On y retrouve le rêve que Roth ne cesse de poursuivre, celui de réussir et de se sauver à la fois... Un ton neuf cependant se dégage de ce récit troublant, plein de rebondissements et d'aventures sombres : Notre assassin est un vrai roman russe " dans les personnages aussi bien que dans le rythme ", écrivait à son propos Stefan Zweig. " (Babelio)
Durée:14h. 36min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:17215
Résumé: Le roman raconte l'histoire de Philipp, qui vient d'hériter de la maison de ses aïeux. On est en 2001. Philipp est désabusé, ne sait que faire de cette masure qui semble l'aspirer, pleine du poids des souvenirs des générations passées. Très vite, il sera question de partir à la rencontre des fantômes qui peuplèrent jadis le lieu. Il y eut Alma et Richard, le couple de grands-parents. Richard était un homme ambitieux qui fréquenta les cercles d'influence et fut même ministre dans le premier gouvernement autrichien d'après-guerre. Quant à sa femme, elle subit la trajectoire imposée par son époux, se réfugiant souvent dans sa passion pour l'apiculture pour éviter les coups d'éclats...
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Au plus fort de la Deuxième Guerre mondiale, dans une ville qui ressemble à Vienne, Ellen, une petite fille d'une douzaine d'années, tente d'obtenir un visa pour rejoindre sa mère réfugiée aux Etats-Unis. Autour d'elle, pour survivre, un groupe d'enfants juifs, ses amis, opposent à leur sort tragique un espoir «plus fort que la mort». Un pied dans chaque monde (sa mère et sa grand-mère sont juives, mais son père ne l'est pas), Ellen tente de faire vivre cet espoir des deux côtés, accompagnant ses amis dans leurs jeux et leurs rêves. Vue par les yeux des enfants, la persécution nazie apparaît dans toute son insondable cruauté ; mais Ellen est aussi celle qui, inlassablement, interroge le monde qui l'entoure, et qui, en plein naufrage, réveille les adultes endormis avec ses questions insistantes, jusqu'aux dernières pages du livre où un «plus grand espoir» lui sera révélé. Son voyage halluciné dans l'hiver et la nuit apparaît alors comme une parabole sur la force des faibles et l'impuissance des forts.