Contenu

Le retour du Bouddha

Résumé
Dans les années 30, à Paris, un étudiant russe sans le sou se lie d'amitié avec un clochard qui devient milliardaire grâce à un héritage inattendu. Le " miracle " ne modifie en rien leur relation, chaque semaine ils se rencontrent dans le luxueux appartement du vieillard... jusqu'au jour où il y est retrouvé assassiné. Le jeune homme, naturellement suspecté, est arrêté... Il ne devra son salut qu'à une statuette du bouddha mystérieusement disparue de la scène du crime. Qu'on la retrouve, et elle révélera l'identité du meurtrier ! Des portraits de la diaspora russe drôles, émouvants, inoubliables, ponctuent cette quête " policière " qui est de toile de fond aux interrogations de l'auteur sur les déchirures de l'exil et les impostures du réel.
Genre littéraire: Policier/épouvante
Durée: 6h. 21min.
Édition: Paris, V. Hamy, 2013
Numéro du livre: 30384
ISBN: 9782878585827
Collection(s): Bis

Documents similaires

Durée:7h. 51min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:74141
Résumé: Le Débutant, c’est le poison parfait : mortel, instantané, et surtout intraçable. Kalitine, le chimiste qui l’a fabriqué dans un institut secret d’Union soviétique, s’est enfui à l’Ouest au moment de l’effondrement du pays. Le roman raconte son enfance dans une ville secrète d’URSS, sa vocation précoce, son initiation auprès d’un oncle puissant et mystérieux, puis les années passées dans un laboratoire clandestin, dissimulé sur une île dans un grand fleuve… Vingt ans plus tard, le lieutenant-colonel Cherchniov reçoit l’ordre d’empoisonner le traître avec son propre produit, et il se lance à sa poursuite. Le roman de Sergueï Lebedev est une enquête haletante dans le monde des espions et des services secrets russes. Dans une prose brillante, l’auteur explore les thèmes éternels de la nature du bien et du mal, des liens entre le créateur et sa créature, et entre la science et la morale.
Durée:8h.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18035
Résumé: Alexis Ivanovitch joue d'abord pour gagner, puis pour étonner, enfin pour espérer. Il n'a pas misé seulement de l'argent mais sa vie elle-même. Ce récit suit comme une ombre la vie de Dostoïevski , durant quinze ans, à Moscou et à Baden-Baden où il se ruina au jeu. Jouer, c'est tenter le diable, c'est aussi tenter Dieu. Alexis a voulu tout risquer, toucher le fond pour connaître la compassion et la grâce divine. Il y a une autre malédiction dans la vie du joueur, une femme-bourreau, Pauline, la belle-soeur du général qu'il sert comme précepteur. C'est dans la vie de l'auteur, Apollinaria, que Dostoïevski aima d'un amour douloureux. Autour d'eux, des êtres malfaisants ou étonnants, dévorés par la passion du gain. Ce court roman, plein de brio, annonce toute l'oeuvre de Dostoïevski . « Demain, demain tout cela finira », dit le joueur qui recommence à jouer éternellement.
Durée:32h. 42min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20123
Résumé: Le prince Mychkine est un être fondamentalement bon, mais sa bonté confine à la naïveté et à l'idiotie, même s'il est capable d'analyses psychologiques très fines. Après avoir passé sa jeunesse en Suisse dans un sanatorium pour soigner son épilepsie (maladie dont était également atteint Dostoïevski), il retourne en Russie pour pénétrer les cercles fermés de la société russe, sans sou ni attache, mais avec son titre de noblesse et un certificat de recommandation en poche. Il se retrouve par hasard mêlé à un projet de mariage concernant Nastassia Filippovna, jeune femme belle, légère et vénale qui fait tourner la tête des cercleux de la ville. Lors de la soirée d'anniversaire de Nastassia Filippovna, le prince Mychkine voit un jeune marchand qu'il a déjà rencontré, Parfione Semionovitch Rogojine, arriver ivre et offrir une forte somme d'argent à la jeune femme pour qu'elle le suive. Le prince perçoit le désespoir de Nastassia Filippovna, en tombe maladivement amoureux, et lui propose de l'épouser. Après avoir accepté son offre, elle s'enfuit pourtant avec Rogojine, car dit-elle elle appartient à la rue. Constatant leur rivalité, Rogojine tente de tuer le prince, mais ce dernier est paradoxalement sauvé par une crise d'épilepsie qui le fait s'écrouler juste avant le meurtre... (wikipedia.org)
Durée:27h. 44min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16567
Résumé: Par manque d'argent Raskolnikov a interrompu ses études. Rêveur solitaire, il rejette la morale collective. Se considérant comme un homme hors du commun, il veut éprouver les limites de sa liberté par la pratique du mal et la transgression arrogante de l'ordre moral. C'est pour cela qu'il considère qu'il est en droit de commettre un délit, et même prendre la vie d'autrui, pour le bien de l'humanité. Désirant secourir sa soeur qui est sur le point d'épouser un rustre pour aider sa famille, il décide d'assassiner une vieille usurière afin de lui voler son pécule. Raskolnikov est conforté dans sa théorie par un « acte d'évasion » de Napoléon « d'une morale commune » : « Si un jour, Napoléon n'avait pas eu le courage de mitrailler une foule désarmée, nul n'aurait fait attention à lui, et il serait demeuré un inconnu. »
Lu par:
Durée:10h. 41min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:24390
Résumé: Publié en 1880, "Les Golovlev" retrace la décadence d'une famille de grands propriétaires terriens dans la Russie du XIXe siècle. Dans ce roman à consonance autobiographique, des personnages rongés par la folie, l'avarice, l'hypocrisie et l'absence de perspectives intellectuelles deviennent peu à peu les agents de leur propre destruction. Cette fresque d'un pessimisme sans remède est considérée comme le chef-d'oeuvre de son auteur et l'un des grands romans de la littérature russe.
Durée:10h. 45min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:24389
Résumé: La Russie au lendemain de l'abolition du servage. Les pères : bienveillants, un peu fatigués, sceptiques, mais convaincus qu'une bonne dose de libéralisme à l'anglaise résoudra les problèmes d'un pays encore médiéval. Les fils : sombres, amers, désespérés avant l'âge, haïssant toute idée de réforme, ne croyant qu'à la négation, au « déblaiement », à la destruction de l'ordre.
Durée:17h. 55min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20508
Résumé: " Et que voulez-vous faire de cet état ? " s'enquit alors Manilov. Cette question parut embarrasser le visiteur... " Vous désirez savoir ce que j'en veux faire ? Voici : je désire acheter des paysans... prononça enfin Tchitchikov qui s'arrêta net. - Permettez-moi de vous demander, dit Manilov, comment vous désirez les acheter : avec ou sans la terre ? - Non, il ne s'agit pas précisément de paysans, répondit Tchitchikov : je voudrais avoir des morts... - Comment ? Excusez... je suis un peu dur d'oreille, j'ai cru entendre un mot étrange. - J'ai l'intention d'acheter des morts... "
Durée:16h. 52min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:20393
Résumé: En 1849. Dostoïevski est condamné au bagne pour ses idées. Déporté au sud-ouest de la Sibérie, dans la forteresse d'Omsk, où il passe cinq ans, il y côtoie des criminels et des hommes du peuple, des voleurs aussi bien que des condamnés politiques. De cette expérience douloureuse, où l'impossibilité d'être seul rivalise en cruauté avec les sévices et le travail forcé, l'auteur tire les Récits de la maison des morts. Dans ce roman largement autobiographique, qu'il fait passer pour des notes retrouvées chez un ancien forçat, Goriantchikov, Dostoïevski déploie une galerie de portraits où sont anticipés les personnages les plus marquants de ses oeuvres majeures. Son humanisme et son sens de l'observation font de ces récits consacrés au système pénitentiaire du temps des tsars un témoignage de première importance sur l'expérience concentrationnaire.
Durée:22h. 35min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21698
Résumé: Ma charmante, mon inoubliable ! Tant que les creux de mes bras se souviendront de toi, tant que tu seras encore sur mon épaule et sur mes lèvres, je serai avec toi. Je mettrai toutes mes larmes dans quelque chose qui soit digne de toi, et qui reste. J'inscrirai ton souvenir dans des images tendres, tendres, tristes à vous fendre le cœur. Je resterai ici jusqu'à ce que ce soit fait. Et ensuite je partirai moi aussi.
Durée:4h. 24min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20812
Résumé: C'est la première œuvre en prose publiée par l'auteur (à part quelques fragments du Nègre de Pierre le Grand), qui s'était consacré jusqu'alors à la poésie. Elle a été écrite à l'automne 1830, dans la propriété familiale de Boldino, où une épidémie de choléra retenait Pouchkine. L'œuvre débute par un avis de l'éditeur (A.P., soit Alexandre Pouchkine), qui présente les nouvelles comme celles d'un gentilhomme campagnard, dénommé Ivan Petrovitch Bielkine. Ce stratagème littéraire assez courant à l'époque a été utilisé pour éviter les critiques de L'Abeille du nord, revue littéraire soutenue occultement par le régime tsariste de Nicolas Ier, que de violentes polémiques avaient opposé à la Gazette littéraire de Pouchkine. La véritable identité de leur auteur n'a été révélée officiellement qu'en 1834.
Durée:2h. 37min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20808
Résumé: La vieille ne répondait pas. Hermann se releva. " Sorcière ! s'écria-t-il, en serrant les dents, je saurai te faire parler !.. " Et il tira un pistolet de sa poche. A la vue du pistolet, la comtesse, pour la seconde fois, manifesta une violente émotion... " Allons donc ! cessez de faire l'enfant, dit Hermann, en lui prenant la main. Je vous demande pour la dernière fois : Voulez-vous me dire vos trois cartes ! Oui ou non ? " La comtesse ne répondit pas. Hermann vit qu'elle était morte.
Durée:7h. 55min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:12712
Résumé: "Le Double c'est moi." Goliadkine n'en doute pas, Dostoïevski non plus. A cette étrange histoire d'un homme qui rencontre son ombre jumelle, l'auteur répond par un poème pétersbourgeois. Nulle folie ne semble, en apparence, traverser l'esprit de Dostoïevski. Ce n'est pas un jeu de miroirs, bien au contraire : "Je n'ai jamais rien lancé dans la littérature de plus sérieux que cette idée..." Pour preuve la fiction ne joue qu'avec son double, la réalité. Bien sûr, Goliadkine et Dostoïevski ne font qu'un. Pour toujours. Le Double devient alors la clef, le passage obligatoire à l'oeuvre de Dostoïevski. Livre de la déraison ouvrant pourtant toutes les portes de l'univers dostoïevskien. Le Double ou la séduction du malheur. Mais rien n'y fait, Goliadkine espère toujours, convaincu d'un futur plus lumineux. Qu'importe l'espace quotidien auquel il se heurte sans cesse, son double est là pour le sauver, quitte à le persécuter. Illumination, rédemption, monde hallucinant où nul ne s'étonne qu'un homme puisse vivre en compagnie de lui-même. Avec Le Double, Dostoïevski, alors âgé de 25 ans, pressent et nous montre qu'il sait déjà ce qui l'attend. Peu d'ouvrages mettent en scène avec la même violence la parfaite identification d'un auteur et de son personnage. Dostoïevski délivre ici un message habité, hanté par l'écho de la voix de Goliadkine. L'un ne peut vivre sans l'autre. Avec ce livre, Dostoïevski apprend à vivre, et surtout à accepter ses propres démons. Un double s'imagine souvent plus qu'il ne se voit. Il reste au-delà des murs, masqué par un solide principe de réalité. Le trait de Jean-Claude Götting met au défi cette ombre maléfique en donnant un corps, un visage à ce double. Le Double, par l'entremise du dessin, a trouvé un autre double. Le jeu n'en devient que plus excitant.